Platon Autorité Et Finalité

menée par les municipalités. En effet, le street art se veut un art basé sur des pratiques illégales. L'adrénaline est un moteur essentiel des artistes. Mais art et vandalisme, volonté d'accessibilité au plus grand nombre et discrétion face aux autorités sont des oppositions qui rendent ces nouvelles pratiques paradoxales. Elles le sont aussi car elles sont intégrées dans une contre culture urbaine. Appelée aussi « culture underground », le street art est issu d'une culture « souterraine », alternative

l’idée de justice. Aujourd’hui on dit plutôt que le droit est une science. C’est une règle obligatoire, normalement assortie de sanctions, émanant de l’autorité légitime. Le Droit se distingue de la morale et de la religion, mêmes s’ils ont la même finalité. Ex.: le droit s’occupe de l’organisation et de la vie en société, alors que la religion va s’occuper du salut de l’individu. Ils n’ont pas les mêmes sanctions, car la sanction religieuse est interne à l’individu (le remord). En droit, on dit

soient positives ou négatives, se répercutent sur l’environnement auquel nous appartenons, et souvent de façon très dangereuse, et cela par le biais des opinions et des préjugés. Sans nous en rendre compte, nous nous abritons derrière l’avis des autorités reconnues, des gens célèbres, tout simplement des voisins ou du plus grand nombre, pour reprendre à notre compte des opinions dont la « probabilité de vérité » tient tout simplement au fait que d’autres les partagent. En quelque sorte, « faute de

affirmé l’infinité de l’univers, lorsqu’elle condamne Galilée à renoncer à soutenir l’option copernicienne en matière de système planétaire, il est clair que les énoncés des deux domaines sont incompatibles car à l’opposé de la science naissante, les autorités religieuses s’en tiennent au principe d’un monde fini et à l’option ptolémaïque. De deux affirmations contradictoires, il est impossible qu’elles soient vraies toutes les deux. Elles peuvent être fausses l’une et l’autre, mais s’il y en a une de

Les doctrines du moyen age, seraient obsolètes et ne serviraient à rien→FAUX (On ne peut pas comprendre l'économie si on a pas lu Aristote → Livre 5/ ) Il y a pas de progrès global. (Quand on parle de progrès il faut s'interroger sur la finalité du progrès, que recherche-on ?) On a régressé sur la culture générale. (Culture Disney.) Cela empêche le mode de la réflexion. Héraclite : « Le temps est un fleuve ou tout coule » → Image progressive. → VISION FAUSSE, pas de véritable vision

école comporte néanmoins des points faibles : 40 Chapitre 6 : la synthèse de Mintzberg 41 I) L’œuvre de Mintzberg : la structuration des organisations 41 II) Mécanismes de coordination 41 1) Six mécanismes de coordination 41 2) Les finalités de ces mécanismes 42 3) Une modélisation du fonctionnement des organisations 42 A) Les 5 + 1, donc six parties de base d’une organisation 42 B) Les quatre coalitions externes 43 C) Les flux 43 4) Les paramètres de conception de l’organisation

le pouvoir diminue et plus la liberté augmente. Comme pour la notion de justice on ne connaît pas de définition universelle de la liberté, les libéralistes la définissent comme étant « l’absence de contrainte extérieure». D’autres penseurs comme Platon et Rousseau estiment que l’homme doit se libérer de lui-même, le pouvoir peut alors revêtir la forme d’une force libératrice. Le pouvoir protège l’homme contre lui-même. Certains penseurs loin de chercher une relation entre le pouvoir et la liberté

fondement. La Morale a pour objet de dire ce qui est bien ou mal, elle édicte des règles de comportement. A la différence du droit, la morale relève du fort intérieur, de la conscience. Elle a une finalité individuelle qui est le perfectionnement intérieur de l’individu. Au contraire, le droit à une finalité sociale qui est l’agencement d’un certain ordre social qui passe par l’organisation des relations entre les individus. Certaines règles juridiques n’ont rien à voir avec la morale, et parfois

les hommes deviennent des «  meubles  ». Le goût de la liberté peut donc être tout personnel au point de ruiner l’humanité en autrui. Or à s’enfoncer dans cette voie, le maître perd au moins deux choses. Premièrement, avec Platon, on pourra considérer qu’il est malheureux. Le tyran, tel qu’on en discute dans Le Gorgias est un homme. Le tyran, en commettant une injustice, fait ce qui lui parait être bon alors qu’il agit contre son propre intérêt. Ce

satisfaits par les grandes explications que la religion fournit des phénomènes naturels. De plus la conviction entraînée par la croyance constitue un obstacle épistémologique. Pourquoi se mettre en route vers la connaissance, si l’on croit déjà savoir. Platon l’avait remarqué « les convictions sont des ennemies de la vérité plus dangereuses que les mensonges ». La conscience de son ignorance rend Socrate plus savant que ceux qui croient savoir. La raison ne s’oppose pas nécessairement à la foi: La