Ponctuation

appartient l'extrait. 2. le lire à haute voix Bien lire c'est - prendre son temps On lit toujours trop vite, tant et si bien que les mots finissent par s'agglutiner en un magma inintelligible. Une méthode radicale : à chaque signe de ponctuation, marquez un temps d'arrêt bien net. - assurer les liaisons Assurer les liaisons nécessaires tout en évitant les pataquès Tout d'abord, un peu de vocabulaire : un pataquès est une faute de prononciation qui consiste à faire une liaison malheureuse

D’’abord celle de l’image de l’enfant mort :  Dès le 1er vers : éléments descriptifs : simplicité de la phrase souligne l’horreur d’une mort pitoyable  Ton neutre de la constatation : naît de cette économie de « moyens » pour évoquer la mort  Ponctuation très simple : contribue à créer l’émotion naissant du silence  « doigt dans les trous de ses plaies » v.9 : renforce l’idée de cette mort injuste qui frappe l’innocence  Contraste avec celle de l’image de l’enfant vivant :  Passé heureux +

rapportées au style direct, indirect et indirect libre, et une courte citation d’un autre roman, qui au lieu de l’inscrire dans une continuité littéraire, marque avec humour une rupture. Le narrateur emploie également la prétérition (lignes 35-36). La ponctuation et les codes typographiques (parenthèses, italiques, guillemets) marquent continuellement des ruptures, des suspensions. Le point de vue est constamment interne, mais les hésitations du narrateur (rêve ou réalité ; passé ou présent ; souvenir ou

une apostrophe (lorsqu’on s’adresse directement à quelqu’un). « Ne rentre pas trop tard, Nathalie. » suite 3 VIRGULE Attention ! La virgule est interdite dans les contextes suivants. On ne sépare pas par une virgule ni par un autre signe de ponctuation : • le groupe ayant la fonction de sujet et le groupe verbal (GV) ; Mon frère _ explique tout à ses enfants. La randonnée que nous avons faite _ nous a complètement épuisés. • un mot et un élément qui le suit obligatoirement (ex. : le verbe et

démarche inductive, qui va du particulier au général. - Julien articule les moments forts d’un discours construits: « Je mérite donc la mort » - L’absence, par moments, de connecteurs, peut donner une certaine éloquence au discours, - Pas de ponctuation expressive. Ce qui indique que Julien n’a aucune hésitation et parle avec clarté, netteté, fermeté ( «  en affermissant sa voix »). Les phrases ont des longueurs variables mais on notera que leur construction est simple, commencent presque toutes

une « nouvelle harmonie » à venir qui se pressent déjà dans la forme du textevChaque agression des formes anciennes est l'occasion de tenter de nouvelles expériences sur le langage. Ainsi, le poème invente ses propres règles de syntaxe et de ponctuation : on trouve une virgule en fin de parenthèse ou, procédé déjà employé par Baudelaire, avant un tiret (« aux rafales de givre, - »), un paragraphe qui s'achève par une virgule ou un tiret (« qu'on entend, qu'on sent, »). Certaines phrases ont une

(tout en gardant le doigt appuyé sur le bouton gauche de la souris) pour le mettre en surbrillance. Tapez alors sur la touche Suppr D. Règles de ponctuation Il faut laisser un espace après les signes de ponctuation simples ( . , ). L’apostrophe ponctuation. n’est pas un signe de 14 Il faut laisser un espace avant et après les signes de ponctuation doubles ( : ; ? ! ). E. Insérer des caractères spéciaux Placez le point d’insertion à l’endroit où vous souhaitez insérer le caractère spécial

de faire le narrateur, l’illumination, la révélation qui a accompagné un simple échange de regards. Opposé au précédent, le mot « nuit » exprime la déception de la perte, la disparition de la passante, le retour brutal au réel après le rêve. La ponctuation particulière du vers renforce le sens de ces deux mots. Après « un éclair », les points de suspension marquent une sorte d’ellipse : quelque chose s’est produit, qu’on ne raconte pas, mais qu’on laisse au lecteur le temps de deviner : le trajet

s'est transformé en révélation. L'éclair est l'illumination de l'être par la vision de la Beauté. Opposé au précédent, le mot « nuit » exprime la déception de la perte, la disparition de la passante, le retour brutal au réel après le rêve. La ponctuation particulière du vers renforce le sens de ces deux mots. Après « un éclair », les points de suspension marquent une sorte d’ellipse : quelque chose s’est produit, qu’on ne raconte pas, mais qu’on nous laisse le temps de deviner : le trajet intérieur

(première strophe). 5. Les parfums « corrompus, riches et triomphants » connotent par ailleurs l’expérience et la maturité à l’inverse des parfums précédents des vers 9 et 10.£ 6. Cette opposition est marquée syntaxiquement par : - Le tiret, signe de ponctuation fréquent chez Baudelaire lorsqu'il veut marquer une rupture forte. - La conjonction de coordination « et ». - Le pronom indéfini «d'autres ». 7. La puissance de ces parfums est soulignée par: - La gradation : les adjectifs qualificatifs en trois