Pietà

brutalité, la cruauté des Nationalistes. 4) L'oiseau A peine visible, entre le cheval et le taureau, il pourrait être une colombe, symbole d'espoir et de paix. 5) La mère et l'enfant Cette femme tient son enfant mort dans ses bras, évoquant une pietà, figure de la Vierge pleurant la mort du Christ. La douleur et les hurlements de la mère sont visibles, les yeux et les narines ont des formes de larmes, la langue pointue sort de la bouche hurlante. Le visage, à la fois de face et de profil est renversé

larmes, sa langue en forme de couteau et son visage tourné vers le ciel montre qu’elle exprime tout en elle la souffrance et le désarroi. L’enfant mort dans les bras de sa mère se rapprochent-ils d’une autre image à portée universelle : celle d’une piéta ? Figure de la Vierge pleurant la mort du Christ. Son enfant a les yeux vides, la tête et les bras ballants. Le soldat agonisant : Le corps du soldat est en morceaux pour montrer les horreurs de la guerre, en particulier celles des bombardements

pourtant proche de la vie. 2) Scène à dimension symbolique et religieuse Plusieurs éléments font référence à la religion : le rameau, la toupie et le buis et le vers 9 font référence au Christ. La grand mère par son attitude a une image de « piéta » ( = image du corps de Marie penchée sur le corps de son fils). Le peuple est sacré. 3) Poème a une dimension politique Chemin de la dénonciation d’un acte criminel. Au vers 2, grâce aux adjectifs Hugo énumère les vertus du peuple. Napoléon

hurlements de la mère (la langue pointue représente le cri strident).Elle est en pleurs, ses yeux sont en formes de larmes.Son enfant est mort : ses yeux sont vides et sa tête pend. Il symbolise l’innocence.Cette scène peut se rapprocher de celle de la Piéta. | | Derrière le personnage, on voit une petite fenêtre.Il a les bras tendus vers le ciel (cela rappelle Tres de Mayo) symbolisant la prière. Ses yeux sont en formes de larmes, ce qui montre la souffrance.On pense que les flammes représentent les

rencontre Jean et Jules qui deviendront respectivement les papes Léon X et Clément VII, commanditaires de ses plus grandes oeuvres. Bousculant les principes traditionnels de l'art, il est rapidement consacré et surnommé 'le Divin'. On lui doit la 'Pietà' de la basilique Saint Pierre au Vatican, les sculptures de David et de Moïse, une fresque narrant la Création sur la voûte de la chapelle Sixtine, et le célèbre 'Jugement dernier' sur le mur de l'autel de cette même chapelle. Cette dernière oeuvre

corps semblent désarticulés. Les dessins ne sont pas réaliste, il n'y a pas de respect de la perspective naturelle. La lecture se fait de gauche à droite. Au premier plan, on peut voir une femme tenant son enfant mort dans ses bras. Elle évoque une pietà, figure de la Vierge pleurant la mort du Christ. La douleur et les hurlements de la mère sont visibles, les yeux et les narines ont des formes de larmes, la langue pointue sort de la bouche hurlante. Le visage, à la fois de face et de profil est renversé

dont la tête est elle aussi rejetée en arrière, bouche grande ouverte elle aussi avec une langue pointue, sur ses genoux son enfant dont la tête pend à la renverse. Je l’entends crier sa douleur et ses yeux sont des larmes. Pour Picasso, c’est une pièta, image universelle du Christ mort dans les bras de la Vierge _ le Taureau Je le vois immobile, pratiquement de face, la langue pointue, les yeux fixes, droit, statique. Il donne une impression de force qu’on ne peut faire bouger. Chez Picasso

grandes parties, ainsi que la lumière (partie gauche beaucoup plus sombre que la partie droite). 2- -groupe 1 La femme à l’enfant (L'enfant mort dans les bras de sa mère se rapprochent-ils d'une autre image à portée universelle : celle d'une piéta ?)douleur et hurlement de la mère se 3- 4 4- voient à la déformation du visage. Le taureau symbole de la force brute, de la cruauté, la violence et représente les nationalistes. Un combattant dont le corps paraît morcelé et décapité. 5- -groupe

le reste du pays et dans la ville de Césarée même, dont la garnison comptait cinq cohortes. Ainsi Corneille était Romain, ou du moins Italien. Son secret pour obtenir de Dieu : IL ETAIT UN HOMME PIEUXET CRAIGNAIT DIEU LA PIETE : (du latin pietas: vénération envers Dieu, les parents, la patrie). L'idée religieuse de piété est exprimée dans l'A.T, par le mot khésed, qui implique tout ensemble l'application du coeur et de la volonté au service de Dieu (Jer 2:2, Os 6:4, Esa 57:1), et par le mot

yeux qui ressemblent à des larmes. Elles ne sont pas symétriques sans doute pour montrer son désarroi. Les hurlements muets de cette femme sont presque perceptibles. La position de la mère et de l’enfant reflète Marie et Jésus, plus précisément la Pietà. Il y a beaucoup de représentations iconographiques du Christ et de la Vierge Marie, car la plupart des Espagnols étaient catholiques. - Le personnage le plus à droite de l’œuvre, en levant ses bras au ciel, fait directement penser à l’œuvre de Goya