Plaire Et Instruire L

implicitement : niveau de compréhension parfois difficile, pas à la portée de tous, sous entendus parfois pas compris/ références historiques si manque de culture pas vues. c) Il n'est cependant pas exclu que l'écrivain critique en divertissant = plaire et instruire mais cela ne relève pas de l'engagement réel car ce n'est pas la principal priorité de l'auteur. Il ne se revendique pas comme engagé même si en fonction de lecteur celui ci peut le percevoir comme tel (divertir avant tout pour l'écrivain)

Leur Rôle Éducatif Parce Qu'elles Donnent À Voir Ce Qu'il Ne Faut Pas Faire. Vous Discuterez Son Point De Vue En Prenant Appui Sur La Fonction Traditionnelle Des En lui supposant réellement l'objet d'être entendue des enfants, de leur plaire et de les instruire, cette fable est assurément son chef-d'oeuvre : qu'on me permette donc de la suivre et de l'examiner en peu de mots. Rousseau analyse ensuite « à la manière d'un enfant » Le Corbeau et le Renard de La Fontaine et conclut qu' « on leur apprend

l’idée de « sombres ») ; « Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement » (= vérité générale) ; « terme impropre » ; « Mon esprit n’admet pas un pompeux barbarisme » ; « d’un vers ampoulé l’orgueilleux solécisme » ; - Devise du classicisme : « Plaire et instruire ». - Référence à La Fontaine : « Le lièvre et la tortue » : « Travaillez à loisir, quelque ordre qui vous presse, / Et ne vous piquez pas d’une folle vitesse : / Un style si rapide, et qui court en rimant », puis : « Hâtez-vous lentement »…

(complicité) avec l’auteur. Ex : Rien qu’au cinéma il y a eu 33 représentations différentes des Misérables. Les trois grands fabulistes de l’antiquité étaient Phèdre (qui critiquait également sa société), Esope, et Terence. ♥ Objectif : « plaire pour mieux instruire » Dans son premier texte L’Art des Fables, Lafontaine définit lui même son intention d’éduquer ses contemporains. « Je me sers d’animaux pour éduquer les hommes ». Corp : récit+Ame : morale instruction ♥ Les particularités

auteur de piece de theatre cache les passion pour les rendre plus agréable , ces passion sont donc « dépouillées de ce qu'elles ont de plus horribles », quand a rousseau il veux montrer que le theatre et adapter a tout public et qu il est la pour plaire  il evoque que '' le principal esr de paire '' et '' que le peuple s amuse '' et non pour se soucier d une morale , mais ce n est pas  « l'utilité qui la détermine »,     puis on peut constater que pour certains auteur le spectacle doit apporte

de compositions poétiques à part entière. Si l’auteur s’inspire des apologues du grec Esope et de l’auteur latin Phèdre, il transforme et renouvelle le genre en façonnant ses textes selon l’esthétique classique, dont l’un des préceptes est ‘’instruire et plaire’’. D’après Phèdre, la fable a pour mission de faire rire (risum movere), d'avertir par l'exemple (exemplo movere), et de corriger les erreurs en charmant l'oreille. ‘’ Si quelque chose m’a toujours profondément écœuré chez l’homme, c’est

typique de la vie sociale , la loi du plus fort. On peut y voir aussi une dénonciation ironique de l'hypocrisie de ceux qui résonnent pour justifier l'usage injuste de la force. La Fontaine s'inscrit donc bien dans la devise des Classiques, « Plaire et instruire » puisqu'il sait aussi révéler son talent de conteur à travers un récit vif et animé

III-5, La Fontaine. Introduction : Au XVII siècle, la société se concentre autour de la cour du roi. Les écrivains comme La Bruyère ou La Fontaine soulignent les nombreux travers de leurs temps dans leurs œuvres fidèles à l’idéal classique : instruire et plaire. Ainsi en 1668, Jean de La Fontaine publie ses Fables, dans celles-ci, des apologues inspirés d’Esope tirent les leçons de cette observation sociale. La fable 5 du livre III : « Le renard et le bouc » illustre la nécessité de bien examiner

scène des personnages types qui incarnent des thèses ou des idées plus ou moins convaincantes (EX : Pangloss incarne l'optimisme contre lequel s'oppose Voltaire). • Il s'apparente à l'apologue et la fable, car il garde un objectif didactique : instruire et plaire en illustrant une leçon (plus ou moins implicite) par le biais d'un récit. • Il s'efforce cependant de dépasser les mœurs de l'époque pour proposer une réflexion plus large. Il crée un espace de débat plus vaste (voire à vocation universelle

Intro : Instruire et plaire, ou « Placere et docere », tels étaient les impératifs d’un discours réussi et assuré de persuader les juges lors d’un procès, selon l’orateur et avocat Cicéron, virtuose en la matière. Il semble en effet que la persuasion doive passer par la séduction d’un discours agréable, qui entraîne l’auditeur à adhérer presque insensiblement à la thèse que défend l’orateur. Nombre de discours argumentatifs se signalent en effet par des procédés rhétoriques qui séduisent le lecteur