Polyptote

Si ce poème est bien lyrique, c'est peut-être avant tout parce qu'il entretient une étroite parenté avec l'univers de la musique. On peut relever les termes « chanson », « chantez », « chant », « chante », « incantent ». Figure dérivative et polyptote se superposent pour produire cette succession insistante. Les procédés musicaux sont très nombreux dans ce poème. On peut tout d'abord noter qu'il se compose de deux quatrains et d'un quintil de rimes croisées, la rime en [e] étant commune à toutes

entre celles-ci les plus belles et les mieux faites» (l.20-21). C’est donc un être de convoitise, un libertin caché, un jouisseur. Il est marqué par la concupiscence, le désir. 2. Les parallélismes des lignes 21 à 24, renforcés par la figure du polyptote, permettent de mettre en scène de façon dynamique le mimétisme quasi mécanique par lequel Onuphre harcèle les femmes, par lequel il leur impose sa présence. Cela souligne bien entendu l’«attrait» magnétique qu’exercent les charmes féminins sur

incompréhensible pour eux ce qui est désigné dans le texte par le complément circonstanciel de manière « épars et incomplets ». Le roman permet donc de redonner un sens à l’histoire. Enfin, il permet d’observer des aspects différents de celle-ci. Le polyptote du terme « vrai » en « vérité » exprime le fait qu’il y a différentes manières de percevoir l’Histoire et qu’elles sont toutes exploitées dans le roman. Premièrement, ces textes sont la parfaite illustration de la vision du roman par Vigny puisqu’ils

de Louis (ironie tragique)II-Mais elle est aussi due à la crise personnelle de toute lafamille a) Les reproches des autres b) La crise d'AntoineIII-Enfin elle est due a une crise de la parole a) La quête obsessionnelle du mot exact épanorthoses, polyptotes b) Des personnages enfermés dans leurs pensées chiasmes« Nous attendons que quelque chose arrive, mais rien ne vient jamais. Rien ne change jamais. C’est comme si le monde avait atteint la fin de sa course. » – Jean-Luc Lagarce« Rien jamais ici

ressort et un mélange des arts. La soirée paraît animée et mouvementée. Ceci est rendu par un champ lexical de la joie tout au long de l’extrait comme « plaisir » aux lignes 7 et 20 « joyeuse » ligne11, « bonheur » ligne55 mais également par le polyptote à la ligne 53 avec « fou » et « follement » et le rythme des phrases de la ligne 6 à la ligne 10 qui témoignent de l’excitation omniprésente. L’anaphore de « Parfois » à la ligne 12 et à la ligne 15 souligne la vivacité de la fête et son caractère

d’heures, beau débrideur de messes, beau décrotteur de vigiles et pour tout dire en un mot, un vrai moine s’il en fut jamais depuis que le monde moinant moina de moinerie ; Au reste, clerc jusqu’aux dents en matière de bréviaire » L'usage de cette polyptote montre qu' il ne semble pas préoccupé par les formalités religieuses, il "n'est point bigot"(p293) c'est-à-dire qu'il n'est pas obsédé par la prière mais il connait aussi très bien son bréviaire, donc ces formules de prières. Puis au fil du roman

montre que le duc est actif et entreprenant, il parvient à s'avancer sous les fenêtres mais cependant jamais dans l'espace du cabinet. Tout le passage est centré sur la vue : « voir » / « vit » plusieurs fois / « vue » : le polyptote (variation à partir du même radical) montre l'importance du regard qui est ici celui de l'homme qui observe (épie?) la femme aimée. Le duc de Nemours se trouve dans la position d'un voyeur coupable , il opère une transgression

le noeud de la scène se ressent avec le terme « beau » : «Il est fier, noble, jeune intrépide, beau … ! » et marque l’impossibilité pour Cyrano d’être aimé. Dans la scène du balcon, Acte III, scène 7, l’isotopie de la douleur («  terrible », polyptote du mot « mourir », oxymores «  fureur triste ») prouve que son amour secret est une source de souffrance. La douleur de Cyrano se ressent, en outre dans le non-dit de cette déclaration. Ainsi, derrière un masque farcesque, Cyrano dissimule l’aspect

: Et la mer et l’amour…, Marbeuf ( XIIème) Comparaisons, métaphore, homonymes, paronymesC’est un sonnetSentiments d’amour, de colère ( orage ), de tristessesAllitération, Anaphore « Celui qui craint.. »Le poète montre son talent Amer = polyptote / « s’abîme » polysémique Synthèse, Marbeuf et la mer et l’amourEt la mer et l’amour écrit par le poète Pierre Marbeuf en 1628 est un sonnet baroque.- Il met en valeur la nature avec la musicalité mais lie

texte et est redondant dans ce vers 2. C''est UN ELOGE PARADOXAL qui est fait de cette mort, valorisée par les deux HEMISTICHES, envisagée comme une FINALITE (« but ») et un HORIZON d'ATTENTE (« espoir ») inespéré (l'ADJECTIF EPITHETE « seul »). Le POLYPTOTE « vivre, vie » redouble l'antithèse du début.Vers 3 et 4 : irrupution d'une troisième PROPOSITION RELATIVE, expansion du nom, DESCRIPTIVE, par l'ENJAMBEMENT. Idée d'IVRESSE qui peut faire référence à la Section précédente, « Le Vin » à travers « elixir »