Pitié Pour Le Mal

silence est important. Périphrase, circonlocution : ne prononce pas le nom d’Hippolyte. La tension atteint son paroxysme à la dernière ligne. b) Oenone, une confidente dévouée : Interjection « Quoi ! », multitude de questions : se soucie du mal être de Phèdre. « Mon âme chez les morts descendra la première » : prête à donner sa vie pour Phèdre. Elle pense pouvoir délivrer Phèdre par la parole mais c’est aussi pour elle-même « Délivrez mon esprit de ce funeste doute ». O. est blessée

scène son héros Candide, personnage éponyme, dont la signification renvoie à la pureté, à la naïveté et à la virginité et s’est fait chasser de son paradis perdu, dans des situations tant politiques que religieuses ou sociales, dans lesquelles tout va mal et où il dénonce sur un ton ironique la société de son époque. Pangloss, son précepteur s’accompagne dans ses différentes excursions. Dans notre extrait plus précisément, Candide, son précepteur Pangloss et Cacambo, son domestique sont confrontés au

demander un prêt pour réparer ma voiture. Ana : Alors ils ont pris tes 2 € et après ils sont partis ? Rui : Non, comme je n’avais que deux euros, ils ont voulu ma montre, mais comme elle ne vaut rien, ils ne l’ont pas voulu. Ana: Je commence à avoir pitié des voleurs … Rui: tu es folle ? J’ai eu beaucoup de peur … mais je n’ai pas fini … tu n’imagines même pas qu’est ce qu´ils ont fait ensuite… Ana: Quoi ?? Raconte ??? Je suis curieuse … Rui : Soudainement, un des voleurs m’a regardé attentivement

d’eau Il devait défendre les poules, alors il attaque le renard Il ne dormais jamais beaucoup parce que je gardais la maison contre les voleurs ou les renards. Il est resté blessé près du poulailler. Pendant tout le reste de la nuit, il a eu très mal Son maître abandonne le pauvre chien dans la forêt. – Je résume les passages suivants «Mon maître m’a ramassé …il doit se marier» Le chien vit avec les Bouards il garde les vaches. Il les conduit aux prés, il aide toujours son maître qui  le maltraite

celle de madame Volanges sont liées. Le Bien se mêle donc au Mal de façon irrémédiable et interdit toute pensée systématique. Méchants et victimes sont punis car tous deux sont coupables. II.La lamentation de madame de Volanges Les modulations, particulièrement nombreuses, de la tristesse donne une image éminemment pathétique de madame de Volanges. a)L’expression de l’émotion Au seuil de cette fin que madame de Volanges a du mal à accepter, une série de signes révèle le doute qui habite le

son Essai sur le roman, que "but suprême du romancier est de nous rendre sensible l'âme humaine, de nous la faire connaître et aimer dans sa grandeur comme dans sa misère, dans ses victoires comme dans ses défaites", et il conclut: "admiration et pitié, telle est la devise du roman". Que peut-on penser de la conception du roman que révèlent ces affirmations? Autrement dit, le but du romancier se limite-t-il vraiment à un intérêt psychologique qui se traduit par l'importance accordée aux personnages

1, vous vers 4) et Dieu mentionné dans le dernier vers de chaque strophe et religion dans les vers 16/31. b) Appel à la compassion : - évocation des souffrances endurées : « notre mal » vers 9, « les yeux cavés » ligne 23, ligne 24 - lexique affectivité : « N’ayez les cœurs contre nous endurcis » vers 2, pitié vers 3, mercis vers 4 - rapprochement du destinataire et du locuteur. C) Villon porte parole : Structuration par des connecteurs logiques ( car , quand, si, mais…) révélant son caractère

passages, Mme de Rênal éprouve de la pitié et de la gaieté. | | |b) Mme de Rênal éprouve de la pitié pour Julien car elle le prend pour une «  pauvre créature » et| | |elle a vu qu’il a pleuré. Elle éprouve de la gaieté car elle sait que c’est Julien qui s’occupera | | |de ses enfants et non pas un prêtre sale mal vêtu, qui viendrait gronder et

l'espace-temps un personnage à part entière. Le théâtre classique doit provoquer la frayeur et la pitié chez le spectateur dans le but de réaliser l'épuration de ce genre d'émotions et dans le but d'améliorer et d'apaiser le cœur. La sublimation de la frayeur est une émotion égocentrique. On s'épouvante car les malheurs du personnage pourraient être les nôtres. Au contraire, la sublimation de la pitié est une émotion altruiste. On s'apitoie sur le sort du personnage. C'est une conception du théâtre

Alliance de beau/laid - l'anaphore → justification → paradoxe 2. Description de l'araignée et de l'ortie : - champ lexical laideur (cf périphrase), renforcé par champ lexical noirceur/obscurité et pléonasme. - champ lexical mélancolie → êtres ignorés, mal-aimés, rejetés qui malgré tout attirent le poète. - compassion car victimes, êtres qui ne méritent pas leur condition → champ lexical fatalité => malédiction : image dépréciative et rejet - Registre tragique → champ lexical fatalité et malédiction –