Ponctuation

Prenez l’habitude de taper en minuscule la 1ère lettre de chaque phrase. Word se charge d’en faire une majuscule (dès qu’on tape le premier espace ou un signe de ponctuation après le mot).  Inutile de taper un espace juste avant les signes de ponctuation qui en nécessitent un, Word s’en charge. Saisissez par contre l’espace qui suit la ponctuation.  Guillemets « » : Word se charge de placer les espaces à l’intérieur. Si vous tapez un espace avant le deuxième guillemet, il sera ouvert au lieu d’être

prononcé [s] : plaça, déçu, rançon Le TRÉMA sur le « i-e-u » pour marquer une distinction anormale de prononciation : contiguë, haïr égoïste, coïncider… Le TRAIT-D’UNION pour lier plusieurs mots : phénomène de COMPOSITION Les principaux signes de ponctuation La VIRGULE marque une pause à l’interieur d’une phrase. Elle isole une apposition (précision), les mots d’une énumération, un complément disposé en début de phrase : parce qu’il était riche, il pensait que nous l’aimerions d’avantage. Les DEUX

simplement coordonnées. 3. déterminer comment on peut matérialiser ce rapport: conjonctions de coordination et de subordination, pronoms relatifs, prépositions et locutions prépositives (avec l'infinitif), adverbes et locutions adverbiales (après une ponctuation forte). 4. vérifier qu'on a bien opéré tous les ajustements nécessaires pour que la nouvelle phrase soit correcte et cohérente: harmoniser les temps verbaux («concordance des temps»), supprimer les éventuelles répétitions (en utilisant des pronoms

qui on été fait prisonnier par des turcs. Donc Victor Hugo a construit un poème symbolique ou tout évoque l’enfermement. Tout d’abord, le poème est clos par la forme : il commence et se termine par le même vers. Chaque strophe est fermée par une ponctuation forte, les rimes sont embrassées avec un retour de la rime suffisante vers 1-4 et 17-20. De part les rimes internes, le retour d’allitération et d’assonance qui donne un effet d’échos (« ourd » ; anaphore du « la » dans la strophe une.). Ensuite

futur dont elle ne connaît rien qui laisse place à l'espoir et au désespoir. La virgule à la fin du second vers laisse penser que la poètesse va rajouter une condition mais la conjonction de coordination "et" placée juste à la suite de ce signe de ponctuation produit un effet d'insistance et d'empressement qui laisse transparaître sa crainte. Les noms "sanglots" et "soupirs" sont dénués de possessifs, ce qui laisse suggérer un sentiment qu'elle est incapable de contrôler. Le vers quatre vient contredire

Différentes particularités traduisent la vivacité du dialogue : des interdictions qui sonnent comme des ordres (« Ne prononcez plus ce mot ! »), des formules tranchantes et définitives (« Démolissons tout cela, on s’en portera mieux »), ainsi que la ponctuation : on remarque une abondance d’exclamations qui expriment l’emportement (« L'humanisme est périmé ! », « Des clichés ! », « Des bêtises ! »), et des interrogations qui reflètent la tension du dialogue (« Perdez-vous la tête ? Enfin, aimeriez vous

la discussion. Or Créon lance la tirade la plus longue de la scène, des lignes 58 à 91, qui montre le pouvoir réel qu'il incarne. En tant que roi, il veut imposer son opinion et convaincre Antigone de l'importance de son rôle. b) Le signe de ponctuation est le point d'exclamation. Dans ces répliques, le ton d'Antigone est celui de la révolte, de la colère et aussi celui du mépris. 3- Antigone refuse de se soumettre à la volonté de son oncle : "Je suis là pour vous dire non". Surtout

plus 4 alinéas sont remarquables après cette phrase. 3 des 4 paragraphes débutent par un connecteur logique qui a cette fonction d’embrayeur. « d’abord » l.2, « mais » l.7, « reste … » l.13, chacun d’entre eux est mit en relief par un signe de ponctuation ( - ; , ; … ), recours systématiquement à un jeu de « - » dans ces paragraphes. On se croit dans du discours direct, mais non : « - » d.d., « - » d.i.. La formulation maladroite d’un argument casse sa force ou je sais plus quoi. Hugo leurs fait

L'absence d'enjambement - L'asyndète (parataxe) - L'anaphore / "il entra, il en sortit" -> Image dynamique de la prise du Pont d'Arcole en 1796 2. Les derniers vers / Napoléon III • Pas d'enjambement • Précédés d'un double signe de ponctuation très fort : point + tiret • Répétitions : "Voici", "Petit, petit" -> Impression de piétinement, de petitesse C. Les rimes -> Lecture verticale • 1ère rime des octosyllabes : (positive) - "Histoire/victoire" - "Bataille/mitraille" - "Maîtresse/forteresse"

l'assassin de ma mère... Pourtant mon destin est celui-ci : d'avoir à écrire des poèmes en allemand. » 2- Description Ce poème est composé de écrit en vers libre : vers de longueurs variable, absence de rimes régulières ne possède aucun signe de ponctuation, il y a donc plusieurs façon de le lire. 3-Analyse La première image du poème est le « lait noir de l'aube » bu par les prisonniers. Cet oxymore (alliance de mots contraires) exprime l'horreur des camps de concentration. Ce « lait noir » symbolise