Points Communs Classiques Et Néoclassiques

principales.   Le premier c'est l'UNIVERS CLASSIQUE : Adam Smith, David Ricardo, Karl Mar, XIXe siècle L'économie est identifiée à une science de la richesse. Trois grandes questions se posent : _ Qu'es que la richesse ? (question la plus essentielle) _ Comment produire cette richesse ? Comment la multiplier, l'accumuler ? Les méthodes pour produire ? _ Comment on distribue cette richesse au sein d'une société ?   La deuxième c'est l'univers NEOCLASSIQUE(libéraux) : L'économie est une science

développé. Cependant, tous les mercantilistes s’accordent pour donner à l’Etat le rôle principal dans l’acquisition de l’or qui symbolise la richesse et la puissance. Donc, ils confèrent à l’Etat le pouvoir de direction économique. Mais, si le but est commun, les moyens diffèrent d’une école à l’autre. 1)- le mercantilisme espagnol ou bullioniste : l’Espagne était parmi les premiers pays européens à recevoir l’or des Amériques. On l’appelle le bullionisme du mot anglais (bullions signifie lingot). Cette

à plus ou moins long terme. En conséquence, l’Etat ne doit pas intervenir sur la marché sous peine de perturber son fonctionnement. Le marché est capable de s’autoréguler. Ce paradigme est défendu par les théoriciens du libéralisme économique (néoclassique et néolibéraux). Le paradigme de la régulation externe du marché (ou paradigme de l’ordre organisé) : Ce paradigme postule que le marché n’est pas toujours capable de se réguler lui-même et que s’il faut accepter le principe de l’économie

précurseurs de l’économie politique classique français. Il décrit l’un des premiers circuits économiques, il explique que le niveau des prix dépend de l’offre et de la demande et que le taux d’intérêt dépend de l’offre et de la demande de la monnaie. Il a laissé son nom à « l’effet Cantillon », selon lequel une injection de monnaie dans l'économie exerce un effet progressif et différencié sur les prix au fur et à mesure que la monnaie se propage par les échanges à partir du point où elle a été injectée. Il


siècle
et
la
pensée
physiocrate
: ............................................................................................... 6
 Chapitre
2
:
La
révolution
industrielle,................................................................................ 8
 la
pensée
classique
et
socialiste ......................................................................................... 8
 I.
Les
éléments
déterminants
: ...........................................................................................................

des XVIIIe et XIXe siècle qui s’appuyait sur un retour à l’antiquité classique et au classicisme français du XVIIe siècle. b. Quelles sont les principales sources d’inspiration de ce mouvement ? La rome antique et la grèce antique. 2. L’architecture néoclassique a. Rendez-vous sur : http://fr.wikipedia.org/wiki/Architecture_n%C3%A9oclassique et relevez dans cet article les quatre éléments d’architecture néoclassique repris de l’Antiquité. Colonnes[->0], fronton[->1], proportions harmonieuses

entièrement acceptée par les économistes classiques. Ceux-ci vont développer des démonstrations. - Thèse pessimiste : Elle se double du fait que pour ces économistes, le marché ne peut pas jouer un rôle régulateur. C’est alors qu’on va voir pour la première fois des écris qu’ils vont appeler l’intervention de l’Etat. C’est l’école classique qui va la première justifier ce qu’on appelle la mise en œuvre de mesures de politiques économiques. A/ L’analyse classique de la dynamique économique. A.

École classique A-Presentation & Auteurs principaux L’École classique en économie regroupe des économistes du XVIIIeme siècle (siècle des lumières et de la révolution protestante)et du xixe siècle, Il est impossible de fixer à cette école de pensée des contours précis, que ce soit en termes de dates, d’auteurs ou de thèses. Les auteurs postérieurs en ont donné des définitions différentes, incluant ou excluant certains auteurs et privilégiant certaines thèses. L'apparition de cette economie se

3 grandes figures :j Libéralisme classique (A. Smith) : marché et concurrence, éléments constitutifs d'un ordre spontané et implicite fondé sur le comportement d'individus recherchant librement leur intérêt personnel Libéralisme néoclassique (L. Walras) : formalisation des lois offre/demande, notion d'équilibre. explication idéaliste du marché et de la concurrence, cherche à répondre aux critiques émises à l'encontre du libéralisme classique : concentration-monopole, dissociation économie-morale

sera accepté par tous les économistes au XIXème siècle. C'est un des éléments fondateurs du paradigme majoritairement accepté en économie au XIXème siècle qui est celui des classiques. Cette théorie est remise en cause dans les années 1870 par trois auteurs. (Jevons en 1871, Menger en 1871, Léon Walras 1874) Ils ont en commun de résoudre en même temps le paradoxe de l'eau et du diamant en mobilisant deux notions : la notion d'utilité marginale (accroissement d'utilité totale consécutive à la consommation