Point G

entier, et laissé tomber d'en haut un recard sur ce globe étroit, dont une grande partie est envahie par les eaux, tandis que celle qui surnage, ou brûlante, ou glacée, présente de tous côtés l'image de la détresse. Alors il se dit: Voilà donc le point que tant de nations se partagent le fer et la flamme à la main? Que l'homme est ridicule avec ses frontières! Le Dace ne franchira pas l'Ister; le Strymon servira de borne à la Thrace ; l'Euphrate sera une barrière contre les Parthes; le Danube séparera

mémoires et d’avoir une bonne coordination. Les solutions apportées ont été de se voir régulièrement pour faire un point sur nos mémoires. La production finale a été donnée sous forme de petits livres. On a donc traité le sujet de 3 façon différentes puisque dans une mémoires on relate la vie d’un médecins, dans une autre mémoires le point de vue du malade et dans un troisième temps le point de vue de la famille plus précisément le frère. C’est 3 nouvelles la vie d’un patient atteint d

EXERCICE 1 (4 points ) Commun à tous les candidats Pour chacune des quatre questions de ce QCM, une seule des quatre propositions est exacte. Le candidat indiquera sur sa copie le numéro de la question et la lettre correspondant à la réponse choisie. Aucune justification n’est demandée. Une réponse exacte rapporte 1 point. Une réponse inexacte enlève 0,5 point. L’absence de réponse n’apporte ni n’enlève aucun point. Si le total est négatif, la note de l’exercice est ramenée à 0. 1) Dans le

narrateur multiplie les points de vue sur Emma, pour nous montrer comment est perçu ce que l’héroïne croit être une émancipation dans l’adultère. – Le narrateur choisit d’abord le point de vue de Rodolphe, dont il souligne le côté froid et calculateur (« supériorité de critique », « se tient en arrière »): celui-ci est un séducteur sans scrupule, qui ne voit dans cette liaison que des « jouissances à exploiter ». Le fait de nous montrer le versant masculin de l’adultère, du point de vue de l’amant

Les œuvres littéraires de Molière ont été conçues, pour la plupart, de manière à y dissimuler le point de vue de l’auteur. Tout comme l’œuvre Les Femmes savantes où le courant baroque était en vogue reflète bien le style d’écriture du XVIIe siècle avec la forme de comédie de caractère qui a pour objectif de mettre en scène les défauts des personnages. C’est ainsi que dans cette pièce les beaux esprits sont dépeints comme des êtres pleins de défauts. Puisque Molière donne un sens caché à ses œuvres

présente. Les costumes, sont inspirés de la culture et de la tradition écossaise : les hommes portent des kilts en tartan, des bérets, et seuls les Sylphides dansent sur pointes. En effet,  la Sylphide contient  tous les éléments caractéristiques de l’époque romantique, comme  les tutus romantiques, les corsets ailés, les pointes, l’acte blanc, et une histoire d’amour impossible entre un mortel et un être spirituelle. Et plus que leur technique -exceptionnelle, le jeu d’acteur est très important

I. Fusion narrateur-personnage a. Adoption du point de vue de Lucien La plus grande partie du texte s’apparente à la technique que l’on désigne par le terme de « focalisation interne » : le narrateur en sait autant mais pas plus que son personnage. Le début du passage précise nettement la règle du jeu : « Lucien leva les yeux et vit… ». Adoptant ce point de vue, le narrateur place dans une certaine mesure le lecteur dans une situation privilégiée : il faut être en effet sur un cheval pour apercevoir

donc la planification peut varier. Les actions : J1 : Vérifier ce qu’elle sait ou pas Faire le point sur ses cours Pour ce qu’elle ne sait pas, faire des recherches de documents dans le service, ou protocoles Mettre en place des petites actions J2 : Evaluer ce qu’elle devait faire, si elle a des questions, où en est-elle en fonction des acquisitions de la veille. Si OK J3 Faire le point sur les méthodes d’apprentissage : - Préfère t- elle observer, préfère t- elle faire en étant assistée

problème posé ; (5 POINTS) c) l’hypothèse avancée par l’auteur, s’il y a lieu ; d) la thèse ou l’idée centrale, c’est-à-dire le point de vue défendu ; (5 POINTS) e) les arguments principaux : quelles sont les idées et/ou les éléments factuels avancés par l’auteur pour étayer son hypothèse de départ ? Il s’agit là du point central de votre travail. Le cas échéant, vous pouvez aussi mentionner certains concepts-clé, la démarche empruntée et/ou la perspective théorique suivie. (15 POINTS) En conclusion

aboutissement du progrès humain. Comme le disait si bien Socrate, philosophe Grec du 4ème siècle A.C : « il n’y a point de travail honteux. » L’homme a donc pour but de s’améliorer sans cesse, de se former à surmonter les obstacles de la vie auxquels il va devoir faire face. On peut nuancer ces propos du fait que les privilégiés de notre monde sont bel et bien toujours présents. Je partage donc le point de vue de Socrate sur le sujet sachant que le travail ne peut qu’avoir un effet positif sur l’être humain