Points Communs Et Différences Classiques Néoclassiques

(XVIIe-XVIIIe siècles) p. 2 • la révolution industrielle en Grande-Bretagne (1760-1830) p. 4 • Les classiques • Adam Smith (1723-1790) p. 5 • David Ricardo (1772-1823) p. 6 • Thomas Robert Malthus (1766-1834) p. 8 • Karl Marx (1818-1883) p. 8 • Les marginalistes ou néoclassiques • Jean-Baptiste Say (1767-1832), précurseur des néoclassiques p. 11 • Les néoclassiques p. 11 • La situation du Royaume-Uni après 1918 p. 19 • La crise de 1929 p. 20 • John Maynard Keynes

concept théorique caractéristiques communes Les marches sont souvent définie par leur position géographique. On a donc une pluralité car il sont a des endroits déférents. On peut aussi définir les marché par rapport a ce qui échangé. On a pas ici de définition géographique. Cette définition valable pour la finance. Ces marché ont des caractéristique communes ce qui peu nous faire dire qu’il y a un marche qui se réunit autour de ces caractéristiques communes : • Les agents vont sur le

certaines hypothèses différentes de l'axiomatique néo-classique, principalement une hypothèse de rationalité différente. D’ailleurs, la description « classique » de l'entreprise pour les économistes met l'accent sur la fonction de production, les prix et la technologie. Elle ne prête guère d'attention au management. Elle est pertinente pour décrire les activités économiques dont le fonctionnement est très proche du modèle idéal du marché néo-classique. La notion de coût de transaction est introduite

ressources humaines sur le marché du travail). Ce système est doté de buts à poursuivre et communs. Ce système fonctionne selon le principe d'échange avec l'environnement (un individu accepte de travailler pour une entreprise en échange d'un salaire). Système : ensemble d’éléments qui ont entre eux des relations d'interdépendance (ils interagissent les uns par rapports aux autres) pour réaliser un objectif commun. L'entreprise est l'acteur principal de l'économie car c'est au sein de celle ci que les

importer le moins possible au prix le plus faible (enrichissement via le commerce extérieur) - Pour les français il faut développer l'activité manufacturière ce que fera Colbert (1619-1683); exporter et importer que les matières premières. B- Les classiques Le contexte : il s'agit de la révolution industrielle et de l'essor du capitalisme. Il y a de nouvelles découvertes (machines a vapeur, métier a tisser mécanique...) + Machinisme et exode rural. L'industrie commence a se développer. La transformation

distingue la microéconomie de la Macroéconomie : la macroéconomie vise à étudier d’emblée les phénomènes qui concernent l’économie dans son ensemble. La microéconomie retient pour fondement l’individualisme méthodologique : il s’agit d’une méthode commune à certaines sciences sociales (comme la psychologie, l’anthropologie…) visant, à partir des comportements et décisions individuelles, et à éventuellement déduire ensuite les conséquences pour l’ensemble de la société des interactions des individus

chercheurs atteint 4 millions en 90, dix fois plus qu’en 50 (plus 12 de techniciens). • Phases de la révolution industrielle, évolutions de la productivité et de la croissance économique. On peut considérer qu’il y a eu deux autres RI, ou adopter le point de vue de Bairoch : la RI passe par des phases successives, avec deux ruptures : 1850 (chimie, électricité, acier) et 1960 (nouvelles technologies et déclin relatif de l’emploi industriel). La productivité augmente avec la RI (TCAM de 2 % dans l’industrie

Mercantilisme (« commercial » ou anglais / « industriel » ou français) 18è : Révolution agricole Apparition de la propriété privée et du salariat Physiocrates Pensée classique 1800-1870 : Révolution industrielle Pensée néoclassique Marxisme 1870-1945 : Expansion du capitalisme Domination néoclassique Opposition Marxiste Keynésianisme (1930 ; 1936) 1945-1978 Croissance économique (Trente Glorieuses Développement de la pensée keynésienne Depuis 1980 : mutation du

économique 2.1 La méthode inductive/déductive 2.2 L’analyse microéconomique /macroéconomique 3.3 Approche positive /normative Section III. Les différents courants de la pensée économique 1. Les économistes classiques et l’émergence de la science économique 2. Les néoclassiques 3. L’économie chez Marx 4. L’analyse keynésienne Chapitre II : le marché et la formation des prix Section1- L’analyse du marché I. La notion de marché 1. La fonction d’offre 2. La fonction

exemple : bientôt 65 millions d’habitants, mais Malthus disait que la population ne pouvait plus augmenter car on ne pouvait plus nourrir tout le monde. Réfutage : OMG Cela mérite d’être nuancé. Si on considère l’économie comme une technique ( néoclassique), l’histoire peur permettre de comprendre comment se sont développés les nouvelles techniques et pourquoi les nouvelles sont plus performantes. Comment peut-ton prouver la supériorité d’une technique par rapport à une autre. Peut-on réduire une