Polysemie Des Verbes

reste, les noms en français ne varient qu'en genre (noms animés) et en nombre. La flexion procède soit par addition d'affixes (en français, des morphèmes grammaticaux, appelés aussi désinences), soit par modification du radical (en français, les verbes dits irréguliers ; ex. vouloir : voul- / veu- / voud- / veul- / veuill-) ; le plus souvent les deux procédés sont associés. L'ensemble des formes d'un même mot s'appelle le paradigme. Note : vous devez connaître la morphologie de votre langue

locutions adverbiales: sans doute, probablement, peut-être, certainement, évidemment, bine sûr, manifestement, heureusement, naturellement, franchement,… Le conditionnel dans sa valeur modale, pour marquer que l'information est incertaine. Certains verbes introducteurs: prétendre, sembler, paraître, avoir l'air, affirmer,.... Certains compléments circonstanciels: en toute franchise, à mon avis…. Mots valorisants appréciatifs (laudatifs) ou dévalorisants dépréciatifs (péjoratifs): connotation positive

du procès et il peut souligner la présence du sujet enunciateur. “Moi, j’ai décidé...” Moi porte l’accent. 
3. Il peut renforcer les modalités du discours, grâce à sa présence, sur:
 -des adverbes d'appréciation (bien sur, evidemment) 
 -des verbes modalisants (Ils peuvent, il ne veulent pas)
 -la négation (pas) -morphèmes (ce, me..) 4. Il peut souligner les articulations logiques du discours où les mots qui indiquent les étapes de l’argumentation (donc, alors, mais)

traversent le texte. Le paragraphe commence par la location adverbiale « à peine » (l.8) qui suggère l’extrême célérité de l’exécution de la prière, et continue avec la référence à un instant précédent « tout à l’heure si rapides » (l.13). En outre, les verbes sont conjugués au présent de l’indicatif : ils nous donnent à imaginer des actions comme si nous étions présents pour les observer. Leur succession évoque la vitesse et le mouvement: « entoure » (l.10), « s’allongent, se changent » (l.11), « adhèrent »

une histoire inventée (fiction), soit une histoire tirée de la réalité (fait divers, reportage, témoignage, biographie). Les événements relatés sont liés entre eux par une relation logique et temporelle. Il comporte des indicateurs de temps et des verbes d’action à l’imparfait, au passé simple ou au présent de narration. • le texte descriptif qui offre une représentation de la réalité (même imaginaire) : descriptions d’objets, de paysages, portraits... Les phénomènes rapportés sont situés dans l’espace

littéralement : trait de pensée. 17 Heidegger M. (1958), Que veut dire penser ?, in Essais et Conférences, Paris, Gallimard : 154. 18 « (La composition n’est) pas une combinaison de mots (substantifs et substantifs, substantifs et adjectifs, substantifs et verbes, etc.) mais une combinaison d’idées rendue visible par celle des mots » (Darmesteter, 1967 : 3). 19 Notons que les rapports de jury de l’Agrégation de Lettres Modernes soulignent le manque de compétence en matière lexicale des candidats et « des

fascine. – Fintan découvre l’accouchement : d’abord il assiste à l’enfantement, puis il assiste Oya, en lui tenant la main. Cette fois, il se montre plus actif que son ami Bony, et se substitue même au père, symboliquement. Dans ce passage la polysémie du mot eaux, au pluriel, est exploitée par Le Clézio. La naissance se passe sur la même épave que celle où l’enfant a été conçu. Lecture méthodique proposée : pp. 230 et 231 " Fintan était seul dans le ventre de l’épave... pirogue du dispensaire

et ce laxisme conduit, en fin de compte, à la négation exacte de toutes les valeurs positives qu'il avait voulu défendre. Commentaire de la phrase clé de Dudard : <<Comprendre, c'est justifier >>. Cette phrase repose en fait sur une polysémie dangereusedes deux verbes. En fait, dans le contexte de la réplique en question, Dudard veut donner au verbe < comprendre ) un sens intellectuel neutre (etwas verstehen).Selon lui, <<tout est logique >>.Tout ce qu'on observe (effet) doit donc pouvoir être ramené

3/18 Français, Séquence I : L’homme face au sentiment de l’absurdité Corrigé de la question préalable Suggestion de plan Sur le champ de bataille, un héros mis en échec / en décalage avec la scène (similitudes) • L’incompréhension de Fabrice (verbes de perception, « il n’y comprenait rien du tout ») • La mort tragique de Gavroche (imparfaits, figure de l’enfant désarmé face aux soldats) • L’effacement de Frédéric (disparition du héros) • La révolte et la fuite de Bardamu (le héros dépassé par

hyponyme : terme restreint (rose, chien…mammifère : hyperonyme de chien, mais hyponyme d’animal), par la 3ème pers. du sing. (« elle », + adj. poss. « sa », »ses ») - sujet des verbes d’action (« avait déclose »v.2 « a…laissé choir »v.8-9) 2 personnages témoins de la scène 1) Un décor : un jardin  Evoqué implicitement à travers la fleur et le nom « la place »v.8( extérieur