Phedre Intrigue Principale

incomparable pour le théâtre Il permet un spectacle plus riche, plus complexe. On passe de l'implicite à l'explicite. Compréhension d'une intrigue complexe rendue possible Il sert de support aux émotions jouées. Richesse des personnages, complexité de leur caractère. Evocation d'une époque et de sa culture plus puissante par l'utilisation de son principal vecteur : le langage En fait le spectateur se rend à une représentation pour vibrer, rire, se distraire, rêver, bref pour éprouver des

antiques pour créer leurs propres œuvres. Pour autant, elles ne relèvent pas de l'imitation pure. Les grands auteurs ne réutilisent ces modèles que pour en faire des œuvres modernes. Ainsi, si La Fontaine[->45] reprend les fables d'Esope[->46] et de Phèdre[->47], c'est pour en donner une version moderne dont la morale sociale et politique ne peut être comprise que dans le contexte du XVIIe siècle. Caractéristiques[modifier] [->48][->49] [->50][->51]Boileau par Hyacinthe Rigaud[->52] Le classicisme

des tragédies ainsi que l’étude de différents personnages, du lexique, de la dramaturgie, des transformations que Racine a fait subir à ses sources permet de dégager une évolution d’ensemble et la personnalité de chaque pièce. Racine constitue ses intrigues sur le principe d'un dilemme où la raison hésite face à l'empire des passions. Le héros devient ainsi le jouet malheureux de ses propres désirs car il s'épanouit à l'ombre des conflits et des jalousies. Or, il n'est pas facile tracer les frontières

E.A.F - séquence n°4 : OBJET D'ETUDE : Le théâtre, texte et représentation I - PRESENTATION DE L'AUTEUR : REPERES BIOGRAPHIQUES ET OEUVRES PRINCIPALES Pierre Corneille (1606-1684), aussi appelé "le Grand Corneille" ou "Corneille l'aîné" est un dramaturge et poète né à Rouen dans une famille bourgeoise. Il fait de brillantes études au collège des Jésuites de Rouen (de 1615 à 1622) et devient avocat en 1624. Puis, il se destine à la carrière d'écrivain suite à sa rencontre avec le

baisser ». Il y a dans cette œuvre des ellipses temporelles qui nous laissent parfois sans connaissance de l'heure ou même de la date. Deuxièmement, un pièce classique devait se dérouler en un seul lieu, en un palais pour une tragédie telle que dans Phèdre de Racine, ou en une maison bourgeoise pour une comédie telle Les fourberies de Scapin de Molière. Ce procédé permettait de glisser au spectateur l'illusion qu'il se trouvait dans le lieu représenté, si celui ci était toutefois un endroit commun.

tragédie est souvent malheureux (par exemple : la mort). « La principale règle est de plaire et de toucher. Toutes les autres ne sont faites que pour parvenir à cette première. » Racine, Bérénice, préface. Quelques grandes tragédies classiques : Corneille (1606-1684) : * Le Cid (1636) * Horace (1640) * Cinna (1641) * Polyeucte (1643) Racine (1639-1699) : * Andromaque (1667) * Iphigénie (1674) * Phèdre (1677) * Britannicus (1669) * Bérénice (1670) * Mithridate

Alexandre le Grand le 4 Décembre 1665. Et se suit successivement Andromaque en 1667, Les Plaideurs en 1668, Britannicus en 1669, Bérénice en 1670, Bajazet en 1672, Mithridate en 1673, Iphigénie en 1674, Phèdre en 1677, Esther en 1689 et Athalie en 1691. II – LA PIECE 1 - Personnages principaux : Néron est le fils d'Agrippine et de Domitius Ahenobarbus. Il est empereur de Rome à l'époque de la pièce. Il a au moins vingt ans lorqu'il succède à Auguste aux dépens de Britannicus. Il est connu pour

à 1693, qui immortalisent son nom. Elles constituent la principale œuvre poétique de la période classique et l’un des plus grands chefs-d’œuvre de la littérature française. En fait, il s’est beaucoup inspiré des Anciens, Esope et Phèdre (voir Querelle des Anciens et des Modernes). Cependant, il a totalement renouvelé le genre. En effet, la fable n’est plus la sèche démonstration d’une morale. Elle est un court récit comportant une intrigue à travers laquelle il démontre avec brio sa parfaite maîtrise

spectateurs. L’Illusion comique nous donne donc à voir une pièce de théâtre dans une pièce de théâtre ! Dans le roman Les Faux-monnayeurs d’André Gide est un exemple incontournable de mise en abyme dans le roman. Dans Les Faux Monnayeurs, le personnage principal, Edouard, écrit un roman intitulé…Les Faux Monnayeurs ! L’écriture du roman Les Faux-Monnayeurs devient ainsi sujet du roman Les Faux-Monnayeurs ! En poésie On trouve également des mises en abyme en poésie lorsque les poètes évoquent symboliquement

déroge pas à cette règle, lui qui s’inspire largement d’Esope, poète grecque du IVe siècle avant J-C et de Phèdre du siècle d’Auguste, pour composer le premier de ses trois livres de fables qui assureront sa renommée. Le Loup et le Chien, cinquième fable du premier livre se présente sous la forme versifiée alternant octosyllabes, décasyllabes et alexandrins et emprunte au poète latin les principaux ressorts de l’intrigue : un même schéma narratif, les mêmes personnages et le même enseignement. Lecture