Pitié Selon Nietzsche

certains de nos actes conscients. Ainsi, nous pensons nous connaître, mais nous ignorons pourquoi nous avons de l’attrait ou de la répulsion à l’égard de certains objets. Cela peut être la part inconsciente de notre personnalité qui entre en jeu. Selon Freud, toute névrose provient d’une rupture d’équilibre entre le surmoi, le ça et le moi, qui se manifeste par un sentiment d’angoisse : – le « ça » est totalement inconscient  ; il correspond à la part pulsionnelle (libido et pulsion de mort) ;

certains de nos actes conscients. Ainsi, nous pensons nous connaître, mais nous ignorons pourquoi nous avons de l’attrait ou de la répulsion à l’égard de certains objets. Cela peut être la part inconsciente de notre personnalité qui entre en jeu. Selon Freud, toute névrose provient d’une rupture d’équilibre entre le surmoi, le ça et le moi, qui se manifeste par un sentiment d’angoisse : – le « ça » est totalement inconscient ; il correspond à la part pulsionnelle (libido et pulsion de mort) ; – le

similaire en cela à la thèse de Durkheim, est donc que la conscience morale des individus, c’est-à-dire cette autorité intérieure qui leur rappelle constamment leurs devoirs moraux, n’est pas l’effet d’un sentiment naturel ou divin, comme l’est la pitié chez Rousseau (Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes), mais l’effet de la domination exercée par la civilisation sur les enfants. Pendant tout le 18e siècle, les philosophes se sont penchés sur l’origine de la moralité

désigne en effet le sort ou la fortune. Le bonheur se distingue donc de la bonne fortune dans le sens où la bonne fortune dépend totalement des hasards de la vie et est donc très volatile, très aléatoire, tandis que la stabilité du bonheur est garantie, selon Aristote, par les activités vertueuses. Le rapport au temps permet donc de distinguer le bonheur de la bonne fortune. Le bonheur possède une réelle stabilité temporelle alors que la bonne fortune est fluctuante. Ajoutons une chose importante : pour

Fonction des descriptions ; ornementales :ex : le bouclier d’Achille, cette description n’a pas d’autre fonction que l’esthétique. l’épopée est aussi le lieu du style. 3)Articulation : description / narration : problème déjà posé par Aristote selon qui L’Action : - doit être compliquée - nécessite des coups de théâtre, bcp de malheurs - narration d’événements simultanés - rigueur de construction autour d’une action unique (Omettre ; unité d’action ; le retour d’Ulysse) tout ce qui

POUR UNE « VIBRATION DE L’ÂME TOUTE ENTIÈRE », GRÂCE À L’ŒUVRE D’ANDREÏ TARKOVKI Comment, d’après Andreï Tarkovski, peut-on attribuer à l’art un caractère « mystique », capable de faire « vibrer l’âme toute entière », selon les termes de Kandinsky ?   1     2   SOMMAIRE Avant propos……………………………………………………………………………………….……….… 4 Introduction………………………………………………………………………….………………….….….5 I / LES PREMIÈRES IMAGES ET LEURS PROPRIÉTÉS MYSTIQUE…………………….…….7 A /LA NAISSANCE

"créations" sont comparées à des "fleurs". 52. Voir les notes sur Les Liaisons dangereuses, Pl. II, p. 68, et, dans Le Spleen de Paris, la fin de La Fausse monnaie, Pl. I, p. 324. 53. On en lira plus loin le texte, dans la n. 467 à L'Héautontimorouménos. Selon G. Blin (Résumés de cours, Annuaire du Collège de France, 1967-1968), la première partie du canevas a pu passer dans Madrigal triste. 54. Article proposé en juillet 1857 par Barbey au Pays, et refusé. 55. Rapport au ministère de l'Intérieur, cité

l’inconnu, à l’émancipation grâce à un savoir varié, et par l’effort commun d’une mise en forme grammaticale, oratoire, rhétorique (Bentolila, Le verbe contre la barbarie). Mais si le Verbe est traditionnellement au commencement du monde (Évangile selon saint Jean) et « médiateur de notre rapport à l’objet » (Maurice Merleau-Ponty, Sur la phénoménologie du langage), parler n’est pas seulement le moyen d’une expression, un outil de la communication, mais « parole partout parlante, tendue comme un fil

rendre raison de ce qui découle de lui. Les Grecs le nomment archè, les Romains, principium. À la recherche du principe originel Ce principe, c’est l’eau dont Thalès (vers 600 avant Jésus-Christ) considère qu’elle est le principe de toute chose, selon ce que nous rapporte Aristote : « Sans doute tirait-il cette supposition du fait que l’on voit que la nourriture de tous les êtres est l’humide et que même le chaud en vient et en vit. » Diels-Kranz, Fragments des présocratiques, Thalès A 12 11

rêver d’Alice ou si Alice rêve que sa sœur va rêver d’elle. Quoi qu’il en soit, Betty-Diane et Rita-Camilla sont déjà comme engainées dans le monde onirique du réalisateur, telle Alice qui « n’est qu’une espèce de chose » dans le rêve du roi rouge, selon les dires du personnage de Tweedledum. La question n’est pas de savoir qui rêve, ni même comment cerner la frontière entre rêve et réalité dans la mesure où la réalité n’est finalement rien d’autre qu’un rêve dans lequel s’inscrivent les différents