Phèdre Fabuliste

manque de logique  ( répétition de « le mal est que », notion d’obligation avec « il faut que », champ lexical de la charge avec « on nous ruine, faire tort, charge toujours » ) b. Portrait plus critique  - la Fontaine souligne sa naïveté. - le fabuliste nous montre que le Savetier devient semblable au Financier lorsqu’il est soumit au pouvoir de l’argent : il ne chante plus, ne dort plus et devient suspicieux.  2. Le Financier a. Portrait négatif dévalorisé par des éléments négatifs  -  par la

Les Deux Coqs Jean de la fontaine Introduction n°1 : La Fontaine, fabuliste et moraliste du XVIIème insiste très souvent et notamment au début du livre VII sur les caprices ou les malices de la Fortune (dite aussi « déesse bizarre »). (Fil directeur de la fable : le Sort) La Fontaine reprend ce thème de la fortune dans la fable de Les Deux Coqs. C’est un thème banal souvent exploité dans l’Antiquité. La Fontaine en fait un thème intéressant car il l’exploite de manière originale. Fable

Le savetier et le financier Intro: 1) Jean de la Fontaine (17° siècle / Fabuliste / Ambition de moraliste) Livre VIII, fable 2: "Le savetier et le financier" 2)Résumé de la fable 3) Inspiré d'un épître d'Horace et d'une nouvelle de Bonaventure Des Périers Axes: 2 personnages opposés 2 personnages désigné par leur profession, portrait situé dans le narrative Le savetier: Savetier => cordonnier Référence des Sept Sages: sept personnages philosophiques Il est présenté comme étant

« La Cigale et la Fourmi, Le Corbeau et le Renard : » vendredi, 5 octobre 2007 La Cigale et la Fourmi, Le Corbeau et le Renard : La Cigale et la Fourmi, chez La Fontaine, n'a pas de morale explicite. La Cigale et La Fourmi, encore chez La Fontaine, est la première de toutes ses fables, la première du premier Recueil, juste avant Le Corbeau et le Renard. Ce vide et ce mouvement sont deux inventions, que l'on peut lire l'une par l'autre. Ce ne sont pas des imitations d'Esope ou de la

argumentatif original puisqu’elle utilise le discours narratif et le récit pour convaincre ou persuader. La fable 19 du livre IX, Le Berger et son troupeau, est située dans le second recueil des Fables, où le bestiaire et l’imaginaire en liberté du fabuliste se sont nettement amoindris pour s’orienter vers une réflexion plus sérieuse et sentencieuse. Elle a été inspirée à l’auteur par son prédécesseur antique Abstémius avec « Le Berger exhortant son troupeau contre le Loup ». Avec un recours à la métaphore

s’entoure de grands précurseurs de la Cour, pour y introduire ses fables. Ces éléments de la vie du poète ne semblent pas liés au peuple et nous amènent, alors, à penser que le fabuliste est tourné vers la Cour du roi. On peut alors se demander : En quoi La Fontaine, compte tenu de son statut de poète du peuple et de fabuliste, établit-il une critique de la société ? Dans un premier mouvement, on s’intéressera à La Fontaine comme poète proche du peuple, puis dans un deuxième mouvement, on traitera la

gouvernement. Dans cette fable La Fontaine blâme la versatilité des gens qui ne sont jamais contents du pouvoir en place et qui risquent en le changeant de trouver pire. Ces fables ont donc un caractère plus politique qu’éducatif. De même que le fabuliste critique les mœurs françaises dans « les Deux amis ». Dans les vers 3 et 4, il est ironique en disant que les français sont également bons amis, « ditons » montre qu’il ne croit pas ce qu’il dit et qu’il en fait une simple rumeur. La Fontaine imagine

La Cigale et la Fourmi de La Fontaine La Cigale de Jean Anouilh Sveso Triple cohérence: Thème: Le rapport à l'argent Genre. Problématique. Si on lit la fable avec brièveté, on peut passer outre le fait que celle-ci ont des morales implicites. La Cigale et la Fourmi de La Fontaine On peut dire que cela parle d'une vie insouciante, que la cigale ne s'occupe pas des priorités matériels (Ici, la nourriture) Malgré ça, on peut supposer que la cigale reste un personnage positif du fait

Introduction Jean de La Fontaine, né en 1621 et mort en 1695, est un poète français de la période classique. Il publie un premier recueil de Fables en 1668, il ajoutera plusieurs livres jusqu’en 1694. Ce texte, extrait de la fable 5 du livre VII, qu'il dédia à Mme de Montespan, la favorite du roi Louis XIV, met en scène une précieuse qui souhaite se marier. De nombreux soupirants se présentent à elle, mais elle se montre très difficile sur le choix de son futur époux et fini par faire fuir tous

mequre ou l'intervention du vent en tant qu'élément perturbateur donne un statut de personnage a cet élément naturel. De plus, l'analyse des 2 personnages antithétique renforce la dynamique de la fable capable de plaire et d'instruire. Enfin, le fabuliste donne une véritable leçon de vie que le lecteur doit décrypter car la morale est allégorique. Élargissement sur une pièce de Molière, comme Georges Dandin, qui est risible et qui montre bien la vanité des paysans qui veulent s'élever au dessus de