Polyphonie

relever les minutages pour plus de précision. Eléments rythmiques Tempo, alternances de tempos Mesure (marche, danse…) Formules récurrentes (cellules, motifs, idées musicales rythmiques) Effets d’écriture Développement Variation Polyphonie Eléments harmoniques Tonalité, modalité Parcours tonal ? Alternances majeur/mineur Il vous faut ensuite organiser un commentaire à partir de ces relevés. Commentaire écrit Remarques générales : Essayer de chercher un point notable

lui-même : il refuse le mythe de l’inspiration et le primat de la sensibilité il valorise le travail de la forme poétique il voue le sujet poétique à une forme de « dépersonnalisation » la notion même de sujet lyrique semble éclater sous l’effet d’une polyphonie et d’une duplicité textuelle qui empêche l’auto affirmation héroïque du moi poétique. B° Critique d’art : musique et peinture. Baudelaire s’est fait connaître publiquement comme critique d’art, par le Salon de 1845, avant même de publier ses premiers

Le lyrisme ambient. Le poète n'exprime pas directement ses sentiments mais les décrit à travers des objets , c'est le spectacle de la ville qui lui permet d'être lyrique (v23) : gout renouveau le lyrisme à travers le regard porté sur la ville. Polyphonie (tu et je) assuré par le dédoublement du "je" = technique du collage, expression de la lassitude : 1er lyrisme et renouveau poétique exprimé par "je" (2e lyrisme). Le poète par la poésie abandonne le sentiment de lassitude pour un sentiment d'émerveillement:

roman * Le ton de ce dialogue s’apparente à une comédie ton vif et non dénué d’humour (échange de réplique brève * Une autre voix apparait celle du capitaine qui contient la philosophie de Jacques Cet incipit se présente plus comme une polyphonie narrative qu’un roman traditionnel Impression que le récit est mené de voix en voix. Le commentaire prend la place de ce qui est commenté ce que l’on dit est plus important que ce dont on parle. Cette façon de raconter va permettre d’en développer

dans une tragédie, le héros, face à un dilemme, se demande que faire et expose les arguments en faveur de l’un ou l’autre choix devant lequel il se trouve. 3 Situations et enjeux de l’argumentation A Polyphonie et dialogisme • Une argumentation fait toujours entendre plusieurs voix (polyphonie). En effet, même en l’absence totale des marques d’un destinataire, l’argumentateur n’est jamais seul : argumenter c’est se situer dans un débat déjà ouvert ; c’est prendre position par rapport à d’autres

Marceline. Il apporte gaieté et sensualité dans la scène. On verra comment ce personnage ambigu concourt à la polyphonie de la scène, à la fois lyrique et comique. LECTURE ANALYTIQUE I : Chérubin, un personnage ambigu. 1 : Le portrait de Suzanne. 2 : Son autoportrait. II : Chérubin, figure du Désir. 1 : Entre mariage et libertinage, une troisième voie ? 2 : Polyphonie de la scène : la sensualité en question. Chérubin est un personnage qui se démarque des autres personnages

(il, elle) des propos d’un personnage qui, dans un discours, se serait exprimé à la première personne (elle) + principe de la concordance des temps * Rythme de l’écriture b) Les signes formels du réalisme * Style direct (formant une polyphonie avec les autres types de discours) * Langage populaire * Mots forts voir vulgaires * Mots provenant d’un dialecte propre à une situation (le champ lexical de la mine dans Germinal, celui de l’alcoolisme dans L’Assommoir (mot ancien péjoratif

transcription qui ne comporte pas toute la musique. À partir de la Renaissance et jusqu'au début du xxe siècle, l'unique support de la musique a été la partition de musique. Cette intrusion de l'écrit a été l'élément-clé de la construction de la polyphonie et de l'harmonie dans la musique savante. La partition reste unie au nom du ou des musiciens qui l'ont composée ou enregistrée. Certaines œuvres peuvent être collectives, d'autres restent anonymes. Depuis la généralisation des moyens techniques

Mais Belle du Seingeur est aussi une œuvre foisonnante par ses sources littéraires, qui rend hommage aux littératures passées. Enfin, c'est u ne œuvre singulière par l’écriture : notemment par l'emploi récurrent du "le monologue autonome" par une polyphonie narrative poussée à ses limites Albert Cohen fut l'auteur d'une Oeuvre se caractérisant essentiellement par l’amour qu'il porte à son peuple, proclamé, notemment au fil d’une tétralogie : Solal en 1930, Mangeclous en 1938, Belle du Seigneur,

complet pourtant pas dans les évocations pathétiques et superpose à ce registre, une ironie mordante qui fin d'adopter le point de vue de l'adversaire, on remarque l'oxymore « le plaisir de donner la question ». Le recours à l'ironie et à la polyphonie On voit le recours à l'ironie avec « cela fait toujours passer une heure ou deux », ça montre le point de vue des bourreaux. Ironique aussi l'euphémisme « le droit de faire des expériences sur son prochain » dans la mesure où le caractère