Physiciens Ménécée

nécessairement se débarrasser de la peur de la mort, comme le soutient Épicure, afin de mieux apprécier les joies que la vie nous offre ? Pour être heureux, il ne faut pas craindre la mort. C’est ce que soutient Épicure dans un extrait de Lettre à Ménécée, où il dit que « la mort n’est rien pour nous », tout comme la mort n’est rien pour le défunt. Selon Épicure, il faut se détourner de l’idée que la mort est une souffrance pour parvenir à profiter de la vie. L’analogie entre la mort et l’appréciation

renoncement rend ici libre. Pour eux renoncer libère leurs craintes, leur permet de se détacher des vices qui entachent la nature humaine. Prenons le modèle d’Épicure, philosophe stoïcien et matérialiste de l'Antiquité, il écrit dans la Lettre à Ménécée ses principes du Tetrapharmakon, le quadruple remède pour accéder au bonheur. Le renoncement à une grande place dans ses principes, en effet il pense qu'il faut se défaire de ce qui nous rend malheureux pour être heureux, ainsi il renonce à sa crainte

ne peut de toute façon rien changer. »      NB : C’est par là que cette philosophie a pu, pendant six siècles, (jusqu’à l’institutionnalisation du christianisme) être la grande  religion du monde antique.         Remarquons que dans la lettre à Ménécée Epicure critique le stoïcisme. Cf.187.188. « Quant au destin, que certains regardent comme le maître de tout, le sage en rit ».        C’est que l’épicurisme est une philosophie de la liberté. Le réel n’obéit à aucune nécessité divine. Sans doute

deux mots, bon et heur, signifiant bonne chance. On entend par ce terme unsentiment de satisfaction complète et de plénitude. Cependant, il est important de ne pas mélanger bonheur et plaisir, et bonheur et joie. Epicure disait, dans sa Lettre à Ménécée, que le butultime de la vie de l'homme était la recherche du bonheur, de cet état d'être heureux, et de ne plus avoir de désirs en soi. On en vient donc à se questionner sur la façon pour l'homme de pouvoir accéder àce bonheur, de progresser dans

matérialiste Démocrite a su définir avec une intransigeance intellectuelle rare l’enracinement sensible, physique de toutes les réalités que l’homme vit et que parfois il traduit dans des abstractions qui ne sont, comme il le dit dans la Lettre à Ménécée, que des « spéculations ». Pour Épicure seule la « sensation » manifeste la réalité et peut définir ce qui est une satisfaction ou une douleur. Le corps devient avec lui le critère, la mesure du réel plaisir. Véritable théorie de la connaissance,

LETTRE A MENECEE, Cours sur une œuvre de lecture suivie EXPLICATION DU TEXTE : Introduction : a) Pourquoi une méthode du bonheur ? Epicure propose une méthode du bonheur dans cette lettre, qui comporte deux originalités : -c’est une méthode corrective. Elle ne concerne que ceux qui ne parviennent pas à être heureux. Sous-entendu que ce n’est pas la seule méthode possible, même si elle lui semble la plus efficace. Elle repose, comme il l’indique en préambule, sur l’activité philosophique

2. Aider les autres plutôt que vous-même Dépenser son argent pour les autres rend plus heureux que lorsque le dédier uniquement à soi. Cela influence nos relations dans une large mesure et ce sont précisément ces relations qui forgent notre bonheur. 3. Beaucoup de petits plaisirs plutôt que quelques gros Selon l’étude, nous sommes plus heureux lorsque nous dépensons notre argent à des petites choses comme des soins de pédicure, un café ou un beau foulard qu’en achetant de grosses pièces

matériels peut-elle vraiment nous rendre heureux ?.. Béatitude / réussir sa vie ( biens matériels, social, femme, travail ) En conclusion, cet extrait de la Lettre à Ménécée nous donne un meilleur aperçu  de la pensée d’Epicure. Nous sommes bien loin des stéréotypes et des légendes de « bon vivant » qui se sont multipliés à son propos et qui  se perpétuent toujours depuis les débuts mêmes de la philosophie de Jardin.

et comme représentation dit que "Tout vouloir procède d’un besoin, c’est-à-dire d’une privation, c’est-à-dire d’une souffrance". Cette citation nous explique bien que les désirs sont sources de souffrance. De plus, Épicure dans son œuvre Lettre à Ménécée dit: "Le plaisir est le commencement et la fin de la vie heureuse". Ici, Épicure fait le lien entre la souffrance et le plaisir. En effet, le plaisir exprimé par l'accomplissement de nos désirs créent aussi de la souffrance par l'interruption "du

Étude de cas en éthique : la théorie éthique de l’utilitarisme classique et Facebook (ou Facebook et le bonheur) Tout d’abord, selon les utilitaristes, il serait véridique d’affirmer qu'avoir un profil sur Facebook peut apporter du bonheur. Effectivement, dans leur théorie, le but est d'atteindre le bonheur. Celui-ci, par définition, est la recherche du plaisir et l'évitement des souffrances. Donc, selon cette définition, Facebook peut être utilisé pour atteindre le bonheur puisqu’il permet à