Platon Théorie D Un état Idéal

La politique I/Platon 1) La république: la cité idéale La question posée dans la Republique est la question de la justice càd de l’ordre, de l’efficacité et de la rationalité. Il s’agit de savoir à quels types de conduites individuelles ou politiques et religieuses l’homme doit se conformer pour que se réalisent l’ordre, la raison, la bonne correspondance entre l’organisation du cosmos, celle de la cité et la hiérarchie de l’âme. Le dialogue sur la justice a donc pour centre la constitution

désigner la société idéale qu'il décrit dans son œuvre en latin utopia . Il est traduit en français par utopie. Ce terme est composé de la préposition négative grecque ou et du mot topos qui signifie lieu. Le sens d'utopie est donc, approximativement, « sans lieu », « qui ne se trouve nulle part ». Cette œuvre a pour caractéristique d'être, d'une part, un récit de voyage et la description d'un lieu fictif (utopia) et, d'autre part, un projet d'établissement rationnel d'une société idéale (eutopia). Ces

paisible, à la façon des anciens stoïciens ou épicuriens ; en ce sens, on parle de « vivre en philosophe », de « se montrer philosophe ». Au sens antique, est « philosophe » la personne qui « cherche la vérité et cultive la sagesse », comme Socrate et Platon, Épicure et Lucrèce, Épictète et Sénèque. Au sens professionnel est « philosophe » celui qui pense de façon conceptuelle, radicale, critique, systématique les grands principes et valeurs de la vie et de la connaissance, par exemple Hume, Kant, Hegel

politiques. L'antiquité nous apporte essentiellement l'enseignement des grecs (avec PLATON, ARISTOTE...) mais également des expériences institutionnelles, les idées politiques étant associées étroitement au monde juridique et donc institutionnel. Ces expériences institutionnelles préfigurent des modèles politiques. Les grecs sont des réalistes, ils constatent la réalité avant d'élaborer des théories politiques. Section 1: Les expériences politiques. Sparte, Athènes et l'Empire d'Alexandre

A) L’utopie platonicienne : Platon (-428 ; -347). Il est l’élève de Socrate, il laisse des traces indispensables. Platon laisse une œuvre considérable dès son époque mais son action politique est déplorable. Il rêve de retrouver un certain pouvoir. On le soupçonne de faire des complots. a) Les fondements intellectuels de l’utopie platonienne : 1) Le choix de l’utopie : Platon décrit une cité idéale qui n’existe nulle part mais dont on

du droit n'est pas seulement répondre à la question « qui dit/fait le droit ? ». Platon : les tâches de la philosophie c'est de définir le métier de celui qui est l'ennemi du philosophe, le sophiste. X est un sophiste, Y est un juriste, tout le monde est d'accord. Y est-il véritablement juriste ? Le fait que nous soyons tous d'accord veut-il dire que nous ayons tous la même définition de juriste ? Dialogues 218C de Platon. Dans quel monde évolue le juriste ? Réponse institutionnelle : le juriste c'est

COURS N° 14 DUEL AU SOMMET : PLATON/ARISTOTE samedi 16 octobre 2004, par Gaëlle Sartre-Doublet Au risque de faire hurler une partie de vos professeurs (ce cours est donc à prendre avec des pincettes), nous allons étudier ce que peut représenter un "système" de pensée, avec tout ce qu’il peut avoir de pertinent et de... totalitaire. Certes, Platon fut loin d’être le seul, mais il fut sans doute le premier : au nom d’un idéal, il collabora à deux dictatures, prôna la mise en commun des

qualités du juriste. Histoire des idées = histoire des doctrines = des théories = des idéologies. Doctrine : vient du latin qui veut dire enseigner. La notion de doctrine comporte l’idée de vérité, qui suscite une forme de foi, enseignée parce qu’elle est vrai. C’est un ensemble réputé cohérent. Faire de la théorie : consiste à constater l’existence de faits réels, et expliquer les phénomènes. Quand on parle de théorie, il y a donc un aspect scientifique. Contrairement à la doctrine, on créé

Platon est un philosophe grec connu et reconnu pour avoir notamment laissé une œuvre philosophique considérable, sous formes de dialogues.  Le monde sensible est, aux yeux de Platon, subordonné aux Essences ou Idées, formes intelligibles, modèles de toutes choses, qui sauvent les phénomènes et leur donnent sens. Au sommet des Essences se trouve l’idée du Bien, qui les dépasse en dignité et en puissance : ce principe suprême se confond avec le divin. Le dialogue au coeur de sa conception de la philosophie

On peut préférer son opinion à la vérité, car chercher la vérité demande d'abandonner sa tranquillité (Socrate dans l'Apologie de Socrate de Platon) II – On doit préférer la vérité à son opinion, car la connaissance de la vérité est nécessaire au bonheur et à la vertu (Socrate dans l'Apologie de Socrate et le Ménon de Platon) A) Les dangers de l'opinion B) La nécessité de connaître la vérité pour mener une vie bonne III – Peut-on justifier de préférer l'opinion à la recherche