Plaidoyer Ironique

d'actualité, court et violent, dirigé contre une personnalité connue ou contre une institution. PARATEXTE : c'est l'ensemble des indices "à côté" du texte qui permettent d'en connaître davantage sur lui (nom de l'auteur, siècle,typographie, titre...) PLAIDOYER : discours oral ou écrit qui défend, avec vigueur et éloquence, une opinion ou un parti-pris. (son contraire : réquisitoire) PROGRESSION DU L'ARGUMENTATION : c'est la manière de développer les arguments ; elle peut être linéaire, éclatée ou à thème

Ton solennel, grave : donne majesté, éloquence ('Ciel, nos péchés cette infortune, céleste courroux') - Impératif 1ère pers du pluriel « ne nous flattons » - Utilisation de modalisateurs : « S’il le faut, mais je pense » => LF est ironique car il invite ses partisans à s’opposer à son « sacrifice » *CONVAINCRE : - Recours à des arguments d’autorité (s’appuie sur « L’histoire ») - Examen de conscience - Discours structuré et logique = usage de connecteurs logiques

entre les deux personnages passe par le regard mais aussi par la parole : verbes de parole « demandait » ; « répondit ». L’échange se fait d’autant plus facilement que Des Grieux a perdu sa timidité. Un jeu de proximité dans la passion et de recul ironique s’établit entre le narrateur et cet autre lui-même qui appartient au passé. Ainsi, le vocabulaire de la passion avec la périphrase « Maîtresse de mon cœur », et le vocabulaire de la préciosité avec « enflammé », « transport » témoignent d’une connaissance

pourrons donc nous demander en quoi ce récit est-il caractéristique d’un roman d’amour ? Nous verrons en premier lieu un récit mémoire tragique, puis nous aborderons le coup de foudre qui frappe en plein cœur. I. Un récit mémoire tragique A. Un plaidoyer qui évoque des souvenirs • L’emploi du « Hélas ! » montre un certain remord à travers le jugement qu’il porte sur son aveuglement passé, qui laisse à présager une fin malheureuse : Des Grieux « n’avait jamais pensé à la différence des sexes »,

destinée a celebré le ou les morts. -Le plaidoyer : vise a défendre une personne ou une idée. -La panégyrique : destinée a louer de maniere appuyer une personne. ⦁ Certaines formes servent aussi bien a l'eloge qu'au blâme : - Le portrait d'une personne peut etre laudatif ou critique. -Le blason : forme codifiée de poeme datant de la renaissance.. Il fait l'eloge du corp de la femme aimée mais peut se transformer en description grotesque et ironique. ⦁ Le blâme exprime un jugement dévalorisant

une cause, peut choisir la parole, l’attaque de front (frontale). Pour dénoncer, critiquer, un ordre social qu’il peut juger insatisfaisant, il dispose alors de nombreuses possibilités : du pamphlet à la lettre en passant par l’essai ou encore le plaidoyer les formes littéraires ne manquent pas. Un point commun les réunit toutes : elles sont la base d’une prise de position directe. Ainsi, Zola, lui, par exemple choisit la forme de la lettre ouverte pour prendre la défense du Capitaine Dreyfus. Dans

mélanges philosophiques, se présente, à quelques années d’intervalle, comme une parodie de cet édit, dont Voltaire voudrait nous faire croire qu’il aurait aussi interdit la lecture, l’instruction, et même la pensée…Mais le propos est bien entendu ironique, et la forme plaisante adoptée par l’auteur cache en fait une critique féroce. C’est ce que nous pourrons étudier en trois temps, en nous attachant tout d’abord à l’efficacité argumentative de la forme choisie par Voltaire, celle d’un édit de loi

cette tirade se dévoile-t-elle sous un jour nouveau ? Et comment Alexandre Dumas fils met-il en place un véritable plaidoyer en faveur des femmes entretenues à travers Marguerite ? De « Pourquoi ? » jusqu’à « et nous étouffe » Marguerite expose sa vie et sa condition de femme entretenue de manière très floue et en surface, Dumas prend ensuite la place de Marguerite dans un plaidoyer plus construit sur la condition de courtisane allant de « Nous paraissons heureuse » à « ruine, honte et mensonge »

Soleil, La Fontaine partagera en partie la déchéance de son maître. Colbert dans un premier temps, puis le souverain en personne, ne lui pardonnent pas les années passées auprès du ministre condamné. A cause de cela mais aussi en raison de fables ironiques vis-à-vis du pouvoir, il aura des difficultés à devenir Académicien comme il le désirait, ce qu’il finit par réussir en multipliant les éloges au Roi et à Colbert. Néanmoins il n’appartiendra jamais à la cour. Jean de la Fontaine côtoya dans les

être emprisonné. Voltaire, L’Ingénu, chapitre XIV ÉTUDE ANALYTIQUE Introduction Né en 1694, François Marie Arouet, dit Voltaire, est un des grands hommes du mouvement des Lumières. Écrivain philosophe provocateur et ironique, il utilise ses œuvres pour critiquer avec ironie la société de son temps, la guerre, l’Église, … Il a écrit de nombreuses œuvres de divers genres, notamment les Lettres philosophiques, Zadig, Micromégas, Candide ou Le traité de la tolérance. L’Ingénu