Portance

[pic] Cette résultante se décompose en deux forces: -une composante horizontale qui constitue la traînée -une composante verticale appelé la portance [pic] 2.2 Ailes courbes inclinées Il est très vite apparu que les ailes courbes étaient plus efficaces que les ailes planes afin d’assurer la portance de l’avion. En effet, les filets d’air suivent plus facilement ce prolongement et « collent » mieux à l’aile. De plus cette forme accentue fortement la

papier de l’activité 1. http://pierre.rondel.free.fr/portance.htm Cas des balles en rotation[modifier] Quand une balle est en rotation,liftée ou coupée, c’est-à-dire d'axe de rotation horizontal, perpendiculaire à Vo, alors la traînée et la portance restent dans le plan vertical ( g, Vo): la trajectoire reste plane. Si la balle est brossée vers le bas (rotation sens direct), la balle sera aspirée vers le haut, et si la rotation est très vive, la trajectoire peut même passer derrière le lanceur

(grimper) ou descendre (piquer) Le principe technique Un avion vole grâce à l'écoulement de l'air autour des l'ailes produisant des forces aérodynamiques. La portance va compenser le poids / la traction va compenser la traînée. La portance : force qui permet à l'avion de voler (produite par les ailes), s'opposant au poids. La traction : force fournie par le moteur et l'hélice, qui permet à l'avion d'avancer. Le poids : force exercée par la

utilise la force d’Archimède afin de soulever sa masse. Pour prendre son envol, notre ballon dirigeable obéira donc à la loi suivante : "Tout corps immergé dans un fluide subit une force opposée au poids du fluide déplacé." On nomme cette force portance aérostatique et s’exprime par Cette loi permettra à un dirigeable de 8 tonnnes de soulever 7.7 tonnes soit 96.25% de son poids, il restera donc un poids de 300kg à soulever. C’est alors que les moteurs latéraux du dirigeable

le cas des écoulements à des vitesses modérées. C’est également à la fin du XIXe siècle et au début du XXe que l’aérodynamique expérimentale a découvert les lois physiques, que les théoriciens ont eu à expliquer, concernant les phénomènes de la portance (N. I. Joukovski, 1904), de la traînée (W. Blasius, 1907), de la stabilité et du contrôle des avions subsoniques. L’accroissement de la vitesse, jusqu’à des valeurs supersoniques, a résulté des progrès de la technique, favorisés par le développement

frottements turbulents. Certaines parois sont dotées de nouveaux revêtements pour optimiser l'écoulement de l'air. Mais ces nouveaux matériaux présentent tout de même des difficultés comme la durabilité et la résistance. La traînée induite, liée à la portance, est aussi très étudiée. Pour la diminuer, deux solutions ont été proposées. La première est d'augmenter l'envergure des ailes, mais des contraintes mécaniques et aéroportuaires, limitent l'exploitation de cette solution. La deuxième est d'installer

vol stationnaire expliqué dans une deuxième partie. Pour ces parties , nous nous sommes répartis les tâches équitablement : pour ma part j’ai travaillé en majorité sur la sous partie « aérodynamique », et contribué avec Paul à l’expérience sur la portance , Jean-Sébastien s’est occupé en majorité de la partie vol stationnaire avec quelques modifications par le groupe , Louis s’est chargé de l’introduction et de la conclusion ainsi que la mise en page et Paul de la sous partie « bilan des forces »

situation d’aile portante (écoulement attaché, faible incidence) et en situation de décrochage aérodynamique (forte incidence) sur un profil NACA 23012. Par la suite de ce TP nous allons pouvoir définir les différents coefficients aérodynamiques de portance et de traînée pour chaque configuration. A la fin de tout nos relevé, nous allons confrontés nos résultats numériques avec les résultats expérimentales. 6.3 Manipulations 6.3.2 Vitesse d’écoulement Schéma de principe :

Venturi : Rétrécissement de section = augmentation de la vitesse du fluide [pic] Formule de Bernoulli (adaptée au fluide compressible): 1/2 ρ v² + ρ g z + p = cte I - 2 Le vol plané Champs de pression sur l’aile : [pic] La portance Rz = 1/2 ρ v² S Cz La trainée Rx = 1/2 ρ v² S Cx [pic] Le moteur du vol plané : [pic] Conclusion : L’aile, une surface de forme étudiée, permet au planeur de voler grâce à la résultante aérodynamique. Unique résultante de l’ensemble

= 0 Pour que les forces soient en équilibre (c'est-à-dire que l'avion n'accélère ou ne ralentisse pas), il y a une composante de poids qui s’oppose à la traînée. On obtient cet équilibre en baissant le nez de l’avion. On remarque aussi que la portance doit être moins importante qu'en vol en palier. Elle ne compense qu'une partie du poids. JFC P1 REV 1 – 01 MAY 2008 The Descent 2. La finesse maximum Imaginez un vélo au sommet d’une montagne. D’un côté, une pente raide et de l’autre