Plaire Et Instruire L

l’écriture, une fine perception de la psychologie humaine et une critique aiguisée de la société de sont temps on hissé JEAN DE LA FONTAINE parmi les grands fabulistes de lalittérature. Ses fables, dont il se sert, comme il le dit lui-même, « pour instruire les hommes » sont-elles destinées aux enfants? Peut-on montrer cette critique de l’homme et des mœurs à des enfants quidécouvrent la vie et leurs semblables? On observera donc ici une réflexion en deux parties. Premièrement, on verra pourquoi les

lasser : « Une morale nue apporte de l‘ennui ; le conte fait passer le précepte avec lui ». Son mot d’ordre, plusieurs fois affirmé, est en effet de « plaire tout en instruisant ». c'est par l'union des 2 vises : l’utile à l’agréable que l’apologue paraît efficace à ces auteurs classiques, pour lesquels il est impensable de distraire sans instruire, et l’on peut se demander s’il ne serait pas, en effet, une des formes d’argumentation les plus efficaces qui soient, en raison de sa clarté, et de

la science et à la raison (« découvrir des secrets » « intelligence ») Conclusion du commentaire - position ambivalente sur l'homme, à la fois « méprisable » (il faut le remettre à sa place!) et capable de raison, ce qui fait sa grandeur. - « plaire et se rendre utile » « Tous les genres sont bons, sauf le genre ennuyeux »(Voltaire) CHAP. II Situation des personnages : le Simien et le Saturnien 1. Une scène de théâtre le texte est presque entièrement au style direct, le personnage

Le mot Fable vient du latin « fabula » qui désigne un court récit, une fiction. L’un des plus célèbres fabulistes est Jean de La Fontaine.Il a écrit deux recueils de fables, qui comportent 243 fables en prose. Une en 1668 du livre I à VI destinée à Louis de Bourbon puis une autre en 1678 du livre VII à XI écrite pour Mme de Montespan. Jean de La Fontaine est également un célèbre poète, dramaturge, moraliste du XVII ème siècle, il fait partie du mouvement classicisme et de l’Académ ie

pour objectif principal de provoquer le rire - le comique y était intermittent, mêlé aux intrigues de héros de convention et aux grands sentiments10 - mais d'édifier le spectateur en suivant le précepte horacien « prodesse et delectare » (« plaire et instruire »)21. Molière n'oublie pas cette dimension morale dans L'École des femmes, qui pose la question de l'accès des femmes au savoir, de leur statut au sein de la famille et de la société, voire de leur éducation à la sexualité22. Cette question

garder ses distances, à fuir un ton emphatique, comment ne pas penser que le narrateur ne coïncide pas un peu avec ce roseau, en tout cas dans une phrase comme « Mais attendons la fin » ? b/ Un poète Les classiques voulaient instruire (c/ Un moraliste) et plaire. Notre récit est en effet poétisé par plusieurs procédés. Les symétries jouent des rôles divers. Celle du vers 10 est une comparaison dans laquelle le roseau sert au chêne de faire-valoir. Celle du vers 28 fait durer le suspense. Cette

Rochefoucauld (1664) illustre le projet de La B. Comme lui, il énonce des vérités universelles, sur la nature humaine, les comportements en société. Il veut dire ces leçons en peu de mots, laissant le lecteur prolonger la réflexion. Il veut ‘’plaire et instruire’’ (placere et docere, précepte des Classiques), avec des formes diverses (remarques, portraits, blâmes, éloges, satires, formes plus brèves que la réflexion ou le conte). Il est un précurseur des Lumières, pratiquant l’esprit d’observation (comme

Elégiaque : expression sur le ton de la plainte d’une tristesse du poète. 17ème siècle :le classicisme * Auteurs s’inspirent de l’antiquité * Auteurs classiques suivant des règles très précises * Le but des auteurs classiques : plaire et instruire 19ème siècle : la poésie romantique * Romantisme lyrique : texte qui exprime les sentiments du poète * Texte qui développe l’imaginaire soit par le fantastique, ou l’exotisme * Romantisme engagé : texte qui défend les causes sociales

style. On assiste à un élargissement du public touché par ce courant. Les concepts sont souvent d'être contre l'église, la légitimité d'un art profane (= sans caractère sacré ou religieux)... La devise de ce courant littéraire est : PLAIRE et INSTRUIRE à travers le plaisir, le rire, les larmes c'est à dire la réflexion sur ce plaisir, l'émotion que le lecteur peut et doit la morale instaurée à la fin du récit exprimer et ressentir durant l'histoire. (pour que le texte ne soit pas une

LA MORT ET LE BÛCHERON, La Fontaine Introduction : C'est un moraliste, fabuliste, du classicisme. Il cherche à plaire et a instruire. Il s'inspire d'Ésope (fabuliste grec). Dans Le pouvoir des fables, il montre que la fable est efficace pour faire réfléchir. Plan : Première partie : Le tableau pathétique du bûcheron Situation de pauvreté Notion de pauvreté, sens affectif (l.2) + sens financier