Pietà

lignes du décor qui se dirigent vers le taureau. Symbolique : taureau : brutalité Cheval qui représente le peuple Espagnol pour Picasso, est souvent associé à la peinture d’histoire. Oiseau, sans doute une colombe. Mère/enfant : une « Pietà ». Fleur, épée cassée : la promesse de la paix. Eclat lumière : éclat des bombes ? Mise en scène de son atelier Picasso fait-il aussi, sans doute, référence à la représentation d’une scène de théâtre, d’une crucifixion ? d’une scène de retable

vin. La transfiguration : épisode de la vie de Jésus-Christ. Il s'agit d'un changement d'apparence corporelle de Jésus pendant sa vie sur Terre, d'une métamorphose révélant sa nature divine. La descente de croix, déposition, lamentation, la pieta : La résurrection : manifestée par la montée de Jésus et par la présence d'une auréole. Vie de la vierge Rencontre de Anne et Joachim à la porte dorée : se sont les parents de la vierge Marie. La naissance de la Vierge : Immaculée conception

renaissance mais la fragilité de la vie. Le mélange des membres du corps entre les sabots su cheval montrent leur union dans la lutte. La mère portant son enfant mort : à gauche du tableau une femme porte son enfant mort dans ses bras. Elle rappelle une pieta figure de Marie tenant dans ses bras le corps de son fils, Jésus mort. Elle regarde le ciel où sont tombés les bombes qui ont tué sont enfants. Ses yeux et les narines en forme de larmes et la langue pointue comme une arme sortant de sa bouge expriment

cruauté, d’autres le symbole de la résistance. L'oiseau : A peine visible, entre le cheval et le taureau, il pourrait être une colombe, symbole d'espoir et de paix. La mère et l'enfant : Cette femme tient son enfant mort dans ses bras, évoquant une pietà, figure de la Vierge pleurant la mort du Christ. La douleur et les hurlements de la mère sont visibles, les yeux et les narines ont des formes de larmes, la langue pointue sort de la bouche hurlante. Le visage, à la fois de face et de profil est renversé

tableau souffrent sous le soleil artificiel. On est saisi par l’impression de tristesse qui s’en dégage. Le personnage démembré au premier plan illustre l’horreur et la barbarie de la guerre. L’enfant mort dans les bras de sa mère rappelle une Pietà (la Vierge pleurant son fils mort). Ses yeux son en forme de larmes, sa langue en forme de couteau. Tout le monde partage cette douleur universelle. Le personnage aux bras levés, impuissant, désarmé, édenté tombe dans les flammes. L’austérité

conséquences politiques cette conception du sujet a-t-elle ? Si le sujet peut pas être résolu dans l’extériorité la citoyenneté, peut-il instaurer celle-ci dans la puissance et la vie ? Peut-il rendre possible une nouvelle pragmatique militante, à la fois piétàs pour le monde et la construction très radicale ? Quelle politique pour prolonger dans l’histoire la splendeur l’événement et de la subjectivité ? Comment penser une communauté sans fondement mais puissante , sans totalité , mais , comme chez Spinoza

sa langue pointue comme celle du cheval traduisent la douleur, l’horreur de toutes les guerres . Elle a le regard tourné vers le ciel, d’où sont venues les bo mbes. Comme pour le cheval, elle rappelle une image tradi tionnelle : une « Pieta », c’est-à-dire la Vierge à l’enfant. Elle incarne le peuple qui souffre . L’enfant a les yeux vides et la tête pendante. Il symbolise l’innocence assassinée . Le taureau L’un des personnages les plus difficiles à interpré ter. Il

: Ses yeux sont en forme de larmes. Langue en forme de couteau : violence. Elle montre toute l’horreur du bombardement qui touche des civils innocents. C’est aussi une référence à une figure récurrente de l’art : la Piéta image image Michel Ange, « La pieta » représente le thème biblique de la Vierge Marie tenant sur ses genoux le corps du Christ descendu de la croix avant sa mise au tombeau. 1498-1499, marbre, 174 cm × 69 cm, Basilique Saint Pierre. Une femme tombe d’un immeuble

comme une frise, elle peut être décrite de gauche à droite ou de droite à gauche. A gauche on peut voir une femme à genoux la tête rejetée en arrière, hurlant de douleur, avec un enfant inconscient dans ses bras certainement mort. Elle représente la pieta espagnol : la vierge qui pleure la mort du christ. Derrière elle un taureau, le visage neutre avec une expression impassible. On peut seulement voir sa bouche ouvert et la langue pointue qui en sort. C'est un personnage ambigu du tableau : certain

trouve également une femme portant un enfant mort dans ses bras. La mère est en détresse et hurle de douleur. Elle semble pleurer car ses yeux sont en forme de larmes. Cette symbolique de la mère tenant son enfant mort dans les bras ressemble à une Piéta, représentation de Marie tenant Jésus. La seconde frise à droite du tableau est composée de la femme en péril qui lève les bras de manière désespérée. Elle est entourée d’écailles qui font penser aux flammes d’un incendie, rappelant les images des