Portefeuille Casino

marketing II. LA POLITIQUE COMMERCIALE DE L’ENTREPRISE A. La politique du produit 1. La définition du produit 2. Le cycle de vie du produit a. La conception et le positionnement du produit b. Le cycle de vie du produit c. La technique du choix de portefeuille B. La politique du prix 1. Présentation des objectifs et des contraintes 2. Les modes de fixation des prix a. A partir des coûts b. A partir de la demande 3. Le Yield Management a. Le Yield Management, une extension de la mercatique b.

71,8% Services aux entreprises | 10% Restauration | 7,6% Exploitation de casinos | 4,4% Articles de papeterie | 52% Rasoirs | 17,3% Autres | 3,7% Vente de véhicules | 95,4% Briquets non rechargeables | 27% Prestations de services | 4,6% Services à bord des trains | 3,5% Exemples de DAS Business vs. Corporate Strategy Choix des DAS Corporate Strategy Stratégie du Groupe Gestion d’un portefeuille d’activités Choix d’allocation des ressources DAS 1 DAS 2 Business Strategy

entrepreneuriale". ... devenu coup de pub' En baskets, en T-shirt, ou en costume-cravate, comme Ralph de la Vega, PDG d'ATT, les PDG se sont (presque) tous pliés au jeu, avec le sourire, en affichant un air débonnaire et bon enfant. Avec leurs portefeuilles bien garnis, ils permettent aussi à l'ALS Foundation d'encaisser des millions de dollars: l'association aurait collecté 41,8 millions de dollars entre le 29 juillet et le 21 août de cette année, alors qu'elle n'avait collecté que 19,4 millions

La question essentielle est souvent : l’entreprise doit-elle se limiter aux opportunités correspondant à ses forces actuelles ou bien acquérir les compétences qui lui font défaut pour affronter de nouveaux marchés ? Comment faire évoluer mon portefeuille d’activité ? Comment répartir mes ressources entre les différentes activités ? Comment évaluer l’intérêt relatif des différentes activités de l’entreprise ? L’évaluation de l’intérêt d’une activité repose sur deux facteurs : * L’attrait

......................10 B. LES CHOIX STRATEGIQUES D'UN GROUPE QUI MILITE POUR DEFENDRE SES DIFFERENCES ....................................................................................................................11 I. Les stratégies de portefeuille .......................................................................11 II. Les stratégies de domaine .......................................................................12 C. LES MODALITES DE DEVELOPPEMENT STRATEGIQUE....................

fusions-acquisitions en fonction des motifs qui les justifient. On distingue les opérations dont le but économique est l'intégration verticale, celles qui visent l'intégration horizontale et celles qui conduisent à des conglomérats visant une simple logique de portefeuille. Lorsque les motifs sont essentiellement stratégiques et/ou productifs on parle de : Concentration horizontale (rachat de concurrents sur le même marché) Concentration verticale (rachat de clients et/ou de fournisseurs)

obtenus au cours de cette année. Les inconvénients : L’absence de contre-pouvoir, qui peut déboucher sur des malversations financières. A titre d’exemple, on peut citer le cas du président de la société DAIO qui a été arrêté après avoir perdu au casino 139 millions de dollars. Un contrôle de gestion quasi-inexistant, du moment où les contrôleurs sont choisis par le dirigeant lui-même. un manque de transparence et de parité dans la gestion de la société, on note une tendance à l’enracinement

L’essor des marques coïncide avec l’avènement des marchés de masse et le développement du marketing, aux USA dès la première moitié du XX siècle, en France, à partir des années cinquante. De très grands groupes ont bâti leur puissance sur des portefeuilles de marques fortes tels que Procter et Gamble, l’Oréal, Danone. La marque constitue pour l’entreprise un moyen d’affirmer sa personnalité. C’est, pour le consommateur, un élément permettant de reconnaître les attributs attendus, d’adopter des

modèle désintermédié : modèle américain : c’est essentiellement les marchés financiers qui financent l’économie. II / La finance a été détournée de son principe utile 1) La spéculation Avant 80, les investisseurs avaient une logique de portefeuille qu’ils pouvaient garder longtemps. Mais le court termisme se développe : bcp de gens achètent des actions le matin et les revendent le soir. + tendance à diversifier les risques : on prend un panier d’action qu’on change souvent pour diminuer les

valeurs cotées sur cette bourse puisque les valeurs qui se comportent mal finissent par être remplacées dans sa liste par d'autres ayant pris l'avantage sur elles. En revanche, un portefeuille d'actions donné peut se fixer comme contrainte d'avoir la composition la plus voisine possible de celle du CAC 40. Ainsi un portefeuille comprenant les quarante valeurs du CAC 40 courant se dégradera progressivement et son évolution ne sera plus celle du CAC 40 trois mois plus tard et ainsi de suite au fil du temps