Plaisir Désintéressé

consciente d’une œuvre manifestant la volonté esthétique d’un artiste et sa sensibilité. L’Art, se veut donc de rechercher le beau et par conséquent de transmettre un plaisir esthétique, l’art cherche aussi à éveiller la sensibilité de chacun et donc de provoquer diverses réactions. Mais la création d’une œuvre qui veut provoquer un plaisir avant tout esthétique doit-elle toujours susciter une flatterie des sens ou au contraire tourmenter et déplaire ? Tout d’abord nous verrons qu’il paraît essentiel

de l'art est souligné par Kant lorsqu'il analyse l'effet que la beauté doit procurer aux spectateurs. Alors que ce qui est agréable procure un plaisir à nos sens et satisfait en même temps un besoin, comme par exemple le fait de manger un gâteau au chocolat, la beauté ne satisfait aucun besoin, c'est un plaisir purement spirituel qui doit être désintéressé. Cf. Le texte de Kant analysant les différentes réactions possibles face à un château : pour apprécier uniquement la beauté du château, il ne fau

but Esthétique : formes/fins : le jugement esthétique est celui qui se porte aux formes. Kant distingue dans le jugement de goût 4 moments Étude du 1er moment : du point de vue de la qualité La sensation agréable : expérience intéressée : plaisir organique Et le sentiment du beau :des/intéressé : Définition du beau déduite de ce premier moment : le goût est la faculté de juger d’un objet sans aucun intérêt. On appelle beau l’objet d’une telle satisfaction. Étude du 2e moment : du point

Le bonheur Repères conceptuels - 0 Autres repères - Idéal/Réel. Objectif/Subjectif. Plan I «Au petit bonheur la chance» ? II Bonheur et plaisir III Bonheur et sagesse IV Conscience et perfection humaine I «Au petit bonheur la chance» ? . Selon l'étymologie, le mot français évoque d'abord le hasard et la for­tune: « heur» désigne le sort, et « bon-heur» la bonne fortune. « Bonheur» de tirer le bon numéro ou de faire une rencontre agréable. Il est syno­nyme de chance ou d'heureux

conbattre les contraintes qui nous empeche de faire rationnelement un choix libre. Si ON MET notre RAISOn au service du bonheur on perd lautonomi de notre jugement donc notre LIBERTÉ. CRITIQUE : Hors d’Atteinte :POSSIBLE DAGIR de manière completement désinteresser? Conaissance moral : casi impossible de savoir les raisons des autres , on peut se mentir a soi-meme…. Utilitariste Anglo-saxon xixe siecle.. (soppose au rationalisme qui voi dans la raison la voi unique vers la connaissance) Moral fondé

l’érudition et la maîtrise des différentes techniques qui ne pourrait être accessible qu’à une élite culturelle et universitaire capable de la recevoir. 2.De la definition commune le beau et l’utile s’excluent. Ainsi, le beau est definit comme un plaisir desinteresse, il doit plaire independamment de tout interet. En ce sens , il n’a pas une fonction utilitaire. La finalite du beau est d’etre ontemple, il s’offre au regard et sa suprematie/transcendence/preexcelence vient justement de son inutilite.

PLAISIR (n. m.) ÉTYM.: latin placere, "plaire", "être agréable". SENS ORDINAIRE: satisfaction physique ou morale. PSYCHOLOGIE: pôle de la vie affective, par opposition à la douleur, résultant de la satisfaction d'un besoin et dont la représentation engendre désir et intérêt. PHILOSOPHIE MORALE: Souverain, Bien, dans les doctrines morales hédonistes. ESTHÉTIQUE: sentiment de satisfaction désintéressé, éprouvé en présence de la beauté, qu'elle soit naturelle ou artistique. Le plaisir est le plus souvent

un pur plaisir esthétique désintéressé, il exprime l’idée que l’art ne répond pas à un besoin réel et nécessaire de l’homme. L’art relèverait ainsi de la simple utilité en tant qu’il procure un sentiment de plaisir, semblable en cela à d’autres. La spécificité de l’art n’aurait donc pas de valeur de nécessité et ne répondrait pas à un besoin particulier, sinon celui de donner du plaisir à celui qui juge. En ce sens, il n’a pas de nécessité sinon pour seule finalité que de procurer du plaisir. L’art

lui-même et, enfin, de créer. Je pourrais même affirmer que l’être humain a besoin de cette étincelle qui permet d’allumer le feu flamboyant de l’amour. Proust compare la lecture à une amitié. Dans la lecture, l’humain trouve le sens de l’amitié désintéressé, le sens de la vie, quoi! Une amitié pure et calme qu’est la lecture comme le dit si bien Proust. Et c’est à partir de ce sentiment de pureté, de transparence et de fidélité que les rapports de la vie et le rapport avec l’amour prend tout son sens

toujours intéressé c à d qu'il ne vise pas la chose même mais ce qu'elle procure. Le beau est désintéressé, il ne vise pas autre chose que lui même, nous l'apprécions non pas pour ce qu'il nous procure (avantage, plaisir) mais pour lui même. C'est pour cela qu'on peut dire qu'une chose est belle sans pour autant nous plaire. Le beau n'a rien avoir avec le plaisir charnel, naturel, sensible, le beau est un plaisir abstrait. II- La fonction première de l'utile n'est pas celle du beau, par nature ils