Platon Théorie D Un état Idéal

LA PHILOSOPHIE DE PLATON (théorie des Idées) Cependant, quand on observe ces êtres changeants, on s’aperçoit qu’ils reproduisent dans la même espèce des caractères constants. Ces caractères se transmettent d’individu à individu, de génération à génération. Ils sont des copies de modèles universels, immuables, éternels que Platon appelle les Formes ou les Idées. Dans le langage courant, on entend par idée une modification, un acte de l’esprit. Dans le langage de Platon, l’Idée exprime, non pas

écoles philosophiques hellénistiques donc L’Académie de Platon/ Le Lycée d’Aristote/ Le Jardin d’Epicure/ et Le Portique des stoïciens. (cf :moodle). Lire textes grecs anciens (au moins extraits) et 2 ouvrages les plus utiles : Le Protagoras de Platon dans édition mentionnée et Le livre de Laurent Pernot sur la Rhétorique dans l’Antiquité. Explication des 3 éléments du titre= Pö , Rhé, Ethique. Pô : Le mot pô vient du grec « polis »= la cité-état dont les membres étaient des citoyens « polites ».

homme libres et égaux, et ces nations devaient être pleinement développer du point de vue de leur puissance dans la science ». Il souligne ici deux choses: un idéal n’a pas été atteint. Cette idéal était celui des Lumières contre l’obscurantisme, c’était l’idéal du progrès, de la science, mais aussi l’idéal des droits de l’homme. Cette idéal n’ayant pas été atteint, alors l’Occident a perdu confiance en son dessein, ainsi cela signifie un désaveux. C’est l’histoire du 19è qui prouve le contraire de

moralité« Agis de manière à ce que la maxime de ton action puisse être érigée en loi universelle »Une morale formelle s’impose à nous, commandement, bonne en elle-même Impératif hypothétique : L’utilité Action bonne par ses conséquences (pas moralement)Idéal de la raisonDésirs de la raison tendent vers l’idéal de la raison, la JusticeIdéal de la raison : Exigence, désir indomptable et légitime la force pr faire mon devoirIdées métaphysiques morales de la raison : Le bien, la vertu, le devoir, la liberté


A.
Lalande
‐
dictionnaire
spécialisé)
 ‐ «
L’esthétique
est
;
l’étude
de
la
sensation,
du
sentiment.
Théorie
de
l’art
et
des
 conditions
du
beau.
Théorie
qui
traite
du
sentiment
du
beau
et
du
jugement
de
 goût.
»
(«
Philosophie
de
A
à
Z
»
‐
dictionnaire
spécialisé)
 
 En
mettant
en
commun
ces
quatre
définitions,
on
en
retire
que
l’esthétique
est
un
nom
 féminin,
qui
désigne
une
science,
une
théorie,
ou
bien
encore
une
étude,
dont
les
objets
 peuvent
être
multiples.
Mais
quels
sont
ces
objets
?
 Ceux‐ci
sont
on
nombre
de
cinq
:


l’organisation de la société, du pouvoir qui régissent de la société. Les idées par définition c’est moins ordonnées, d’ailleurs on parle d’une école de pensée et non d’idée. Les idées aussi ont quelque chose de plus individuels que la pensée. Une théorie politique est une construction intellectuelle élaborée qui prétend apporter une explication scientifique de la politique qui suppose une interprétation, une observation, analyse, explication des faits. Les doctrines sont encore un cran dessus, c’est

affirmation se pose, d’abord, en détractrice des théories contractualistes (celle de Rousseau par exemple) puisqu’elle soutient que la société politique est par nature et ne nait pas par convention. Elle implique, ensuite, que la vie en commun est l’essence même de l’Homme. L’auteur en conclut, enfin, que l’état politique est « spécifique » et « originaire » et qu’il n’est donc dérivé d’aucun autre état. Le défi est clairement lancé, ici, aux théories contractualistes qui voient leurs arguments et

réponses. Elle est appliquée aux personnes qui ignorent qu’elles savent par le billet de l’ironie pour faire comprendre à l’interlocuteur que ce qu’il croyait savoir n’était en fait que croyance. La maïeutique, contrairement à l'ironie, s'appuie sur une théorie de la réminiscence pour faire ressurgir des vies antérieures les connaissances oubliées. La différence fondamentale entre la justice et le recours à la loi du plus fort : C’est que la loi de la nature ( du plus fort ) s’oppose à la loi établie

L1 - Lire La République de Platon M. Gibert Plan de La République de Platon1 Plan général A. Préambule : critiques des opinions reçues sur la justice (Livre I) 1. Introduction : Socrate & Céphale (327a-336b) 2. La thèse de Thrasymaque (336b-354c) 1. 1. La justice est l’intérêt du plus fort (336b-347e) 1. 2. L’injustice est-elle plus profitable que la justice? (347e-354c) B. La justice dans l’État & l’individu (livres II-IV) 1. Introduction : la méthode de Socrate (357a-369b) 2. Genèse et

condamner nos propres injustices. En ce sens, le passage de la justice du plan moral au plan juridique se caractériserait par son imperfection, par ses insuffisances. Mais cela ne signifie-t-il pas que la justice n’est pas une réalité donnée mais un idéal qui se conquière patiemment et par la médiation des pratiques juridiques et politiques ? Il est sans doute nécessaire de maintenir l’opposition du moral et du juridique, de la légitimité et de la légalité, opposition sans laquelle la justice risquerait