Plaidoyer Ironique

les différents régimes politiques qui se sont succédés dans l’histoire. Extrait : Dans cet extrait du livre 15 l’auteur joue le rôle d’un défendeur de l’esclavage. Le texte est composé de 9 arguments. C’est un texte très ironique. Les arguments que M propose sont un plaidoyer (défense d’une opinion ou groupe de personnes), il faut lire au second degré car c’est en fait un réquisitoire (accusation). Utilité de la première phrase : La première phrase est une phrase conditionnelle, introduite par « Si » :

défendre une cause, peut choisir la parole, l’attaque frontale. Pour dénoncer, critiquer, un ordre social qu’il juge insatisfaisant, il dispose alors de nombreuses possibilités : du pamphlet à la lettre ouverte en passant par l’essai ou encore le plaidoyer, les formes littéraires ne manquent pas. Un point commun les unit toutes : elles sont le support d’une prise de position directe. Ainsi Zola choisit la forme de lettre ouverte pour défendre la cause du capitaine Dreyfus. Dans le journal L’Aurore

maris », est un extrait de Mélanges, de Voltaire. C'est un dialogue philosophique qui met en scène l'indignation de la Maréchale de Grancey lors d'une conversation avec l'abbé de Chateauneuf, suite à la lecture des épitres de Paul. On assiste à un plaidoyer fortement argumentatif de la part de celle-ci, défendant la cause féministe. Voltaire, philosophe des Lumières, est né en 1694 et mort en 1778. Cet intellectuel engagé à marqué le XVIII ème siècle en se mettant au service de la vérité, de la justice

d’ailleurs pas au personnage. Dans l’Ingénu, les deux personnages principaux sont attachants, ils nous sont sympathiques. ⇒ Scène pathétique. -> Vocabulaire pathétique, parfois exagéré (pathos = sensibilité affichée). Voltaire qui est d’habitude ironique, va ici, être très sérieux. -> Malheur de deux victimes : - Mademoiselle de Saint-Yves est un personnage auquel on s’attache car Voltaire le veut : « la belle Saint-Yves », « la belle et désolée Saint-Yves », « l’heureuse et désolée Saint-Yves

On retrouve donc le registre polémique. Voltaire attaque les juges qui ont condamné Jean Calas, les partisans de l’intolérance, les fanatiques. On remarque la véhémence de son discours. Le Traité sur la tolérance appartient également au registre ironique et satirique, notamment au chapitre XVII (Lettre écrite au jésuite Le Tellier) à la page 117, le texte va dans le sens contraire de la thèse défendue car il s’agit dans cette lettre de délivrer les jésuites des protestants. Il y une énumération des

parmi les plus célèbres textes du 18ème qui condamnent l’esclavage en se distinguant par sa stratégie argumentative raffinée puisque Montesquieu feint de défendre les idées des esclavagistes pour en montrer l’absurdité. PB : Comment s’organise ce plaidoyer pour révéler l’absurdité des arguments esclavagistes ? Axe 1 : Le détournement des arguments et l’apparente défense de l’esclavage. ( « Si » = situation hypothétique et « je dirais » (l.2) = conditionnel indiquant qu’il va se mettre dans la

philosophes des Lumières ont-ils léguées aux générations suivantes pour dénoncer l’injustice ? Cette question interroge sur l’écriture et doit permettre de comprendre que les mots, les choix d’écriture peuvent aussi être des armes redoutables. Le plaidoyer, le conte philosophique, l’apologue, le pamphlet, l’ironie, le dialogue ou la conversation sont des armes littéraires que les grands auteurs des Lumières ont maniées à la perfection : elles gardent toute leur pertinence aujourd’hui pour permettre

dans tes bras » l.20. Accusation de corruption que nuire à notre bonheur l.17, tenté d’effacer1.18). Ils ont appliqué une punition excessive l.28-30. La prétendue supériorité de la civilisation européenne est fortement remise en question. III) Un plaidoyer en faveur de mœurs tahitiennes A) Les caractéristiques de la vie tahitienne Civilisation marquée par la liberté (nous sommes libres l.22 ;31. Certaine égalité des hommes : l.32-33- frère… absence de propriété privée ici tout est à nous l.18. Liberté

c’est un peu triste de s’enivrer tout seul » ; * -  °La solitude : « Comment ! pas un de vos amis [...] solitude » ; * -  °Ses mœurs de libertin : sa solitude de cœur en l’absence de Rosalinde. * -  Ses critiques sont ironiques et agressives. Ce faisant, elle se découvre beaucoup dans sa critique, dans ce qu’elle se préoccupe de la vie d’Octave. Son libertinage, si opposé à sa vie officielle, la séduit-il ? * -  De son côté, Octave va développer une argumentation

laisse pas la parole *ironie signe de supériorité et de désinvolture. *réaction violente « j’ai jeté le livre », « je lui aurais fait voir du pays » (euphémisme/menace) c)l’ironie du narrateur * regard moqueur du narrateur : les phrases  ironique * portrait d’une fe futile avec l’antithèse « cette dissipation (…) qui occupe sérieusement les fe» *frivolités, occupations oiseuses « n’ayant jamais mis dans sa tête que les nouvelles du jour » *ignorance : elle découvre un des textes sacres