Porte de Pantin

nombreuses zones blanches. Entre les chemins de fer ou les bâtiments abandonnés et délabrés qui leur appartiennent. De nombreux chemins de fer y sont abandonnés et laissés à l'abandon. Au nord-est de Paris, juste à la sortie du périphérique, à Pantin, par exemple, on trouve la Cité fertile. Ils sont installés dans une ancienne 1 Vasset, Philippe. Un livre blanc : récit avec cartes. Paris: Fayard, 2007, p. 22-23 Britt De Schoenmakere gare de marchandises. C'est un tiers-lieu écologique

pièce, la maîtrise absolue du dramaturge. C/ Le comique du désespoir On notera pour finir la tonalité générale de cette scène « d’exposition ». Un certain comique s’y développe, à travers l’indication didascalique (qui fait des personnages des pantins, des marionnettes au déplacement réglé), à travers le vide qui occupe leur discours, les décrochages de niveaux de langue, certaines annotations qui sont comiques à la lecture mais pas forcément à la mise en scène (« Estragon, au prix d'un suprême

file Kandinski Description La scène : C'est une scène ordinaire, dans un café, trois personnages sont assis autour d'une table, jouant au Skat, un jeu de cartes allemand. Le décor: un café avec des journaux allemands, un porte manteau, une table et des chaises de troquet. Les trois hommes ont fait la guerre et en gardent de nombreuses séquelles: membres arrachés, visages défigurés, perforés, mâchoires artificielles, conduits auditifs, oeil de verre...: ce sont les «gueules

Sujet : Y a t il une servitude volontaire ? L’assujettissement émane de la soumission de l’être à ses inclinations, animé par un désir caractérisé par son insatiabilité, dès lors qu’il est satisfait, le désir se porte sur autre objet, c’est un cercle vicieux, pernicieux si l’on peut dire cela ainsi car il fait de l’être un être chétif, souffreteux qui se meut dans une existence qui devient souffrance à l’instant ou le désir n’est pas satisfait, cette insatisfaction

maître d’études : — Monsieur Roger, lui dit-il à demi-voix, voici un élève que je vous recommande, il entre en cinquième. Si son travail et sa conduite sont méritoires, il passera dans les grands, où l’appelle son âge. Resté dans l’angle, derrière la porte, si bien qu’on l’apercevait à peine, le nouveau était un gars de la campagne, d’une quinzaine d’années environ, et plus haut de taille qu’aucun de nous tous. Il avait les cheveux coupés droit sur le front, comme un chantre de village, l’air raisonnable

c’est lui décide en tout temps ce qu’il veut faire. Sous-argument 1.1 : Il estlibre de choisir où il veut aller pour être heureux Preuve 1.1 : «Un soir d’automne, au Chenal du Moine, comme les Beauchemin s’apprêtaient à souper, des coups à la porte les firent redresser.C’était un étranger de bonne taille, jeune d’âge, paqueton au dos, qui demandait à manger.» (p.19) Sous-argument 1.2 Il est indépendant, il n’y a rien qui peut l’empêcher de partir comme bon lui semble.Preuve 1.2 : Le Survenant

phénomène physique. Pour conclure, Barnes enterre ici la théorie métaphysique du Moi au profit de celle de l’Agrégat. Le sujet métaphysique émane ainsi d’une confusion grammatical qui aurait servie de fondement à la théorie historique du Sujet portée par nombres de grands philosophes. Dans ce contexte, la connaissance scientifique ne fait qu’accélérer le démantèlement du sujet en prouvant que l’Homme ne se résume qu’au phénomène physique qu’est le cerveau. De fait, les sciences liquident le Moi

en vos grades et qualités. La Porte Basse (A la Gloire du Grand Architecte de l’Univers) On frappe à la porte du temple : c’est le Frère Maître des Cérémonies qui présente un profane pour être admis aux mystères. Celui-ci est en effet libre et de bonnes mœurs. Le Frère Couvreur ouvre les portes, avec fracas, et dit au Maître des Cérémonies qu’il peut introduire le profane. Le Maître des Cérémonies fait courber le profane comme s’il passait par une porte très basse. Le Frère Couvreur pose

cochons sauvages. Il souligne aussi le fait qu’il n’y a pas de grandes personnes sur l’île et qu’il leur faut se débrouiller seul. Ralph leur explique que celui qui veut parler au cours d’un meeting doit tenir la conque dans ses mains. La discussion porte ensuite sur le fait que personne ne sait où ils sont et Piggy dit qu’il est bien possible qu’ils doivent rester longtemps sur l’île avant que quelqu’un ne vienne les secourir. En attendant, Ralph souligne qu’ils pourront bien s’amuser et que l’île

la raison, ou des arguments, mais en persuadant les autres. ce qui l’inscrit dans la démesure et l’excès, des vices opposés à l’idéal classique. La première phrase est saturée par le champ lexical de la tromperie qui met en évidence le masque que porte le personnage : « "persuader », « se donne pour tel », « mentir », « paraître" ». Ce champ lexical permet à La Bruyère de dénoncer le caractère théâtral d’une société qui fonde tout sur le paraître. Ces deux idées de savoir exhaustif et d’attachement