Plaisir Désintéressé

un pur plaisir esthétique désintéressé, il exprime l'idée que l'art ne répond pas à un besoin réel et nécessaire de l'homme. L'art relèverait ainsi de la simple utilité en tant qu'il procure un sentiment de plaisir, semblable en cela à d'autres. La spécificité de l'art n'aurait donc pas de valeur de nécessité et ne répondrait pas à un besoin particulier, sinon celui de donner du plaisir à celui qui juge. En ce sens, il n'a pas de nécessité sinon pour seule finalité que de procurer du plaisir. L'art

EN RELATION entre sujet qui dit et l’objet Jugement, discours : Traduction de l’effet de l’objet sur moi. JUGEMENT ESTHETIQUE * Ne peut être beau que l’objet d’un plaisir désintéressé Plaisir sensible : touche sens (Pas Matériel) Que vole le voleur de tableau ? Juste l’objet matériel CONTEMPLATION = Plaisir désintéressé. Ne désir pas posséder Jugement est pur et libre Une œuvre peut ne pas être belle : Urinoir de Duchamps On contemple sans vouloir = Satisfaction Esthétique * Est

utile à la société, synonyme de vertu morale. Dans le travail, l’homme doit être animé par l’amour du travail comme source d’un plaisir intense. Le travail que l’on accomplit et qui a sa fin en dehors du travail lui ne procure aucun plaisir. Il est source d’inquiétude, en tant qu’il ne satisfait jamais son auteur. L’amour du travail comme attachement désintéresse à la tâche à accomplir, comme un devoir moral vis-à-vis de la société est la condition du bonheur humain, cela signifie en outre

de plaisir parfois externe ou non. Pour créer une oeuvre d’art, l’artiste s'interroge sur son esprit, sur son état d'être et sur sa façon de vivre, plus souvent sur du vécu. Les oeuvres d'arts sont souvent crées pour rappeler ou même aider l'imagination à créer un événement rêver. L'être humain est fait et conçu pour rêver, vivre dans la joie, il a bien sur parfois des peines, mais grâce à l'art, quel qu'il soit, il se remet de ses malheurs. Et cela nous amène à un sentiment de plaisir. Mais

rapportée au sujet, et non à l'objet. Dans les jugements des sens (ceci m'apparaît rouge, j'entends un bruit), la représentation est rapportée aux seules facultés de connaître du sujet. Dans les jugements de goût, elle est rapportée aux sentiments de plaisir et déplaisir du sujet. Le beau et le sublime plaisent en eux-mêmes, comme l'agréable et le bon. Les jugements de goût s'opposent ainsi aux jugements logiques qui eux sont des jugements constitués connaissances (2+2=4, tout changement a une cause)

Les désirs qui impliquent la souffrance ne peuvent nous rendre heureux. Il en va de même des désirs qui impliquent des plaisirs mêlés de douleurs (Platon,Philèbe). Dès lors, pour être heureux, il importe de connaître le Bien et de vivre selon lui. Et s’il est difficile à connaître, au moins la vie qui consiste à le rechercher a le mérite de nous amener à éviter les faux plaisirs que suscitent les opinions et la vie en société. Ne peut-on faire un pas de plus et finalement considérer que ce sont tous

Car il est bien d'autres moments, qu'on nommerait les plus beaux de la vie, des joies qu'on appellerait les plus pures; mais elles nous enlèvent au monde réel et nous transforment en spéctateurs désintéressés de ce monde; c'est la connaissance pure, pure de tout vouloir, la jouissance du beau, le vrai plaisir artistique; encore ces joies, pour être senties, demandent-elles des aptitudes bien rares; elles sont donc permises à bien peu, et, pour ceux-là même, elles sont comme un rêve qui passe; au reste

avantages ? La vérité n’est-elle pas simplement ce qui nous apparait comme vrai ? Alors est-ce réellement pour tous ces avantages que nous la recherchons ? Ne peut –on pas la cherché pour sa valeur propre ? En somme recherche-t-on la vérité de manière désintéressé ou pour obtenir une multitude d’avantages ? D’un côté il semble tout d’abord évident que l’on recherche la vérité dans le but d’obtenir quelque chose car il est évident que lorsqu’nous recherchons quelque chose nous le faisons dans un but précis

difficile à connaître, au moins la vie qui consiste à le rechercher a le mérite de nous amener à éviter les faux plaisirs que suscitent les opinions et la vie en société. Ne peut-on faire un pas de plus et finalement considérer que ce sont tous les désirs qui doivent être mis de côté ? Est-il possible d’être heureux en cherchant le plaisir ? Comment être heureux s’il faut obtenir des plaisirs qui dépendent des désirs ? Épicure a proposé pour cela une analyse qu’on peut résumer en trois points. D’une

CONCLUSION A la gloire du Grand Architecte de l’Univers Vénérable Maître, Et vous tous mes sœurs et mes frères en vos grades et qualités, Après ma deuxième planche portant sur « l’Equerre », j’ai l’honneur et le plaisir de vous présenter ce jour, avec l’aide du Frère Premier Surveillant, ma troisième planche au grade de Compagnon qui porte sur : « La beauté ». Mon approche de la beauté s’articule en trois parties à savoir: ➢ La définition