Pitié Pour Le Mal

Candide, conte philosophique (1759). Mise en scène d’un jeune héros naïf, nourri de la pensée optimiste. Confrontation du héros au cours d’un périple qui apparente le conte à un roman d’éducation, à une multitude d’aventures qui révèlent que tout va mal. Situation du passage Sortie du paradis de l’eldorado. Choc brutal : confrontation avec une réalité de son temps. Axes de lecture Nature du texte : un récit d’une rencontre + un discours : les paroles de l’esclave exposant son statut et les

Depasse- source : litteratureaudio.com Frères humains, qui après nous vivez, N'ayez les coeurs contre nous endurcis, Car, si pitié de nous pauvres avez, Dieu en aura plus tôt de vous mercis. Vous nous voyez ci attachés, cinq, six : Quant à la chair, que trop avons nourrie, Elle est piéça dévorée et pourrie, Et nous, les os, devenons cendre et poudre. De notre mal personne ne s'en rie ; Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre ! Se frères vous clamons, pas n'en devez Avoir dédain

Javert car les animaux choisis sont de plus en plus sauvages. De surcroît, il est apparenté à un animal sauvage car le narrateur développe le champ lexical de la terreur : « mal à l’aise » l.5 ; « terreur » l.6 ; « sauvage » l.7 ; « obscur », « redoutable » l.10. Cela souligne sa ressemblance à un animal qui n’a aucune pitié. Enfin, Javert est présenté comme un monstre. Nous pouvons voir que son visage est assimilé à un paysage sauvage et hostile comme nous le montre la métaphore aux lignes 5 et

Implication du destinataire : apostrophe et adresses au lecteur, questions oratoires - Implication du locuteur : marques de la première personne, modalisateurs, marques de jugement. - Rythmes éloquents amples, périodes - Lexique chargé de valeur (Bien/Mal, etc.)- Procédés d’insistance et d’amplification (hyperboles, superlatifs, gradations, rythmes croissants) - Amples périodes - Champs lexicaux de l’héroïsme, de l’exploit, du merveilleux- Expression du doute (modalisation, interrogation) - Ruptures

Depasse- source : litteratureaudio.com Frères humains, qui après nous vivez, N'ayez les coeurs contre nous endurcis, Car, si pitié de nous pauvres avez, Dieu en aura plus tôt de vous mercis. Vous nous voyez ci attachés, cinq, six : Quant à la chair, que trop avons nourrie, Elle est piéça dévorée et pourrie, Et nous, les os, devenons cendre et poudre. De notre mal personne ne s'en rie ; Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre ! Se frères vous clamons, pas n'en devez Avoir dédain

et à du mal a rester maitre de lui on le voit avec la didascalie initiale «  la secoue soudain, hors de lui » (brutalisé) cela traduit son exaspération devant l’entêtement de sa nièce . - Créon jure « bon dieu » , et insulte même sa nièce « petite idiote » , l’abondance des frases traduit l’énervement . Cette violence traduit le sentiment d’impuissance de Créon car l’appel à la raison ne suffi pas . - Créon cherche déjà a éveiller la pitié de sa nièce avant sa tirade avec « aie pitié de moi »

s’exprimer sous forme de caricature. -La répétition de mots, de phases, de situations. -Quiproquos ou jeux de mots. -L’ironie. -Le burlesque et l’héroï-comique. II/Le Tragique et le Pathétique Le registre pathétique suscite une réaction de pitié ou de temeur devant des situations où les personnages sont victimes de la fatalité et condamnés à un malheur certains. Les procédés -Le lexique de la fatalité, du destin, du désespoir. - Le lexique de la douleur, de la mort du néant. -les figures

celui-ci. 2- Apport du théâtre dans la tragédies La tragédie dans le théâtre remonte à l’ origine au théâtre antique. Elle apparaît au V ème siècle avant Jésus Christ à l'occasion de fêtes religieuses. La tragédie doit inspirer « terreur et pitié » face au destin de héros broyés par les conséquences de leurs erreurs.Ces deux sentiments doivent permettre aux spectateurs de se désolidariser des passions qui ont poussé les héros à agir et donc de ne pas les reproduire eux-mêmes. La tragédie dans

Implication du destinataire : apostrophe et adresses au lecteur, questions oratoires - Implication du locuteur : marques de la première personne, modalisateurs, marques de jugement. - Rythmes éloquents amples, périodes - Lexique chargé de valeur (Bien/Mal, etc.) Louer ou blâmer. Epique - Procédés d’insistance et d’amplification (hyperboles, superlatifs, gradations, rythmes croissants) - Amples périodes - Champs lexicaux de l’héroïsme, de l’exploit, du merveilleux Donner aux êtres, aux choses, aux événements

épanouissement . Tu m’as par exemple marié sans mon consentement à un homme qui ne me correspondait pas du tout ,étant meme l’opposé de moi , il s’averait etre un paresseux, un lache dont j’ai du m’occuper tant d’année en retenant tout le dégout et la pitié que j’avais vais pour lui . Tu le prenais pour un malade et tu le traitais comme tel ,il restait couché tout la journée dans son lit à ne rien faire , à ne pensais à rien , à dormir et à gémir sur son sort. Tu n’as jamais pu découvrir ma véritable