Physiciens Ménécée

EXPLICATION TEXTE ORAL Dans cet extrait de la lettre à Ménécée écrite par Epicure, il est question des plaisirs. Le plaisir, c’est une émotion, sensation agréable, résultant de la satisfaction d’un désir, d’un besoin. De ce fait, le désir est-il quelque chose de primitif car c’est une sensation. De plus est-ce lui qui détermine notre vie (choix, but,…) ? Par conséquent ce texte a pour but de montrer que le plaisir fait parti a part entière de notre vie et que c’est lui qui détermine avenir car

infinie d'un but inatteignable. Cf. homme obsédé par la vie éternelle, qui terminera sa vie sans avoir pu vraiment l'apprécier à souffrance de ne pas pouvoir atteindre son but et frustration de n'avoir pas profité du temps imparti. Or dans la Lettre à Ménécée, Epicure explique que pour mener une vie heureuse, il faut se débarrasser des désirs vains pour ne conserver que les désirs nécessaires. En effet, le désir d'impossible apparaît incompatible avec la fin naturelle de nos actes qu'est le bonheur. Si

en portant en germe le principe qui va permettre de dépasser cette culture tout en conservant ce qu’elle a de substantiel c’est à dire d’universel. Pour supervielle II Il n’y a pas de temps pour philosopher Lettre à ménécée : Dans cette courte lettre, Épicure donne à Ménécée un mode d'emploi vers la vie bienheureuse. Pour cela, il s'appuie sur la figure du sage et sur les notions du plaisir et du désir. Epicure lui annonce que la philosophie est la medecine de l'âme, et que l'on peut la pratiquer

accessoire ou instrumental. Quand Epicure écrit : « Le plaisir est pour nous le début et la fin de la vie heureuse », il a, dans un sens, tout dit : pour l’épicurien, le travail mental peut se résumer au « calcul » des plaisirs (voir la Lettre à Ménécée), afin de distinguer quels désirs constituent à proprement parler des besoins naturels et nécessaires, et lesquels, vains ou non-naturels, doivent être suspendus temporairement (ou définitivement), pour conserver la santé – c’est-à-dire ce qui permet

par rapport à soi-même et au monde ; comment le bonheur pourrait-il trouver sa place dans une telle distanciation ? Mais précisément cette distanciation ne satisfait pas le philosophe, c'est pourquoi comme le fait remarquer Épicure dans La lettre à Ménécée 8 « Il est urgent de philosopher. » pour remédier à cette inquiétude et se rapprocher de soi-même et de la nature afin de ne pas se laisser surprendre par la mort qui pourrait nous faucher avant même que nous ayons pu comprendre quelque chose à notre

dépourvu d’inquiétude et de crainte ? » s’exclame-t-il dans De rerum natura, II, 16-19. Le sage épicurien est donc invité à écarter tous les désirs qui pourraient engendrer troubles et inquiétude. Voilà pourquoi Epicure, dans la fameuse Lettre à Ménécée l’exhorte à renoncer d’abord à tous les désirs contre-nature, portant des objets fantasmés par notre imagination délirante : tels sont les désirs d’immortalité ou de gloire si fréquents chez les hommes, qui les condamnent immanquablement au malheur

sans arriver au stade du malheur. Cependant, tous nos désirs doivent-ils vraiment être éradiqués ? Il faut sans doute que certain désirs soient acceptés, des désirs dont on a besoin pour atteindre le bonheur, des désirs indispensables. Dans Lettre à Ménécée d’Épicure, il fait un classement des désirs. Des désirs naturels et des désirs non-naturels. En effet l'homme sans ses désirs ne pourrait pas vivre, et ne pourrait pas dire qu'il est un homme heureux. Les désirs D'épicure, de désir simples peuvent

Il y a des souvenirs, des moments de ma vie que je ne souhaiterai oublier pour rien au monde ... Et que ces moments n'aient plus rien à voir aujourd'hui avec ce qu'ils ont été dans le passé ou qu'ils demeurent inchangés, ça m'est égal. Vous savez, que nos souvenirs soient bons ou bien mauvais il ne faut pas essayer de s'en débarrasser, il faut juste apprendre à avancer avec votre passé et en tirer des leçons. Tu sais jamais je n'oublierai ce que j'ai été avec toi, ni la belle personne que tu

une certaine complétude originel mais infini du désir que les objets finis ne sauraient satisfaire ce qui prouve que le désir est insatiable. C’est pourquoi nous recherchons l’impossible car on désirera toujours au moins une chose. Dans Lettre à Ménécée, Epicure écrit « Parmi les désirs nécessaires, les uns le sont pour le bonheur, les autres pour l’absence de souffrance du corps, les autres pour la vie même. », ainsi un sujet qui désire l’impossible sait qu’il le désirera toujours et que les buts

a de bonheur que dans l’instant présent. Il est impossible de faire rationnellement l’expérience de la mort. En revanche, il est possible de penser le rapport à la mort sous la forme d’un raisonnement fondé sur la réalité de la vie. La lettre à Ménécée effectue ce raisonnement et ordonne à son correspondant de le respecter comme la solution à la question que tout homme se pose. Le texte renferme une définition rigoureuse de ce qu’est la mort : la mort est « privation de sensations. » Etre privé