Platon Les Hommes Doivent établir

des hommes. Il n’y pas de barrière ou de frontière entre deux hommes bien, quand bien même ils appartiendraient à deux nations, à deux civilisations, deux classes sociales, ou deux classes sociales, deux langues différentes. Deux hommes vertueux sont plus proches l’un de l’autre, en dépit de ce qui pourrait les séparer. La vrai proximité est celle de la vertu et de l’esprit, et non celle reposant sur les liens de sang ou d’intérêts. Il n’y donc pas de barrière insurmontable entre les hommes, à condition

peut pas survivre si l’ordre et l’éthique ne sont pas présents. Il veut démystifier la pensée. Il donne une représentation de l’homme parfait, un homme vertueux et sage qui s’appuie sur l’expérience et la raison. Il met en avant la rationalité des hommes. De plus, il persiste à dire que l’Etat se doit d’intervenir dans l’économie. En effet, l’organisation est essentielle avec la création d’une hiérarchie et d’institutions publiques. Sa pensée souhaite amener une éducation à tous, basé sur des principes

l'obéissance dans les gouvernements modérés et dans les gouvernements despotiques Chapitre XI. Réflexions sur tout ceci Montesquieu (1748), De l’Esprit des lois. Première partie (livres I à VIII) 4 Livre IV. - Que les lois de l'éducation doivent être relatives aux principes du gouvernement. Chapitre I. Des lois de l'éducation Chapitre II. De l'éducation dans les monarchies Chapitre III. De l'éducation dans le gouvernement despotique Chapitre IV. Différence des effets de l'éducation chez les

contenu : c’est ce qui se passe à Rome : une citoyenneté qui n’avait plus rien avoir avec son origine. ) Paragraphe 2 : les régimes politiques : politeia Etre citoyen c’est choisir ses institutions ( fondamental selon Aristote) Classification établie des régimes politiques. Caractéristique de ces classifications dans l’Antiquité : (auteurs grecs principalement.) : - Approche formelle ( nombre d’individu détenteur du pouvoir). 3 situations : un individus, un petit groupe d’individu, ou la

la question sous cet angle, le chemin est long et ardu. Lecture du texte  Qu’est-ce que la philosophie, JF Dortier.   1 Naissance de la philosophie[1]. Au début du Vème siècle av. J.-C., en Grèce, plus précisément à Milet, en Ionie, des hommes, réservant aux dieux seuls la qualité de «sages», se déclarèrent philosophes, c'est-à-dire simplement «amis» de la sagesse. Selon une ancienne tradition, c'est Pythagore[2] qui aurait forgé le mot philosophos pour désigner ceux qui s'intéressaient

pour survivre. Dans La République, livre II, Platon commence la construction conceptuelle d'une cité idéale par la description de la genèse de la cité. La vie en commun s'enracine dans le besoin pour chacun de se vêtir, d'avoir une maison, et de manger. Ainsi l'architecte, le tisserand et l'épicier doivent-ils mettre en commun les produits de leur travail pour pouvoir chacun à la fois se vêtir, manger, et obtenir une maison. Le regroupement des hommes permet la division du travail, ce qui permet

auteurs ce sont interrogés sur ce sujet. Si nous analysons la théorie de Platon, nous pouvons comprendre une autre représentation du tout. Chez Platon, l’idée est première, c’est une forme intelligible qui n’existe que dans les choses, nous pouvons la voir. L’idée est pour l’être elle-même, et elle est un élément essentiel du tout. Donc elle n’est pas représentation, or il faut établir une distinction entre les deux lieux que Platon met en évidence dans la République. L’exemple de la ligne nous permet

les autres, des éveilleurs, le philosophes souhaite donc « éduquer » les hommes pour les aider à se faire manifester chez eux ce qui était à l’état latent, faire se développer leurs capacités à retrouver la vérité par eux-mêmes. Cependant cette volonté d’éduquer est bien particulière, car elle doit se réaliser sans transmission ni enseignement, selon Socrate, par l’art de la maïeutique. Socrate, afin « d’éveiller les hommes », selon son rêve, cherche à les détacher de tous liens, à interroger leurs

gouvernement démocratique mentionné plus haut serait plutôt la démocratie au sens antique, où chaque citoyen participe à la vie politique active puisqu'en effet, dans nos démocraties représentatives on remarque que n'accèdent au pouvoir politique que les hommes possédant une certaine connaissance sur la question. Au vu de ce développement empirique, il semble qu'un savoir est bien requis pour exercer un pouvoir politique, les démocraties directes n'étant plus sollicitées devant des peuples aussi nombreux

régime politique lié à l’ethos de la Cité, mais sans lui ôter une dimension polémique typique des débats d’idées chez les anciens Grecs. En effet, des politeiai idéales se sont multipliées chez les théoriciens grecs : les modérés ou conservateurs, tel Platon, ont pour but de diminuer la licence populaire ; d’autres au contraire, tel Démosthène, veulent lutter contre la tyrannie et l’autorité personnelle. Mais au-delà de cette dimension strictement politique et polémique, Aristote fait de la Constitution