Phèdre Dire Ou Ne Pas Dire Telle Est La Question

en effet ses hommages à Artémis, déesse de la chasse. Phèdre se laisse aller à révéler à sa nourrice son amour pour Hippolyte. Or Thésée, bien qu'absent, est toujours vivant. La nourrice se propose d'aider sa maîtresse à satisfaire cet amour coupable : Phèdre s'y refuse. Malgré cela, sous le sceau du secret, la nourrice dévoile à Hippolyte la passion de sa belle-mère. Le jeune héros s'enfuit, horrifié par la passion que lui voue la reine. Phèdre maudit sa nourrice et, torturée par la honte, se pend

toute-puissance du pouvoir royal, permettent dans un deuxième temps de mettre en lumière ses ressorts transgressifs tant politiques que théâtraux. On verra ensuite comment les questions de filiation et de descendance royale, objets habituels de l’intrigue théâtrale et enjeux primordiaux de la toute-puissance de l’Etat, remettent en question cette suprématie et nourrissent les tensions entre deux puissances rivales. Enfin, on s’interrogera sur les éventuels liens entre la figure de Médée et la reine Catherine

en GF : introduction un peu fourre-tout et qui reste en surface, mais qui offre quelques bonnes pistes ainsi que des repères de culture générale. Anne Crigon Le Mal, GF collection « Corpus » : une anthologie des grands textes philosophiques sur la question assortis de commentaires introducteurs, le tout précédé d’une introduction philosophique générale au thème. Le mal, éditions Atlande, collection « clefs concours » : l’introduction relève du cours de culture générale, mais c’est léger sur le plan

imagination et l' intuition sont mises au service de l' entendement. 3. Pour le poète -qui substitue l'image au concept, la métaphore au raisonnement, l'analogie à la causalité-, le Beau est le signe du Vrai. Ainsi selon le Platonicien ( Banquet, Phèdre, Alcibiade Majeur ), il y a convergence des Transcendantaux ( Être, Vrai, Beau, Bien.. ) et la Beauté est inductrice de certitude. 4. Pour le mystique chrétien, la Vérité aperçue est manifestation de la Grâce. 5. Pour Roméo, les raisons du Coeur

SOMMAIRE GENERAL TROISIEME PARTIE : LE THEATRE 9ème série ETUDE D'UNE ŒUVRE INTEGRALE, PHEDRE DE RACINE 1ère leçon 2ème leçon 3ème leçon 4ème leçon Présentation générale Survol historique Phèdre Conclusion 10ème série ETUDE D'UNE ŒUVRE INTEGRALE, PHEDRE DE RACINE (SUITE) 1ère leçon 2ème leçon 3ème leçon Développement de la pièce Commentaire général sur la pièce Etude d'un texte : Phèdre se dévoile devant Hippolyte (II, 5) 11ème série LE THEATRE DE IONESCO 1ère leçon 2ème

(Schelling): - la 1ère s’intéresse à la composition de la tragédie, à ses règles, ses conventions et aux effets produits sur le spectateur (la catharsis, la frayeur et la pitié). Elle pose la question de ce qu’est la forme tragique. - la 2ème s’intéresse au contenu de la tragédie, aux idées qu’elle véhicule. Elle pose la question de ce qu’est le tragique. Cela revient à distinguer, comme le fait P. Szondi (Versuch über das Tragische, 1961) entre une poétique de la tragédie et une philosophie du tragique. La

annoncer‚ lentement‚ avec soin‚ avec soin et précision – ce que je crois – lentement‚ calmement‚ d’une manière posée – et n’ai-je pas toujours été pour les autres et eux‚ tout précisément‚ n’ai-je pas toujours été un homme posé ?‚ pour annoncer‚ dire‚ seulement dire‚ ma mort prochaine et irrémédiable‚ l’annoncer moi-même‚ en être l’unique messager‚ et paraître – peut-être ce que j’ai toujours voulu‚ voulu et décidé‚ en toutes circonstances et depuis le plus loin que j’ose me souvenir – et paraître pouvoir

Il s’exerce vers l’amont et vers l’aval, il porte en un premier temps sur les être réels et les choses réelles que l’on entreprend de filmer ; en un second temps, sur les spectateurs à qui l’on présente ces êtres et choses une fois filmés, c’est-à-dire transformés en représentations, en réalités de cinéma. Cette bi-frontalité caractérise essentiellement le cinéma dit « documentaire ». Nous filmons des êtres réels qui ne sont pas des comédiens professionnels ; qui ne joueront donc qu’une

cours. C’est un type de devoir bref, susceptible d’être effectué en 2h sur table maximum. Répondez brièvement aux questions 1 à 4 et de façon plus développée à la question 5 : 1. Citez le nom de trois personnages mythiques que la tradition littéraire a associés à une réflexion sur l’art et/ou l’artiste, et formulez en une phrase, pour chacun d’eux, l’enjeu artistique en question. 2. Le mythe de l’âge d’or : évoquez les principaux invariants du mythe, et le titre de trois textes littéraires ayant

cependant l’œuvre du poète à cette seule entreprise. Parallèlement aux Fables, La Fontaine écrit aussi des Contes (1664, 1671), un livret d’opéra (1674), des épîtres et d’autres textes : des traductions et des adaptations de textes anciens (Ésope, Phèdre), religieux... Il s’inspire également des textes orientaux de Pilpay (ou Bidpaï). Les livres X, XI et XII présentent sans doute le résultat le plus accompli de cet art de la fable, de ses « techniques » et de ses limites aussi… Le « genre » est d’ailleurs