Ponctuation

qu’une phrase écrite doit être limitée par « la majuscule et le point ». C’est également ce qu’affirme la définition du Bescherelle, mais cela n'est guère qu'un moyen de retrouver des phrases dans un texte déjà ponctué, car l’exemple 14 (texte sans ponctuation) et l’exemple 12 (phrase sans majuscule ni point) démontre qu’il est possible de reconnaître une phrase autrement que par une majuscule et un point. Dans le texte, c’est grâce au sens que l’on peut distinguer les phrases entre elles. c) La troisième

de faire le narrateur, l’illumination, la révélation qui a accompagné un simple échange de regards. Opposé au précédent, le mot « nuit » exprime la déception de la perte, la disparition de la passante, le retour brutal au réel après le rêve. La ponctuation particulière du vers renforce le sens de ces deux mots. Après « un éclair », les points de suspension marquent une sorte d’ellipse : quelque chose s’est produit, qu’on ne raconte pas, mais qu’on laisse au lecteur le temps de deviner : le trajet

de faire le narrateur, l’illumination, la révélation qui a accompagné un simple échange de regards. Opposé au précédent, le mot « nuit » exprime la déception de la perte, la disparition de la passante, le retour brutal au réel après le rêve. La ponctuation particulière du vers renforce le sens de ces deux mots. Après « un éclair », les points de suspension marquent une sorte d’ellipse : quelque chose s’est produit, qu’on ne raconte pas, mais qu’on laisse au lecteur le temps de deviner : le trajet

d’ailleurs, Trivelin ne prend pas la peine de placer ces verbes introducteurs : « Mais je ne vous comprends point… » (ligne 20), seul le ton permet alors de distinguer les propos. S’exprimer ainsi au style direct permet de restituer le ton par la ponctuation et de conserver les temps du discours initial. En même temps, et, ici en particulier, cette formule permet de laisser intacte l’énonciation donc le jeu entre le « je » et le « vous » et de maintenir au langage toute sa subtilité. Pour toutes ces

sous forme de lettres majuscules. Le terme « voyelles » qui résume l’énumération précédente (d’où la présence des deux points explicatifs) renvoie bien au titre et au thème du poème. A chaque voyelle est associée une couleur (sans signe de ponctuation entre elles). Peut-on voir, dans cette suite, un classement selon l’absence de couleurs que sont le noir et le blanc, la couleur chaude et rouge à laquelle renvoie le i central, et les couleurs froides que sont le vert et le bleu ? Le deuxième

ne peuvent pas retourner en arrière pou encercler une lettre ratée. Les critères habituels sont utilisés pour les deux textes. Le mot contenant la cible n’est jamais placé au début ou a la fin d’une ligne, il n’est jamais adjacent à un signe de ponctuation, et il n’y a jamais de lettre cible dans le mot qui précède ou qui suit immédiatement après. Le lecteur doit lire attentivement, car deux questions de compréhension suivent chaque texte. Il y a un certain contrôle dans l’ordre de présentation des

spécial (p. ex. du code informatique). N’oubliez pas ! Plus vous utilisez de polices dans un document, moins il DEVIENT :::::: lisible et BIEN présenté. 3.5 Écrivez les titres correctement – Seul le premier mot prend une majuscule. – Pas de ponctuation à la fin ! Sauf Un avenir optimiste ? (p. ex.) – Pas d’article défini en début de titre. Ex. La gestion des ressources humaines NON Gestion des ressources humaines OUI – Nom commun et pas verbe à l’infinitif. Ex. Gérer la délinquance NON Gestion de

sous la forme : \newcommand{\formeabrégée}{forme complète} La forme abrégée commence par une contre-oblique c’est une nouvelle instruction, le terme ne doit pas être une instruction existante et ne doit comporter que des lettres : pas de signe de ponctuation ou d’espace, pas de caractère réservé, pas de chiffre. 1.12 Caractères réservés Si nous voulons faire figurer des caractères réservés aux commandes dans le document final, on ne peut pas les taper tels quels dans le fichier source. Voici la

entre guillemets. Elle est suivie d’un chiffre qui renvoie à une note, figurant en bas de page ou à la fin du texte. Cette note révèle la source de la citation. Le chiffre est placé, en exposant, après la fermeture des guillemets. Enfin, si la ponctuation fait partie de la citation, le guillemet se ferme après le point. La citation courte est intégrée au texte à double interligne. La citation longue5 3.2 La citation longue (plus de trois lignes) est placée en retrait du corps du texte et sans

alors de coupe enjambante. Des clo/ches tout à coup // sau/tent avec furie (= 2/4//1/5) - Baudelaire - Le bau/m(e) est dans sa bouch(e)// et les ro/ses dehors (= 2/4//3/3) - Malherbe - Cependant, si le e caduc prononçable est suivi d'une ponctuation forte, la mesure finit après lui. On parle alors de coupe lyrique. Mêlant aux fleurs des yeux de panthères à peaux D'hommes! /Des arcs-en-ciel // tendus /comme des brides (= 2/4//2/4) - Rimbaud - Les adjectifs antéposés portent un accent léger