Politique Prix Des Galeries Lafayette

transport, le logement ou d'autres services touristiques non accessoires au transport ou au logement et représentant une part significative dans le forfait ; 2° Dépassant vingt-quatre heures ou incluant une nuitée ; 3° Vendue ou offerte à la vente à un prix tout compris. » Les OLT (Services Loisirs Accueil, CDT, OT, …) continuent à pouvoir exercer l’activité de vente de voyages et de séjours selon les mêmes conditions qu’avant, à savoir : « Les organismes locaux de tourisme bénéficiant du soutien de

sens a été la distribution. Afin de faire oublier les linéaires cliniques des hypermarchés, les enseignes jouent désormais sur les odeurs, les couleurs, la musique…pour transformer la corvée des courses en une « agréable » promenade. Ainsi, les Galeries Lafayette diffusent une odeur de monoï au rayon des maillots de bain. Le comptoir des loisirs artistiques propose des effluves de bois, de papier, de cire ou d’huile de lin. Dans les magasins Cora tout le revêtement de la partie non alimentaire est en

mondialement, et elle représente plus de la moitié du chiffre d’affaire du groupe. * PASSIONATA : elle propose une lingerie féminine créative pour les besoins d’une femme qui à « 30 ans pour toujours ». Son prix est attractif. * DARJEELING propose aussi de la lingerie féminine à un prix raisonnable et compte plus de 100 points de vente. Cette enseigne s’adresse particulierements au besoin de charmer avec naturel. * « ORCANTA Lingerie » est une enseigne de distribution spécialisée en lingerie

sur les mêmes prix. Les galeries Lafayette, Zara, H&M | * National La demande n’est pas la même au niveau national, le magasin KOOKAI a dû s’adapter à sa clientèle. Mme Bezart nous a confié que son enseigne vend beaucoup de robes alors que la spécialité de KOOKAI est, normalement, la maille. Quant à l’offre, au niveau national elle reste la même, on retrouve les même grands groupes dans chaque ville LA GRILLE PESTE PESTEL | Opportunités | Menaces | Politique | | | Economique

.. Page 9 Actions opérationnelles à mettre en œuvre ............................................................. Page 10 Le produit........................................................................................................ Page 10 Le prix ............................................................................................................. Page 11 La communication .......................................................................................... Page 11 La distribution

progressivement des parts de client au profit des nouveaux entrants (3) : les banques etrangeres (HSBC, Caixa Bank, San Paolo, Barclays, ING, etc.), les compagnies d'assurances (AXA, Groupama, etc.) ou encore la grande distribution (Carrefour, Auchan, Galeries Lafayette, etc.) « grignotent» peu a peu des parts de client en commercialisant des produits financiers de toutes L a question de la retention des clients a fait I'objet d'une grande attention de la part des managers et des chercheurs (2, 4, 6)

en compte des désirs de l’enfant : 25 3. Le mix marketing généralement mis en place sur le marché de la mode enfantine haut de gamme/ de luxe. 28 a. Le « P » Produit 28 b. Le « P » Place, soit la distribution 29 c. Le « P » Prix 29 d. Promotion/ communication 32 II/ Recommandations pour un nouvel acteur souhaitant entrer sur ce marché via l’étude de deux types d’entreprises : Une extension de marque : Baby Dior et un indépendant : Bonpoint. 34 A. Présentation des

pour hommes. Vichy, Clarins, Shiseido, Clinique, Décléor, Pytomer, Lancôme, toutes possèdent aujourd’hui leur propre ligne. Par ailleurs, la présence de nombreuses chaînes de parfumerie (Sephora, Marionnaud, Douglas) et des grands magasins (Galeries Lafayettes, Printemps, La Samaritaine, Le Bon Marché) a largement contribué à l’épanouissement de ce marché. Au départ, il s’agissait d’aider les hommes dans leur rasage, de remplacer la traditionnelle claque de l’après-rasage, très douloureux

loisirs dans les centres commerciaux. Si le loisir, la flânerie ont toujours fait partie des activités des consommateurs dans le centre commercial, le changement des années 1990 réside dans le fait que la dimension loisirs fait partie intégrante des politiques de gestion et de développement des gestionnaires de centres commerciaux (Farrell, 2003) Dépassant les typologies de pratiques de consommation, d’autres travaux de recherche considèrent la dynamique évolutive des actions des individus au sein du

Principaux résultats 4 enseignements majeurs sur le consommateur 2010 1. Les comportements d’achat sont multidirectionnels  Le consommateur 2010 est nomade : les circuits, les enseignes, les marques, les lieux qu’il choisit et les offres, les prix, la qualité, les services qu’il attend, sont en phase et intégrés à SON MODE DE VIE  Son périmètre géographique de consommation est LARGE et NON FIGE, il va où se trouve son centre d’intérêt, il fonctionne plus dans la PULSION que dans la REGULARITE