Platonisme

qu’une
seule
et
même
réalité
sous
des
aspects
différents
et
ceux‐ci
renvoient
au
monde
 divin.

 
 Nous
verrons
également
que
le
platonisme
va
se
transformer
au
fil
des
siècles
et
aura
 d’ailleurs
un
impact
très
fort
sur
la
société.

 Exemple
:
la
beauté
idéale
pour
Léonard
de
Vinci
est
la
beauté
divine,
Descartes
se
 revendique
philosophe
platoniste.
Mais
ce
platonisme
va
se
transformer
et
peu
à
peu,
les
 artistes
vont
se
libérer
de
ce
poids
et
provoquer
la
mort
de
celui‐ci.
 Aristote,
qui
sera
l’élève
de
Platon

Paroistre ses rayons, comme une belle estoille, A fin que le vulgaire ait désir de chercher La couverte beauté dont il n’ose approcher Réflexion néo-platonicienne sur la fonction de la poésie On trouve dans cette théorie la marque du néo-platonisme qui fait la pensée des poètes de la Pléiade comme beaucoup de leurs contemporains. On retrouve la fonction première de la poésie qui serait de protéger les mystères sacrés des regards profanes. Ainsi le poète s’efforce par la parole poétique de

renaissance, du « néo-platonisme » (née à Alexandrie au 3ème siècle ap JC. Héritage de Platon) et le christianisme. Le sarcophage sert de mangeoire pour les animaux et il est cassé. Le christ est devant le sarcophage. L’antiquité est un monde disparut, en ruine. Ce monde va renaître par le Christ, il va reconstruire l’Antiquité. Dans ce tableau il y a plein de symbole. Synthèse porté par des intellectuels comme Ficin (florentin, meurt en 1499). Il est au cœur de cette pensée néo-platonisme. Il rompt avec

Vinteuil ", Swann permet aussi ici de comprendre que l’art, en tant que transsubstantiation de la réalité, nous conduit au modèle, à l’idée, à l’essence. Cest la lecture de G. Deleuze, pour qui, au-delà même de l'eudémonisme esthétique, il y a un platonisme de Proust.

les styles (sublime, moyen, bas), et tous les tons (du tragique au familier). On ne s'approprie le texte d'autrui que pour mieux le recréer, plus beau, plus parfait, plus proche de l'idéal — de l'Idée de la poésie. Car, à l'origine du moins, le platonisme est encore présent dans la conception nouvelle de la littérature que mettent en place les jeunes poètes. * La Pléiade se caractérise par un souci de variété dans l'inspiration qui lui fait privilégier l'exploration de différents genres : à

Périclès. L'essor du gothique qui s'explique par la naissance du nationalisme et la ferveur des croisades. L’interprétation philosophique recherche la simultanéité des conceptions transcendantales de l’homme et celles de l’espace. Ainsi, tandis que le platonisme formule le concept de l'infini et abolit la vision isolée de l'être, l'architecture hellénistique s'oppose à la volumétrie, la scénographie et la plasticité du temple grec. [...] [...] La véritable qualité du siècle réside dans son urbanisme

abord. Le christianisme héritant de l'anthropologie juïve ignore la distinction grecque de « corps » et de « âme ». Sa pensée s'articule d'une autre manière, et le « corps » semble tenir une place plus important que dans tous les courants teintés de platonisme. Si cela est vrai pour le christianisme des Ecritures et celui des origines, on ne peut nier que – pour reprendre une catégorie de J. Ellul – que le christianisme historique se soit souvent éloigné de cet équilibre anthropologique, pour, par

une majuscule. Il souligne que cette dernière et non la raison, dont l’Homme de la nature est dépourvu, est la cause de la vertu, « la cause de la répugnance que tout homme éprouverait à mal faire ». Cependant il nuance ses propos critiquant le platonisme, il admet la possibilité de la « vertu par raison », quoiqu’il réserve cet accès à la vertu aux grands philosophes : « à Socrate et aux Esprits de sa trempe ». Pour finir, il répète encore sa thèse, soutenant que la conservation de l’espèce dépend

Selon Platon, le corps maintient l’ame en prisonet selon l’évangélisme, la vertu assimilée à la chasteté est donnée par Dieu(prédestination). Il y a une rencontre entre le néoplatonisme et l’évangélisme. Marguerite de Navarre s’inscrit donc dans le platonisme chrétien. L’amour courtois est une notion apparue au XVIeme et XVIIeme siecle, il est caractérisé par la peur de la violence du désir amoureux qui heurte la femme. La beauté lui promet et lui donne l’illusion qu’il va conquérir la femme.

l’interprétation des Ecritures. Des Cappadociens, Grégoire de Nysse est celui qui eut la relation la plus étroite avec la philosophie, puisqu’il travailla à raccorder les « mystères de la foi » et la raison humaine. Il fait un usage particulier du platonisme et est influencé par le stoïcisme. Pseudo-Denys, d’inspiration platonicienne et influencé par Proclus, auquel il fait de larges emprunts, défend l’idée d’un Dieu tout-puissant et cause de tout. Le monde spirituel n’est pas séparé du monde sensible