Pietà

bras", "tenant la reine embrassée", "se jettant sur son corps", rapprochement marqué par ailleurs par le passage de la reine du voussoiement au tutoiement : "Mais qu'avez-vous fait là ? Parle, je te l'ordonne !" On pense à un duo d'opéra, à une "piéta baroque". Le drame romantique rejoint le pathétique "spectaculaire" de l'art lyrique, de même que la statuaire baroque, comme le drame romantique, est la figuration spectaculaire d'une subjectivité passionnée (extatique ou affligée), une esthétique

pinceau sur la toile; on dit même que Titien aurait peint avec ses doigts certains de ses tableaux à la fin de sa vie.) 1566 Il est élu avec Andrea Palladio et Jacopo Tintoretto à l'Académie du dessin de Florence Son dernier tableau connu est une Pietà, qu'il destinait à orner son tombeau (inachevée à sa mort, l'œuvre sera terminée par Palma il Giovane.) Matière picturale et effets de peinture La matière de la peinture n'est plus constamment fondue, par les poils de la brosse ou du bout des doigts

beaucoup plus sombre que la partie droite). 2/- Quatre parties correspondent aux différents groupes de personnages : -femme à l’enfant (L'enfant mort dans les bras de sa mère se rapprochent-ils d'une autre image à portée universelle : celle d'une piéta ?) et le taureau (symbole de la force brute, de la cruauté ); -cheval (symbole du peuple sacrifié) et lampe (symbole de l’espoir) ; -les deux femmes ; -le personnage bras en croix dans les flammes (référence au « Tres de Mayo » de Goya) ; 3/-

(Entre le cheval et le taureau) A peine visible, entre le cheval et le taureau, la colombe est symbole d'espoir et de paix. La mère et l'enfant : (Qui se situe tout a gauche de l'oeuvre) Cette femme tient son enfant mort dans ses bras, évoquant une pietà, figure de la Vierge pleurant la mort du Christ. La douleur et les hurlements de la mère sont visibles, les yeux et les narines ont des formes de larmes, la langue pointue sort de la bouche hurlante. Le visage, à la fois de face et de profil est renversé

la cruauté, d’autres le symbole de la résistance. L'oiseau A peine visible, entre le cheval et le taureau, il pourrait être une colombe, symbole d'espoir et de paix. La mère et l'enfant Cette femme tient son enfant mort dans ses bras, évoquant une pietà, figure de la Vierge pleurant la mort du Christ. La douleur et les hurlements de la mère sont visibles, les yeux et les narines ont des formes de larmes, la langue pointue sort de la bouche hurlante. Le visage, à la fois de face et de profil est renversé

symbole de la résistance. L'oiseau A peine visible, entre le cheval et le taureau, il pourrait être une colombe, symbole d'espoir et de paix. La mère et l'enfant Cette femme tient son enfant mort dans ses bras, évoquant une pietà, figure de la Vierge pleurant la mort du Christ. La douleur et les hurlements de la mère sont visibles, les yeux et les narines ont des formes de larmes, la langue pointue sort de la bouche hurlante. Le visage, à la fois de face et de profil, est renversé

causés par les bombes rappelées par le plafonnier) excepté celui du taureau : ce procédé est utilisé afin d’introduire le spectateur dans l’œuvre. La femme au bébé mort représente la souffrance et les victimes innocentes, elle est également une « piéta », un symbole catholique. Le taureau symbolise la cruauté, l’oiseau blessé représente le désespoir de la population, le soldat mort et son épée brisée symbolise la barbarie du massacre, la fleur qui pousse grâce au sang qui imbibe le sol représente

tourné vers le ciel (d’où est venu le drame), tout en elle exprime la douleur et le désarroi. La lance lui transperçant le flanc rappelle le christ sur la croix, c’est le symbole de la souffrance et de l’agonie. On peut faire un parallèle avec « la pietà » de Michel Ange. La fleur : Elle représente une lueur d’espoir. Sa délicatesse, sa fragilité résonnent face au désordre et à l’horreur de la scène. L’épée brisée complète la symbolique de paix. La lampe : Elle peut signifier un grand œil divin

douleur de la mère qui transparaît dans les exclamations et les questions rhétoriques, ainsi que dans la métaphore de l’« épine dans le cœur » (l. 13) qui tout en représentant la douleur maternelle renvoie à la figure mariale voire à la Pietà . Cette seconde réplique de Marie reprend la même structure que la précédente en concluant des questions rhétoriques par une exclamation en forme d’adresse affectueuse. Une telle structure renforce le caractère pathétique de la

: Ses yeux sont en forme de larmes. Langue en forme de couteau : violence. Elle montre toute l’horreur du bombardement qui touche des civils innocents. C’est aussi une référence à une figure récurrente de l’art : la Piéta image image Michel Ange, « La pieta » représente le thème biblique de la Vierge Marie tenant sur ses genoux le corps du Christ descendu de la croix avant sa mise au tombeau. 1498-1499, marbre, 174 cm × 69 cm, Basilique Saint Pierre. Une femme tombe d’un immeuble