Platon Autorité Et Finalité

Athéisme 1L’athéisme n’est pas que celui qui nie l’existence de Dieu. C’est une partie de la définition de l’athéisme mais elle ne regroupe pas toutes les questions. L’athéisme est une position attachée à des thèses philosophiques. L’âge classique regroupe différentes définitions de l’athéisme. Ralph Cudworth dans un traité de 1678, distingue quatre formes d’athéisme :- hylopathien. Ceux qui pensent que la matière sent. La matière inerte produit les formes.Anaximandre. Thèse en opposition avec la

exceptionnelle, quelle qu’elle soit, qu’il s’agisse de l’état de guerre ou de menace de guerre, d’instabilité politique intérieure ou de tout autre état d’exception, ne peut être invoquée pour justifier la torture. 3.  L’ordre d’un supérieur ou d’une autorité publique ne peut être invoqué pour justifier la torture. Les Etats-Unis ont ratifié cette convention. L'article a été inséré dans la section 2340A par le Congrès. L'article prévoit une interdiction absolue de la torture. Aucune justification ne

a pas une justice, mais des justices, des sphères de justice, desthéories de la justice. Les sphères de justice sont ainsi passibles de discours aussi différents que : 1- le discours juridico-sacré, dont l’ambition est de fonder la justice sur une autorité supérieure, selon une relation verticale nouéeentre Dieu ou les dieux, le transcendant, et les hommes, désireux detrouver à l’extérieur de la communauté un fondement à la définition de la justice ainsi qu’à la formulation des lois, divines ; 2-un

différences entre morale et droit : · La morale relève de sa conscience personnelle · Pour le droit, les règles juridiques sont issu de la volonté de certaines autorités Autrement dit, le droit a pour objectif le maintien de l’ordre social tandis que la morale a pour finalité le perfectionnement intérieur de l’Homme. Cette différence de finalité se retrouve sur le terrain de la sanction (idem que pour droit et religion). La sanction morale est d’ordre psychologique alors que la sanction juridique est

de son vivant par l’auteur. Il fit l’effet d’une bombe, il contient une remise en cause terrible des Églises, c’est-à-dire des religions instituées. La théologie y est analysée comme une fausse science, (qui consiste à adapter les philosophies de Platon et d’Aristote à l’Écriture : «je ne vois pas (les théologiens, les docteurs, philosophes serviteurs de la foi) qu’ils aient jamais exposé d’autre, que diverses spéculations aristotélicienne et platoniciennes. Aussi, pour ne pas avoir l’air de se mettre

règle juridique. 4 différences principales : _ Différence de source : droit et morale = source différente. Le droit est issu de norme qui sont prescrites par l’autorité publique tandis que morale = conscience individuelle de chacun. _ Différence de finalité (=but) : le droit = organiser au mieux la vie en société tandis que la morale = perfectionner l’homme. _ Différence de sanction : - Différence de nature de la sanction : droit = sanctionné par l’autorité publique et organisée par l’état, tandis

subordonner aux impératifs sociaux. L’homme idéalement se suffit à lui même ne ressentant aucun manque. L’autarcie est l’état par lequel, l’individu ayant satisfait ses besoins ne ressentirait plus le manque. Aristote condamne la chrématistique dont la finalité est de faire du profit en se conformant aux logiques spéculatives. L’argent doit se cantonner à sa fonction d’échange. CHRYSIPPE « Il n’y a pas d’autre moyen pour parvenir à la définition des choses bonnes ou mauvaises, à la vertu et au bonheur

« La sociologie est une réflexion sur les phénomènes sociaux. » G. BOUTHOUL, Histoire de la sociologie. Bouthoul gomme l’intention scientifique, l’intention d’observation neutre, de la sociologie. Pour lui la sociologie remonte à l’Antiquité avec Platon qui décrivait la société idéale et Aristote qui voulait montrer comment fonctionne une société. Bouthoul passe en revue tout l’histoire de la pensée, la philosophie sociale est pour lui de la sociologie. La genèse de la sociologie à partir du 19ème

assimiler, mais surtout de l'autre, les transmettre, et c’est dans cette appropriation-transmission qu’opère la modernité. On peut se référer parmi les grands mouvements qui ont jalonné l’immuabilité apparente de l’humanité, au débat opposant Aristote à Platon au sommet de la civilisation grecque, ou plus tard à Al-Mou’tazila face à Al –Acha’irites à l’époque de la gloire de l’Islam, ou encore plus proche de nous, le fameuse querelle des Anciens et des Modernes. Mais il faut attendre le Siècle des Lumières

harmonieux de l'ame et du corps. b)L'exercice du jugement critique. L'esprit nouveau se heurte a l'autorite de l'Eglise et des theologiens alors que Montaigne fait du developpement du jugement personnel et de l'esprit critique la finalite de l'education. c)Des hommes. En France, deux figures dominent le siecle : Rabelais et Montaigne. Les deux grandes figurent europennes qui ont influence notamment Rabelais sont : Thomas More et Erasme. A ces ecrivains et penseurs