Platon Lois Propriété Privee

mère athéniens (cela peut changer pour cela) Exclus : esclave, femme et les métèques (étrangers). L’organe principal : assemblée des citoyens, ecclésia. Ils se réunissent soit dans l’amphithéâtre du Pnyx ou dans l’Agora. Ils délibèrent et votent les lois. C’est l’organe dirigeant. Chacun peut y prendre la parole, et le temps de parole est répartie également. Les citoyens sont placé, ils ne se placent pas de manière affinitaire. L’ecclésia se réunit tous les 9 jours, et généralement de 2 à 3000 personnes

premières philosophies politiques, celles de Platon et d’Aristote. Platon, dans La République, reconduit la politique à la justice, celle-ci désignant tout à la fois l’harmonie de la cité et l’harmonie de l’âme (voir cours sur la justice). C’est le philosophe-roi qui détient le pouvoir, c’est à lui que revient le soin de gouverner la cité car la politique de la république idéale s’identifie à la science parfaite, à la véritable sagesse (sophia). Platon ne s’intéresse guère alors aux cités concrètes

premières philosophies politiques, celles de Platon et d’Aristote. Platon, dans La République, reconduit la politique à la justice, celle-ci désignant tout à la fois l’harmonie de la cité et l’harmonie de l’âme (voir cours sur la justice). C’est le philosophe-roi qui détient le pouvoir, c’est à lui que revient le soin de gouverner la cité car la politique de la république idéale s’identifie à la science parfaite, à la véritable sagesse (sophia). Platon ne s’intéresse guère alors aux cités concrètes

s’agir de règle négative on se voit imposer une aptemtion. Ex ; interdit de voler, de tuer, de convoiter le conjoint de son voisin,… Toute ces règle ont en commun d’imposer une attitude mais en suit pas qu’il s’agit de règle juridique ou règle de lois. Certain règle relève de la bien séance, de la politesse ou de la courtoisie, d’autres constitue des prescriptions morales religieuse et les autres constitue de véritable règle de droits avec toutes les conséquences. D’où les questions comment distinguer parmi

concret. Le mode de fonctionnement de la cité est la démocratie directe or on ne peut pas réunir tous les citoyens. Rome perd sa signification politique. Il y a 4 millions de citoyens. Or, on ne peut pas réunir 4 millions de citoyens pour faire voter les lois. En fait, les citoyens n’ont aucun pouvoir. L’empereur possède tout le pouvoir. b) Statut, devoir et prérogatives des citoyens Le citoyen a des devoirs envers la cité. Ce sont des obligations religieuses et civiques. Il y a une assimilation entre

en société car il n’y a pas de société sans droit car la vie en groupe impose des règles, elle est aussi impossible sans hiérarchie. Le droit est donc interpersonnel, il régit les rapports entre les personnes (morales ou physiques, publiques, privées) A la faculté, le droit est envisagé sous un angle scientifique. Il constitue un ensemble cohérent de normes, il y a une logique de normes Définition scientifique du droit : « la règle de droit est une règle de conduite humaine que

convergences entre droit et religion. Exemple : Dans les sociétés traditionnelles/anciennes/archaïques, la religion est très présente par conséquent droit et religion ne se distingue pas puisque les préceptes religieux tiennent lieu de loi civile. Les lois adoptées dans ces sociétés sont conforme au principe de la religion. Avant la révolution de 1789, sous l’ancien régime, on appliquer en France une religion d’Etat c’était le catholicisme. Par conséquent droit et religion été fortement liés et les

engagement politique, et de la profondeur de ses convictions humanistes, sans lesquelles il est difficile de saisir tout l’intérêt politique de l’Utopia. b) Le thème et la composition de l’œuvre : Le thème de l’Utopie est inspiré de la République de Platon, redécouverte à la fin du xve siècle. Il s’agit là aussi d’une république idéale, par opposition au régime féodal anglais en place, corrompu et inégalitaire. L’œuvre se compose de deux parties bien distinctes : la première, est la mise en scène d’un

pérenniser sur des bases solides. En effet, la notion de bien commun, c’est-à-dire de bien général pour la société peut émerger, définissant alors un intérêt général et ne concourant plus seulement à l’égoïsme, l’individualisme c’est-à-dire l’intérêt privé.  Transition : Néanmoins, pour comprendre comment un tel sentiment est possible, c’est-à-dire comment l’émergence d’une société est possible malgré les dissensions et des tensions, puisqu’il s’agit de manifester sa bienveillance vers ceux avec qui

édits eussent tant de pouvoir qu’ils permissent à un mortel de violer les lois divines : lois non écrites, celles-là, mais intangibles. Ce n’est pas d’aujourd’hui ni d’hier, c’est depuis l’origine qu’elles sont en vigueur, et personne ne les a vues naître ». Pour les jusnaturalistes, la désobéissance aux lois positives contraires aux lois naturelles deviendrait un devoir : selon le mot célèbre de Calvin : « Lorsque les lois sont injustes, les séditieux ne sont pas ceux qui les violent, mais ceux qui