Plan Détaillé Sur Le Rire

Problématique : Comment les comédiens nous font ils rire et qu'est ce que cela nous apporte ? Document 2 (pivot) Document 1 Document 3 Document 4 Piste de réflexion De Gad Elmaleh à Florence Foresti, le rire fait recette Nathalie Simon Le figaro 23 Avril 2010 Article de presse argumentatif Résumé : le succès des humoristes français. Le Schpountz Marcel Pagnol 1938 Film : Comédie Résumé : Irénée, acteur est malheureux car son rôle fait rire, il en discute avec Françoise. De quoi rions nous

Conseils pour bâtir le plan du commentaire Le plan doit être équilibré en ce sens que chacune des parties doivent être à peu près de même longueur. Si ce n’est pas le cas, c’est que le plan est mal construit : il faut alors le revoir.Le plan est préférablement progressif : les analyses les plus simples viennent avant, et les analyses les plus complexes, les plus approfondies, viennent après. L’idée est d’aller de l’évidence (premières impressions sur le texte) vers le sens caché (c’est-à-dire

aborder le thème de la folie et des superstitions pour finir avec le présence simultanément du rire et de la peur, du comique et de l'arabesque. *** La nouvelle est coupée en plusieurs parties, il y a une gradation dans les événements, tout d'abord le narrateur annonce ce qu'il compte faire, prouver sa santé mentale « observez avec quelle santé, _ avec quel calme », puis nous avons des détails sur l'arrière plan de l'action, comment il met en place le meurtre et l'exécute, à partir de « Maintenant ,

réaliser un théâtre Shakespearien, en y incluant beaucoup de scénographie, tout en gardant très marqué le comique, puis le tragique. En effet, nous arrivons, la pièce commence, et déjà alors je peux découvrir tout un montage gigantesque en arrière plan ; un grand échafaud de métal, cela me fait penser à un labyrinthe en hauteur. Les personnages jouent alors dans un décor minutieux, très représentatif. Le souhait de rendre tout comme il est dans la réalité de la part du metteur en scène, est directement

|Jugement et bûcher de |enterrement de sardine , |Caractéristiques du carnaval | |(cavalcades, mascarades, défilés, |brancard bariolé, procession|Caramentran, cris chants, |parodie, masques, |(rire, grotesque, processions | |bûcher) : rire, parodies, |parodique, grotesque |danses, parodie |travestissements, défilé, |parodiques) | |grotesque | |

Correction DNS n°2 : Plan détaillé * « Mécanique plaquée sur le vivant » : définition du Rire par Bergson, qui s’applique très bien à Oreste. * On pouvait se servir de Bergson pour contrer René Bray. I) Épanouissement du rire (Thèse de René Bray). 1.1 En dépit d’une comédie de genre noble. Le Misanthrope se fonde sur l’écriture codée de la comédie. On a des stéréotypes dans Le Misanthrope : Le jaloux (Alceste) La séductrice (Arsinoé) Le couple Eliante-Philinte :

(« regard si rempli de grâce de madame de R. »). A noter : détails beaucoup plus sensuels dans le regard porté par madame de R. sur Julien : lui progresse de la voix vers le regard, le vêtements et le teint ; elle observe sa figure, ses vêtements, les « grands yeux noirs  », les « jolis cheveux » mouillés. * La naissance du sentiment amoureux observée depuis la surprise (« Mme de R. resta interdite ») jusqu’à la joie (« elle se mit à rire, avec toute la gaieté folle d’une jeune fille ») ; de la

obéira aux règles de la vraisemblance, qui imposent le respect des unités de temps, d’action et de lieu : car le but du théâtre est de figurer le monde, par les moyens d’une illusion qui a sa logique propre. Dans une telle définition, notons-le, le rire ne figure pas : il s’agit essentiellement de divertir et de plaire, en restant dans le ton de la bonne compagnie et en apprenant aux hommes à mieux se connaître. La comédie héroïque se donne explicitement pour la recherche d’une intériorisation

1. c) Une évocation presque médicale du corps de Nana Dans ce portrait Zola n’épargne aucun détail même les plus crus. Cette description est presque celle d’un médecin légiste. Ce corps est devenu une masse, une chose (« jetée-là, bouillie informe, boue »). Champ lexical de l’horreur : « un charnier, un tas d’humeur et de sang, une pelletée de chair, les pustules, moisissure, suppurait, rire abominable, etc.) Champ lexical de la fascination : « dans la clarté de la bougie, sur un coussin

l’extrait proposé, Arnolphe dévoile à travers une longue tirade ce qu’il éprouve face à l’amant de celle dont il veut faire sa femme. On étudiera donc comment le désespoir d’Arnolphe suscite le rire chez le spectateur. Problématique : Comment le désespoir d’Arnolphe suscite le rire chez le spectateur ? Plan détaillé : I. Arnolphe, un personnage submergé par ses émotions 1. Des sentiments contradictoires : colère et amour - emploi de l’anaphore : « j’enrage » exprimant son immense colère. Celle-ci