Plaisir Liberté

circonstances et de l’utilité. Problème : Quel moral faut-il suivre ? 1. Morale du plaisir 2. Morale de la vertue 3. Morale du devoir Faut-il suivre une morale de l’intérêt ou bien une morale du don et de la générosité désintéressée et gratuite ? Autrement dit, sur quoi la conscience morale fond t-elle sa légitimité ? Remarque : La question du devoir va être traité dans le chapitre sur le bonheur et la liberté. Chap I Bonheur et morale Dans notre société, il semble qu’il faille

stratégie, etc. Aristote se demande donc s'il n'existe une chose qui soit la fin dernière de tous nos actes, qui ne soit pas « désirable en vue d'une autre chose » mais uniquement en elle-même. La seule fin de ce genre est le bonheur : même l'honneur, le plaisir ou l'intelligence sont des fins en vue du bonheur. Le bonheur est donc la fin suprême de toutes nos actions. « Le bonheur est quelque chose de parfait et qui se suffit à soi-même, et il est la fin de nos actions. » Éthique à Nicomaque, Aristote

pour les cyniques le bonheur peut être comblé que si ont cessent de la cherche , il faut refuser le plaisir qui mènent l’homme vers un cercle vicieux de dépendance envers le plaisir . Selon un cynique, une fois qu’un être à accès au plaisir, il en redemande toujours plus même si le plaisir est pleinement satisfait car cela le rend supposément heureux mais au contraire ça le rend dépendant du plaisir . Le bonheur , conformément aux écoles cyniques , c’est un conditionnement constant a la souffrance

ses désirs? Mais nous devrions plutôt parler du plaisir qui n'est que chronique et n'apporte pas nécessairement le bonheur? Ce plaisir serait en fait d'obtenir ce que l'on a pas encore, c'est l'objet de notre désir. Mais outre l'objet et notre tentative de possession ou de ressentiment, le désir se s'apparente-il pas avec le plaisir même de désirer, et dans notre quête perpétuelle du bonheur, ne cherche-t-on pas à désirer plus pour plus de plaisir? Mais n'y a t-il rien de plus artificiel que de vouloir

Se libérer du désir peut-il être un mode de vie ? Se libérer = reconquérir sa liberté. Sous-entends que le désir est aliénant. Obstacle à la liberté. Désirs = 2 types : désir d’avoir et désir d’être. Vouloir ce qu’on a pas(manque) ou augmenter ce qu’on a déjà ! Mode de vie, idéal de vie : représentation d’une vie la plus parfaite possible, qui permettrait au mieux de s’épanoui, qui nous correspond. Vise une perfection de soi. * L’idéal de vie nécessite-t-il de se libérer de tous les désirs

marque une longue durée. Ce terme montre dès lors bien que ce moment, au contraire, ne s’éternise pas. Et en même temps, frivole peut avoir une connotation d’insouciance, de liberté. Cela nous permet de faire un lien, peut-être faible, mais présent, avec enchantés. Il paraît alors opportun de signaler un rapport avec le plaisir que le temps qu’on passe, des jours et heure, nous apporte. Du reste, bien que l’heure soit frivole et donc fugitive, il faut indique que la saisir est impératif. Or saisir

A. Le désir est associé au plaisir, à la satisfaction Par exemple, manger avec appétit des bonnes choses, comme un bon épicurien, c’est être satisfait de la nourriture qu’on a et non de celle qu’on a pas. Le désir peut donc être défini comme la capacité de se réjouir de ce que l’on a au lieu de vivre constamment dans la souffrance d’un manque. Pour Epicure dans Lettre à Ménécée , les désirs apportent le plaisir et la satisfaction. En effet, il pense que le plaisir est un état du temps présent

existe aussi une hiérarchie des désirs comme la souffrance et le bonheur. Selon Épicure « Il faut éviter d'avoir des désirs insatisfaits ». Mais seuls les désirs naturels sont ceux qu'il faut assouvir, alors nous serons heureux. D'après Épicure « Le plaisir est le commencement et la fin de la vie heureuse. Selon les stoïciens, il faut vivre conformément à la nature et ne pas s'occuper de ce qui ne dépend pas de nous. « Une vie heureuse est donc celle qui est en accord avec sa nature » dixit Sénèque.

l’observe Pascal : « On aime mieux la chasse que la prise. » Au fond, comme l’écrit Nicolas Grimaldi « ce que recherche le désir n’est jamais un objet, mais toujours et uniquement l’intensité dont sa quête est seulement l’occasion. » Proust, Les plaisirs et les jours «  Le désir fleurit, la possession flétrit toutes choses. » D’autre part une satisfaction complète du désir semble impossible, car le désir ne cesse de se tourner vers d’autres objets dont il est privé. Le personnage de Dom Juan illustre

Somme ns maitres de nos desirs ? Le désir est d’abord la prise en conscience d’un manque dont la satisfaction procure du plaisir. Quel est le pt d’origine de ce désir ? Il se distingue d’un besoin car Un besoin est plus général. On a besoin de manger et de boire. Les besoins st vitaux on ne les désirent pas. Ils ont necesssaires et naturelles alors que le désir est attaché à un objet particulier. Le désir n’est pas la meme chose que la volonté non plus. La volonté est plus rationnelle. On planifie