Polyptote

châtelaine, beauté du lac, belle » Opposition du monde terrestre et le monde aquatique. On a une petite scène typique du M-A revu par la sensibilité romantique (cf. Mme Bovary et W.Scott), Cliché -> la belle nuit étoilée, la belle châtelaine Polyptote beau/belle Grande régularité du rythme ( décasyllabe « écoute, écoute » ; octosyllabe « qui frôle »… » ; Alexandrin « losanges… illuminés » Bertrand renonce aux mètres et à la mise en page et à la rime. Unité sémantique endormi, endormi étoilé »

corruption : la corruption = l’altération, le changement en mal. Dans le contexte sociopolitique, la corruption = le fait de détourner quelqu’un de son devoir, de son sens moral, par des dons, des promesses. - LB recourt ainsi L 13 au POLYPTOTE « corrompent » / « corrompu » pour dénoncer ainsi la façon dont chacun achète la complicité de l’autre. - Il développe et illustre cette idée à partir de la L 14 : il évoque les stratagèmes du pouvoir qui octroie des récompenses comme «

bourgeoisie et la noblesse · métaphore : « marécages parisiens » · anadiploses : « la lueur pâle d’une lampe,et que sous cette lueur […] » ; « […] jeunes et jolies femmes, cette femme est perdue. » · polyptote : « ce dramatique sera, comme le drame moderne […] Le narrateur insiste, en fin d’extrait, sur le fait que le drame dont il va être question, si l’on en exclut le « mérite local » ne sera pas compris. Par ce bais il établit un parallèle entre Paris

connaître, les métaphores, comparaisons, personnifications, hyperboles, euphémismes, litotes, anaphores, métonymies, synecdoques, périphrases, antithèses, oxymores, les chiasmes, l'ironie, l'antiphrase, la gradation (ou crescendo), l'accumulation, le polyptote. -La syntaxe : la place des mots, les mises en reliefs, les parallélismes de construction, le rythme de la phrase binaire, ternaire ; les phrases simples ou complexes, les phrases nominales -La ponctuation : souvent expressive, questions rhétoriques

dépend de « vie » dans : « La vie m’est et trop molle et trop dure »,ce qui montre  la passivité du moi sujet ou plutôt son impuissance à contrôler ses émotions et  sentiments.     Le verbe « endurer » utilisé au présent et au gérondif (figure du  polyptote = variante flexionnelle du même mot) renforce cet état de dépendance  du sujet.     L’Amour, allégorisé par la majuscule, est donc bien le maître absolut et  implacable qui soumet ou qui fait espérer  « inconstamment » le cœur humain.  Le rythme ​

trahison de l’amour. « être » se définissant par « ce qui est », il en ressort presque un pléonasme, qui marque la logique, le réconfort qui existe à se persuader que ‘ce qui est’ est tel qu’il doit l’être. Cette impression est mise en valeur par la polyptote du verbe « être ». On démet alors de son piédestal l’amour, en le rendant autre que la certitude que nous avions de lui. Il en devient presque étranger, quelconque, s’opposant au portrait qui en est dressé par notre imaginaire selon Kundera. À nouveau

personne ce qui prouve, que le passage va être exprimé et vu par l'idéologie du personnage et non par celle de l'auteur. On se trouve donc dans un point de vue intradiégétique. Après être rentrée dans la demeure est avoir sentit l'air chaud, un polyptote est utilisé pour décrire les «parfums, fumets, et odeurs» qu'Emma inhale en arrivant dans la salle à manger. Puis l’héroïne se met à regarder tout autour d'elle pour découvrir la richesse du marquis et de sa femme. La personnification attribuée aux

Christian.3 Bien. Bien. Presque à voix basse.Cyrano agit en metteur en scène, cette mise en abyme montre comment Cyrano prend la situation en main ; mise en place du stratagème.ROXANE4 Non ! Vous parlez trop mal. Allez-vous-en !Opposition de Roxane ; Polyptote (répétition d’un mot sous une forme grammaticale différente) parler V2 parlez V4 qui relève le manque d’éloquence de Christian accentué par l’hyperbole ; Impératif montre que Roxane s’emporte. CHRISTIAN5 De grâce !...Montre la supplication ; impossibilité

partis, qui se joue dans le texte, par la concomitance de deux figures d’opposition (la syllepse et l’antithèse) à des endroits stratégiques d’une phrase périodique elle-même rythmée symétriquement. Notons d’ailleurs, dans le même ordre d’idées, le polyptote sur le verbe disposer de qui échange dans ses deux occurrences rapprochées les actants qu’il oppose (il faut disposer d’elle = il faut que nous disposions d’elle / qu’elle dispose de nous). Après la violence verbale, vient la violence

l'ouïe, avec l'adjectif relatif au toucher.  Figures de construction Accumulation Anadiplose Asyndète Chiasme Concaténation Enumération Epanadiplose Epizeuxe Gradation Hendiadyn Hypallage Hyperbate Oxymore Parallélisme Parataxe Polyptote Anadiplose Une anadiplose est la répétition du mot de la fin d'une phrase ou d'une proposition au début de la suivante. Cette réutilisation permet d'insister sur le terme. Son inverse est l'épanadiplose et on l'utilise pour la concaténation.