Plaute Aulularia

guerre est finie. Le gnral thbain Amphitryon charge son valet Sosie de prvenir son pouse Alcmne quil va rentrer la maison. Cest sans compter Mercure qui a usurp lidentit de Sosie et lattend devant la maison dAmphitryon, tapi dans lombre... Document n1 Plaute, Amphitryon (-187 av. JC) / Traduction Dacier / Acte I, scne 2 (extrait) Mercure O vas-tu avec ta lanterne Sosie Mais toi qui dsosses si bien les mchoires des gens, que timporte, et pourquoi me le demandes-tu Mercure Es-tu libre ou esclave

Introduction 1. Situation du passage dans son contexte littéraire et historique, au sens large Situation du passage dans la pièce, rappel des informations nécessaires à la compréhension du passage. L’Amphitryon de Molière a pour source l’Amphitryon de Plaute, auteur latin du IIIè-IIe s. avant J-C. C’est une pièce en trois actes et en vers, jouée pour la première fois en 1668, juste avant l’Avare, alors que s’achève la guerre de Dévolution menée par Louis XIV. Comme le prologue qui la précède, la scène

Plaute (en latin Titus Maccius Plautus) est un auteur comique latin né vers 254 av. J.-C. à Sarsina dans l'antique Ombrie (maintenant située en Romagne) et mort en 184 av. J.-C à Rome. Plaute est né à Sarsina en Ombrie en 254 av. J.-C. Fils d’une famille très modeste, il débute comme acteur dans une troupe de théâtre dont il prend par la suite la direction. Il tombe rapidement en faillite. Il est maintenant ruiné et par la suite va se mettre au service d’un meunier-boulanger. Pendant ce temps il

Navarre) auxquels il reviendra de loin en loin (Le Festin de pierre en 1665, publié après sa mort sous le nom de Dom Juan, puis Les Fourberies de Scapin en 1671), il se tournera seulement à deux reprises la même année (1668) vers le théâtre latin de Plaute (L'Avare et Amphitryon). Pour le reste, il construit des intrigues originales en combinant divers schémas narratifs puisés ici et là, notamment dans le Décaméron de Boccace, les nouvelles de Straparole ou de Scarron et les fabliauxn 3… Cette conception

de réfléchir sur la question de l’identité à travers une confrontation comique ? Plan possible : I) Le statut des personnages II) La thématique du double Introduction : Réécriture d'un mythe, celui d'Amphitryon et de la comédie latine de Plaute (Antiquité) Au XVIIe Molière reprend cette comédie (même personnages...) Dans l'acte I, scène 2, il s'agit de l'acte d'exposition Confrontation entre deux personnages Quiproquo pour Sosie → Comique de situation Spectateur omniscient et Mercure

le théâtre est devenu un divertissement. Par conséquent, il n'est pas surprenant que la comédie à la plus populaire. La grande période de la création dramatique romain a commencé dans le deuxième siècle avant JC et a été dominé par les comédies de Plaute et de Térence, qui sont des adaptations de Nouvelle Comédie grecque. Les travaux ont été basées sur une parcelle de caractère local, bien que Terence également fournir une valeur didactique. La structure des morceaux est très dynamique et le goût

cursive d’un extrait de P. Grimal (La civilisation romaine manuel p.242) « Naevius et Plaute puisèrent dans le répertoire de la comédie grecque nouvelle (…). Ces adaptations plaisaient, car elles mettaient en scène des types humains (…) » Deux études comparées : 1- Plaute Le soldat Fanfaron (manuel p. 248 extrait de la scène d’exposition) et Corneille L’Illusion comique II, 2 (manuel p. 250) 2- Plaute La marmite (manuel p.41 ; monologue d’Euclion) et Molière L’Avare IV, 7 (monologue

Question sur corpus C’est entre l’année 254 av JC et 1952 que Plaute, Marivaux et Samuel Beckett écrivent respectivement La Marmite, L’île des esclaves et En attendant Godot, pièces théâtrales qui mettent en scène la relation entre les maitres et les valets. On verra les similitudes entre ses trois extraits d’œuvres théâtrales et nous étudierons aussi les éléments dont ils diffèrent. En lisant ces trois extraits on peut bien se rendre compte que les rapports entre maîtres et valets est un thème

cantonné à l'adaptation de pièces étrangères, principalement espagnoles et italiennes20. Placées sous l'invocation de Ménandre et de Térence (tandis que la farce et la commedia dell'arte étaient rattachées par les théoriciens à la tradition héritée de Plaute et d'Aristophane), les comédies n'avaient pas pour objectif principal de provoquer le rire - le comique y était intermittent, mêlé aux intrigues de héros de convention et aux grands sentiments10 - mais d'édifier le spectateur en suivant le précepte

Navarre) auxquels il reviendra de loin en loin (Le Festin de pierre en 1665, publié après sa mort sous le nom de Dom Juan, puis Les Fourberies de Scapin en 1671), il se tournera seulement à deux reprises la même année (1668) vers le théâtre latin de Plaute (L'Avare et Amphitryon). Pour le reste, il construit des intrigues originales en combinant divers schémas narratifs puisés ici et là, notamment dans le Décaméron de Boccace, les nouvelles de Straparole ou de Scarron et les fabliaux… Cette conception