Pnyx

inscrits dans un des demes Seuls quelques centaines de citoyens siègent à l’assemblée Pour les décisions importantes : un corum de 6000 citoyens est exigé pour voter : difficile à obtenir Cette assemblée se réunit à Athènes sur la colline du Pnyx en face de l’acropole et pour les décisions importantes :elle se réunit à l’Agora (place publique) Se réunit tous les 9 jours selon un ordre du jour fixé à l’avance et la participation est dominée par l’isegoria : liberté et l’égalité dans la parole :

citoyens, inscrit dans un des demes Seuls quelques centaines de citoyens siègent à l’assemblée Pour les décisions importantes : un corum de 6000 citoyens est exigé pour voter : difficile à obtenir Cette assemblée se réunie à Athènes sur la colline du Pnyx en face de l’acropole et pour les décisions importantes : l’Agora (place publique) Se réuni tous les 9 jours selon un ordre du jour fixé à l’avance et la participation est dominée par l’isegoria : liberté et l’égalité dans la parole : chaque citoyen

partir de 18 ans. Au 5ème siècle av J-C, il y a à peu près 45000 citoyens inscrits dans l’un des Dèmes. Quand la liberté de qqun est en jeu, on a instauré un quorum de 6000 citoyens pour juger du cas. L’Assemblée se réunit souvent sur la colline du Pnyx et lorsqu’il y a des décisions importantes à prendre, elle se réunit sur l’Agora. Elle se réunit tous les 9 jours et un ordre du jour est fixé. Les citoyens siègent individuellement sans parti politique. Le principe fondamental de l’Assemblée est l’égalité

vote, par le sort ; l’exécutif est le peuple, qui juge par les tribunaux. L’ecclesia. La démocratie directe et le nomos. L’ecclesia, c’est l’assemblée des citoyens. Elle se réunit sur une colline, à côté de l’Acropole, la colline de la Pnyx. En théorie, l’ecclesia se réunit 10 fois par an. En pratique, c’est plus souvent. L’ecclesia vote les lois, et Thucydide nous dit qu’en moyenne, il y a 5 000 citoyens (environ 1/10e de l’ensemble des citoyens). Les votes se font à main levée

comporte des avantages évidents, en donnant aux citoyens la possibilité d’influer directement sur certaines décisions et d’en prendre la responsabilité. Le 132 À Athènes, l’Ecclésia est l’assemblée de citoyens qui se réunit sur la colline de la Pnyx. Elle vote les lois en général avec la présence de 5.000 citoyens. Ces votes se font à main levée et à la majorité simple. N’importe quel citoyen peut prendre la parole et proposer une motion. Une fois votée, la loi est exposée au public. Selon un

L’idée a été d’introduire un salaire pour venir à l’Assemblée afin que les paysans, le commerçant, puisse venir. Le salaire à été augmenté sous Périclès, et donc les personnes ne venaient que pour l’argent ce qui est contraire à la démocratie. La Pnyx était l’endroit où se réunissait l’Assemblée et il pouvait y avoir 25000 personnes. Tous les sujets sont débattus à l’Assemblée, la discussion était libre. Le vote était un vote par tête avec un système de démocratie directe. Et au fond le peuple athénien

institution était chargée du vote des lois, le budget, la paix ou la guerre, l’ostracisme, elle tire au sort les bouleutes, les héliastes et les archontes et élit les dix stratèges. Il est l’historique assemblée de l’Agora, avant son transfert au Pnyx. En ce lieu tous les citoyens sont égaux et votent selon la pratique de la main levée ou celui du bulletin secret. * La Boulê : ou la représentation des tribus athéniennes, était composée entre 400 à 500 membres selon les reformes. Mis en place

principaux édifices politiques autour de l’Agora. Cette carte sera particulièrement utile pour localiser les lieux de la démocratie étudiés dans le chapitre. La photographie 4 insiste sur le lieu principal de la démocratie athénienne : la colline de la Pnyx était en effet le lieu de réunion de l’Assemblée des citoyens. Bien que les constructions soient aujourd’hui disparues, on y trouvait aux ve et ive siècles des gradins pouvant accueillir entre 6 000 et 10 000 citoyens. Sur la tribune, se trouvait

sont pas forcément riches. Ils regroupent environ 40 000 personnes, soit le dixième de la population. Ils ont seuls le droit de posséder les terres de l’Attique, car l’agriculture procure le bonheur, la richesse et la liberté. Réunis sur la colline du Pnyx, ils pratiquent la démocratie directe pour élire leur assemblée, l’Ecclésia, chargée à son tour de choisir les 10 stratèges ou grands magistrats de l’État. En échange de leurs droits, ils doivent, de 18 à 60 ans, le service militaire en temps de guerre

juges et les avocats, déclare un autre personnage d’Aristophane, s’entendent comme deux scieurs de long, l’un pousse et l’autre tire. Avec des juges cruels ou corrompus, l’exploitation des tribunaux ne devait pas tarder à s’organiser. Les sophistes du Pnyx et les délateurs de l’agora se multiplièrent. La misère complaisante sut imaginer mille moyens lucratifs d’exploiter la loi. Personne ne fut plus à l’abri de la justice menaçante ; chacun pouvait être appelé, à chaque instant, à se défendre de la plus