Phèdre Lamentation

monothéistes qui y cohabitent. Cependant, Jerusalem dite "terre sainte" est une source de conflits à enjeux politiques et identitaires.Cela, provenant de sa richesse patrimoniale, qui s'illustre avec les multiples édifices qui y sont présents: Le mur des lamentations representant la derniere paroi du temple de Salomon est un lieu de pratique religieuse juive, L'église du saint Sépulcre considéré comme un lieu très saint pour une grande partie des chrétiens qui y vont nombreux en pèlerinage, l'esplanade des

symbole de l’élection des juifs par | | |Dieu. Il représente « l’axe du monde » c’est-à-dire le lieu de rencontre avec Dieu. | | |Le mur de lamentation (appellation chrétienne et arabe) appelé mur occidental ou Kotel par les | | |juifs. Ce n’est pas un mur du Temple, mais un mur d’enceinte du Temple d’Hérode, c’est le lieu le|

comme le fondateur de Jérusalem, ville sainte, consacrée centre spirituel. Son fils Salomon a fait construire le célèbre Temple de Jérusalem vers 950 avant J-C, détruit en 70 après J-C par les romains, dont ne subsiste aujourd'hui que le Mur des Lamentations, objet de vénération et de lieu de prière et de pèlerinage (photo ci-dessous).

sont aussi autorisés à revenir d'exil. Puis construction 3e Temple au 1er siècle av. notre ère, agrandissement réalisé par le roi Hérode. Destruction finale en 70 ap JC, par les Romains. N'en demeure aujourd'hui que le Mur occidental (ou Mur des Lamentations, appellation par les Britanniques). Photo du Mur doc. 2 p. 28 2) Le christianisme : pour les chrétiens, Jérusalem serait la ville de la Passion du Christ (= ensemble des souffrances qui ont précédé la mort de Jésus Christ) et de sa résurrection

=> monuments qui sont des réponses à l'autre lieu mémoriel qu'est le St Sépulcre chrétien. ; il s'agissait a priori d'un message de l'islam en direction des chrétiens et des juifs, pour marquer le triomphe de l'islam. Photo du dôme (ou Mur des Lamentations, appellation par les => complexité de la situation du fait du caractère exigu du site de la vieille ville. Le Mur de l'Ancien temple, haut lieu du judaïsme, qui rappelle la légitimité de leur présence par l'ancienneté du vestige, est ainsi

Le mur des Lamentations Ce mur est l'unique vestige du Temple de Jérusalem, bâtit somptueusement par le roi Salomon vers -950. Lien saint du Judaïsme, ce Temple fut pillé et incendié par Titus en septembre 70. Les habitants de Jérusalem sont tués ou dispersés, c'est le début de la Diaspora. Le Temple est finalement détruit par les Romains en 135, et les Juifs sont chassés de Jérusalem. Seul subsiste du Temple ce mur qui est le lieu saint fondamental, et le grand lieu de pèlerinage du Judaïsme

patrimoines différents sont concentrés dans ce même lieu ( chrétiens, juifs, musulmans). En effet, au cours des siècles a lieu une sacralisation de la vieille ville en raison des nombreux et importants lieux de culte. a) pour les juifs. Le mur des lamentations est leur lieu de culte, il rappelle le temple de Jérusalem, ce mur en est le seul vestige. Le temple fut détruit par les romains en l'an 70. Mythe : Selon la Bible, au Xème siècle avant JC, un roi hébreux choisit Jérusalem comme capitale et son

monothéistes Vieille-ville = divisé en 4 quartiers, lieux saints dispersés ds l'ensemble de la ville. Communautés religieuses en quartiers : → afflux de pèlerins → nbrx édifices patrimoniaux pr différentes relig°s. → Mur occidental (« Mur des Lamentations) → St-Sépulcre & Via Dolorosa (chemin du Christ) → Dôme rocher & Esplanade mosquées → Esplanade mosquées + Mont du temple = un seul et même lieu → patrimoine juifs et musulmans, source de conflits. → Conflits au sein des communautés (exemple

en premier lieu d'un patrimoine spirituel. On appelle ainsi tous les éléments qui relèvent d'un héritage philosophique ou religieux. La Vieille Ville de Jérusalem associe en effet dans un espace réduit les lieux saints juifs, avec « le Mur des lamentations », chrétiens, avec le Saint-Sépulcre, et musulmans, avec l'esplanade des Mosquées. Cette concentration de lieux sacrés a également conduit à la réalisation d'un patrimoine architectural et artistique tout à fait remarquable, chacune des grandes

d’abord morcelée en quartiers confessionnels dont le plus important, le quartier arabe musulman, voit sa population juive augmenter fortement. Elle est divisée ensuite par les lieux saints dont les espaces se chevauchent parfois, comme le mur des Lamentations et l’esplanade des Mosquées : toute modification à ces monuments pour fidèles donne lieu à de graves polémiques aux conséquences politiques et militaires. Jérusalem est divisée enfin par les querelles à l’intérieur des confessions elles-mêmes,