Portrait De Créon

personnages, qui racontent sous la forme d’une introspection leur propre version des faits. On trouve dans les trois œuvres de nombreux éléments similaires pour constituer le mythe : le meurtre du frère de Médée, le mariage prévu de Jason avec la fille du Créon, la robe du soleil revêtue par cette dernière, et enfin le meurtre des enfants. Mais les auteurs divergent dans leur manière de traiter ces ressorts de l’intrigue, faisant peser des responsabilités distinctes sur tel ou tel protagoniste. Ces trois

suite, Jason demande à Creuse d’intervenir auprès de son père, le roi Créon, afin que ce dernier puisse garder ses enfants, alors issus de son premier mariage, et qu’ils ne soient pas bannis par la même occasion que leur mère. De son côté, Médée invoque de nombreuses divinités afin de leur demander de l’aide, dans l’optique de se venger. Elle souhaite la mort de celle qui à volé le cœur de son mari, ainsi que celle de son père Créon. Elle souhaite pour son mari, qu’il soit quand à lui condamné à vagabonder

commença par ravager les champs & à terroriser les populations. Ayant appris des Muses une énigme, elle déclare qu’elle ne quitterait la province que lorsque quelqu’un l’aurait résolue, ajoutant qu’elle tuerait quiconque échouerait.  . Le régent, Créon frère de la reine Jocaste, promet alors la main de la reine veuve Jocaste & la couronne de Thèbes à qui débarrasserait la Boétie de ce fléau. De nombreux prétendants s’y essaient, mais tous périssent. . Comme aux autres prétendants la Sphinge

plutôt que de se venger. Arlequin et Iphicrate rencontrent Cléanthis et Euphrosine qui sont dans le même cas. Trivelin encourage Cléanthis à faire le portrait d’Euphrosine, puis fait avouer à celle-ci que ce portrait est ressemblant. Arlequin fait de même pour Iphicrate devant Trivelin ; Iphicrate finit aussi par concéder la véracité du portrait. Arlequin et Cléanthis, nouveaux maîtres, s'essaient à la séduction, comme les nobles, mais ça ne prend pas. Arlequin propose alors à Cléanthis de tomber

Celui-ci lui raconta comment il tua le viel homme; elle compris qu'Oedipe était son fils! Se rendant compte que l'oracle était réalisé elle se pend avec son écharpe et Oedipe perça ses yeux avec la broche de sa femme. Ils quittairent la ville. Portrait d'un personnage : Le personnage principal est Oedipe, il aime l'aventure mais avant toute chose: la gloire. Son ambition le pouse à aller voir la reine et à l'épouser. Nous pouvons également ajouter aux traits d'Oedipe celui de la prétention. En

« éblouissante dans sa nouvelle robe » et « bien plus belle qu’Antigone » Quant à Hermon c’est « un jeune homme » et c’est aussi le fiancé d’Antigone et le fils de Créon, le roi et l’oncle de Antigone. La force de caractère d’Antigone contraste avec son portrait physique. En effet elle va « se dresser seule en face du monde, seule en face de Créon, son oncle, qui est le roi »La répétions du syntagme « seule en face de » insiste sur son courageElle semble aussi solitaire et pensive : « qui rêvait dans un

décharge de son passé et impose sa décision de préserver la dignité de Polynice, quitte à subir un sort fatal.L’action se noue avec l’arrivée du Garde Jonas. C’est ce que souligne le Chœur. Puis l’auteur nous mène vers la rencontre entre Antigone et Créon, avant le dénouement qui met en relief la dimension tragique dans cet extrait. La scène se déroule entre Antigone et Le Garde. Celui-ci est un personnage de comédie et même de farce auquel a eu recours Jean Anouilh en imitant Sophocle. Il l’introduit

d’Œdipe », dit Créon à Antigone. La race d’Œdipe éprouve alors le désir d'affronter l'existence dans ce qu'elle a de plus terrible. « Il vous faut un tête-à-tête avec le destin et la mort », raille Créon. En effet, la France étant occupée par l'Allemagne nazie au moment de la publication d'Antigone, le mythe apparaît pour Anouilh comme un réel moyen de déjouer la censure. Quoi de commun entre le Paris des années 1943-1944 et le climat de la cité de Thèbes dans Antigone ? Dressée contre Créon et rejetant

oedipienne, une malédiction qui s’achève par un destin funeste teinté par la mort. Polynice et Etheocle, frères de la jeune princesse et victimes eux aussi de la malédiction, se confrontent lors d’une bataille qui chevillera leur destin à celui de la mort. Créon leur oncle promit au trône, attribuera à Polynice le rôle de révolté et d’effronté tandis qu’il parera Etheocle de qualités de héros. L’un se verra ensevelie et récompensé de louanges, tandis que l’autre sera condamné à pourrir sous les yeux horrifiés

avec plaisir le mythe fondateur d'Antigone. Le sujet de cette pièce est emprunté à la tragédie du poète grec Sophocle (Ve s.av.J.-C.). A la mort de leur père Œdipe, Etéocle et Polynice se disputent le trône de Thèbes et s'entre-tuent. Leur oncle Créon décide d'interdire, sous peine de mort, l'inhumation de Polynice. Antigone, la sœur de ce dernier, brave l'autorité royale en tentant d'ensevelir le corps de son frère laissé à l'abandon. Arrêtée, elle est condamnée à mort. b. La réécriture du mythe