Platon Les Lois Livre 9

PHILOSOPHIE Bac2 – 2013/2014 © Alexandra Crismer De l'histoire de la philosophie : la Grèce. Chapitre 1 : Socrate, Platon et Aristote Introduction Nous mène en Grèce Ancienne, le lieu de tous les commencements. Un idéal démocratique s'est formé petit à petit en Grèce, on est passé d'une civilisation tyrannique à des assemblées du peuple (ecclesia) dans lesquelles le pouvoir est réparti équitablement => Apparition de la démocratie. Pour le rapport au savoir, se passa un miracle similaire. Qui savait

I. Connaissance a priori et connaissance empirique Page 2/9 1. Première section L'expérience, ou ce qui est empirique: le sensible, ce qui nous est donné par la sensation (par les cinq sens, les sens externes), mais aussi par le sentiment intérieur (le sens interne, la conscience). A posteriori: ce qui est connu de façon empirique, qui ne peut être connu que si l'on se réfère à l'expérience. D'une proposition a posteriori, on ne peut savoir si elle est vraie ou fausse que par recours à l'expérience

C'est à dire que le bien et le mal doivent être jugés en fonction des besoins de l'être humain. ⇒ Difficile de savoir si un dieu existe : agnostique. Les sophistes aimaient voyager, comparer les différents types de gouvernement, les mœurs, coutumes, lois. Ils lancèrent le débat sur ce qui est déterminé par la nature, et par la société (pudeur : naturelle = innée ou fait de société?). Socrate 470 – 399 av. J.C. 1er philosophe né à Athènes. Personnage énigmatique, qui eut une grande influence sur la

@ PLATON (v. 427 — v. 347 av. J.-C.) Gorgias ou sur la Rhétorique Traduction, notice et notes d’Émile CHAMBRY (1864 - 1938) Un document produit en version numérique par Pierre Palpant, bénévole, Courriel : ppalpant@uqac. ca Dans le cadre de la collection : “ Les classiques des sciences sociales ” fondée et dirigée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Site web : http : //www.uqac.ca/Classiques_des_sciences_sociales/ Une collection développée

qui se connaît, qui se juge et qui se condamne n’est pas une entière ignorance : pour l’être, il faut qu’elle s’ignore elle-même ». Cela signifie que le fait de prendre conscience de son ignorance, comme le montre Socrate dans nombre des textes de Platon, n’est pas l’attitude sceptique telle que les sceptiques l’entendent. Il faudrait pouvoir ignorer sa propre ignorance, ne même pas affirmer que l’on doute puisqu’affirmer serait encore énoncer une vérité. L’absence de connaissance où parvient le sceptique

processus « apprendre » A ce niveau, l’élève s’approprie directement le savoir. Dans ce cas, savoir et élève sont sujets comme le dit Houssaye : « Elèves et savoir sont donc ici sujets qui se reconnaissent comme tels et l’enseignant tient la place du mort.»9 Si l’enseignant refuse sa place effacé de « mort », il peut intervenir en abondance et dans ce cas, on dira qu’il a fait le « fou ». 4. Ovide Decroly Decroly met l’enfant au centre de l’éducation. C’est l’enfant qui est selon sa théorie le principal

l'arrière-plan : le journal relate un lent apprentissage. Car peu à peu, cet homme qui ignorait le cours à tenir devient habile. Il devient expert à déchiffrer le « livre du monde ». Pour finir, ce que lui-même donne à lire, c'est précisément le texte de la vie. Car le moraliste est aussi celui qui est parvenu au « port ». Son livre est un vademecum qu'il (4) « Peregrinamur a Domino » (2 Corinthiens 5e et 8) » ; Tamquam advenas et peregrinos » (I Pierre 211); Saint Augustin, Sermon n° 405 : « De

droit provient d’un ouvrage Les principes de la philosophie du droit de 1821, c’est le premier manuel, il va prendre cet intitulé dans la formation des juristes. À l’époque Hegel, va produire cet effort de synthèse du point de vue du philosophe. Ce livre parait en 1821, ce n’est pas un hasard, nous sommes à cette époque, sorti d’un bouleversement majeur après l’empire napoléonien. C’est une période de l’histoire, de révolution, qui n’accepte la nouvelle carte d’Europe proposée. Hegel qui observe un

DICTATURE DE L.QUINCTIUS CONCINNATUS” Il s’agit d’un extrait du III livre de l’œuvre de Tite-Live, Ab Urbe Condita Libri. Tite-Live - né vers 59 av. J.-C. et décédé en 17 ap. J.-C. dans sa ville natale de Padoue (Paduvium en latin) - est un des plus célèbres historiens romains. Son œuvre monumentale (142 livres) sur l’histoire de Rome depuis sa fondation (qui est littéralement la traduction du titre) jusqu’à la mort de Drusus en 9 av. J. est un récit annalistique, c’est-à-dire an par an, dont seulement

énoncés de Descartes, Aristote, Maïmonide, de bien d’autres encore, et même, mais beaucoup plus rarement, d’Arnauld, on ne trouve dans son œuvre nulle trace d’une influence spécifiquement augustinienne. Ce que l’Académie de Florence avait été pour Platon, Port-Royal le fut pour Saint Augustin. Mais Descartes ? S’en est-il directement inspiré, l’a-t-il seulement rencontré ou s’est-il laissé récupérer par les tenants des Petites Ecoles ? Reste que, grâce à l’admiration que vouaient à tous deux Arnauld