Phénotype Sain

bruns ainsi qu’une vision normale. 10f) | BM | Bm | bM | bm | BM | BBMM | BBMm | BbMM | BbMm | Bm | BBMm | BBmm | BbMm | Bbmm | bM | BbMM | BbMm | bbMM | bbMm | bm | BbMm | Bbmm | bbMm | bbmm | 10g) Phénotype | Génotype | % | Yeux bruns et vision normale | BBMM, BBMm, BbMM, BbMm | 56,25% (9/16) | Yeux bruns et myopes | BBmm, Bbmm | 18,75% (3/16) | Yeux bleus et vision normale | bbMM, bbMm | 18,75% (3/16) | Yeux bleus et myope | bbmm

création des variétés hybrides comportent 3 phases : * L’obtention de lignées. L’obtention de lignées commence par la sélection d’individus de départ dans des populations naturelles ou artificielles. Le choix de ces plantes est réalisé sur leur phénotype et le comportement de leur première descendance. Le système de consanguinité est alors appliqué : il s’agit généralement de l’autofécondation ou éventuellement du croisement frère x sœur, qui est toutefois 3.3 fois plus lent en moyenne que l’autofécondation

gamètes (R) ou (B) La F1 est homogène et hybride pour le gène RB Les individus sont de phénotype rose : il n’y a pas de dominance entre les allèles R et B du gène “couleur” : on dit que les 2 allèles sont codominants. Etude de la F2 Les hybrides F1 produisent chacun 2 types de gamètes équiprobables (R) et (B) Un échiquier de croisement rend compte des rencontres possibles entre ces gamètes. Ainsi on obtient 3 phénotypes différents en F2 : 25 % [R], 50 % de [rose] et 25 % [B].Les fleurs rouges et blanches

séquence de nucléotides* G C A C T CG G TG A GG C variabilité génétique allèle 2 du gène C C G T A 1 gène C G T 1 chromosome version 1 du caractère (phénotype 1) version 2 du caractère (phénotype 2) A molécule d’ADN ADN, molécule variable- gène, allèle, caractère, phénotype 

réapparaissent dans la descendance. La seconde, la loi de dominance signifie que si deux caractères opposés en même temps l’un des deux éclipse totalement l’autre et son influence est seule à s’exercer. Les termes de Chromosomes, de génotype et de phénotype ont déjà fait leur apparition dans les recherches qui ont été effectué la fin du XIXe et au début du XXe Siècle. Cependant, la structure interne des gènes : acide désoxyribonucléique (ADN) ont été découverts par Watson et Crick (1953). Cette molécule

le tableau on constate que l’individu X0 est de type féminin alors que le XXY est masculin  l’absence de Y entraîne la féminisation alors que sa présence entraîne la masculinisation. Y semble donc jouer un rôle fondamental dans la réalisation du phénotype sexuel. 2) Le chromosome Y possède sur son bras court le gène SRY. En s’exprimant, celui-ci participe à la différenciation sexuelle male. En l’absence de ce gène SRY, la gonade indifférenciée évolue en ovaire. BILAN : La 2ème étape du développement

de cours     A partir du XXème siècle, les connaissances en génétique permettent de maîtriser des techniques scientifiques de croisement pour obtenir de nouvelles plantes qui n'existaient pas dans la nature: sélection de phénotypes avantageux associées à l'identification de gènes hybridation orientée afin de combiner différents génotypes avantageux (exemple du maïs: doc 1 de cours) 1er hybride: 1947 Ces pratiques scientifiques ont contribué à l'obtention et la conservation

expression. Caractère visible à l’œil défini le phénotype, par approche biologique ou moléculaire donc caractères à différents niveaux. Gènes et chromosomes : gène = partie de la molécule d’ADN, situé à un locus. Gènes et allèles : un gène ne se défini que par la présence de variants. Elément qui varie : l’allèle. Gène = unité d’expression = unité de transcription, capable de fabriquer de l’ARN.  Avec ou sans conséquence au niveau du phénotype. NOMENCLATURE Un gène  un couple d’allèles

complexite des relations entre gene, phénotype et environnement Qu’il soit cellulaire ou macroscopique le phénotype repose en définitive sur les propriétés des protéines synth étisées. Or ce sont les gènes qui codent pour les protéines responsables des caractères phénotypiques. On pourrait donc penser qu’il existe une relation linéaire entre un gène et un caractère, le premier déterminant le second. En réalité les relations ent re génotype et phénotype sont souvent plus complexes. Un gène

caractères qui s'expriment, ceux-ci correspondent au phénotype dépendant lui-même du génotype. I - Maladies génétiques Une maladie génétique est due à une mutation dans le génome. La plupart des mutations sont silencieuses et s'effectuent lors de la réplication de l'ADN, au hasard. Elles peuvent être favorisées par des facteurs environnementaux. Elles peuvent affecter : Les cellules somatiques Les cellules germinales 1 - Phénotype macroscopique Les symptômes des personnes souffrant