Portrait Moral De Julien Sorel

qui crée un hiatus avec l’apparition d’un homme anodin au physique peu agréable. Morel semble minuscule au milieu de cette nature : « se frayant un chemin à travers l’herbe qui lui arrivait jusqu’à la poitrine ». 2. Pourquoi peut-on parler d’un portrait physique péjoratif ? Le narrateur met en avant les défauts de Morel : « homme costaud, un peu vulgaire », « visage têtu et renfrogné », « cheveux désordonnés et collés par la sueur », « joues couvertes d’une barbe de plusieurs jours », « impression

l'on mesure le degré de vraisemblance et d'authenticité qu'il faut lui accorder. La caractérisation du personnage peut être explicite (le narrateur indique les marques de l'état-civil qui fixent les distinctions sexuelles et sociales, il brosse les portraits ou analyse les ressorts psychologiques qui dépeignent un caractère), mais elle est plus souvent implicite : les connotations attachées aux noms mêmes, les combinaisons narratives, les discours et les relations sociales complètent indirectement notre

Delbouille appelle sa « religion de la douleur[1] ». Tous ces éléments pourraient composer le portrait d’un personnage essentiellement caractérisé par sa fragilité si l’on ne mentionnait l’orgueil qui l’habite et le pousse à séduire Ellénore. De ce point de vue, on peut le rappocher du Julien Sorel de Stendhal dans le Rouge et le Noir qui se fixe comme objectif de conquérir Mme de Rênal ; à ceci près que Julien tombe bien amoureux de son hôtesse. Adolphe n’est pas réellement amoureux d’Ellénore. Dans

lexical contrainte associé à négation et modalisation (honteuse sujétion, joug de servitude) – Idée = chacun est son propre maître – Laisser les Hommes libres d’agir leur permet de se tourner vers le Bien – Liberté condition de réussite humaine, morale mais aussi physique, intellectuelle et amoureuse. Le plaisir du corps et de l’esprit avant tout * Activités plaisantes qui ne négligent pas le corps – Liberté atteignable uniquement pour des gens pré-éduqués – Le monde décrit déborde d’une

ÉTRANGER (AMÉRIQUE DU NORD) Sujets de dissertation, bac 2021 de français, voie générale Corrigé de la dissertation n° 1 (page 4) : Dans le roman de Madame de Lafayette, est-ce la raison qui guide la Princesse ? Thèmes à traiter : Le dilemme moral (la lutte entre l’inclination, la passion et la raison, la vertu) ; le contrôle de soi Analyse du sujet : La raison est la faculté qui permet de discerner le bien du mal ; c’est aussi la faculté qui permet à un individu de se rendre maître de son

s'oppose ainsi au romantisme, qui a dominé la première moitié du siècle, et au classicisme. Il survivra jusque dans les années 1950. Citons notamment Stendhal, précurseur de la littérature-miroir, proche d'un romantisme violent avec le personnage de Julien Sorel, ou feutré avec La Chartreuse de Parme. Et aussi Balzac, proche d'un réalisme romantique avec le personnage de Lucien de Rubempré ou du roman poétique avec Le Lys dans la vallée. Auteurs et œuvres : * Stendhal, théoriquement père du réalisme

l'on mesure le degré de vraisemblance et d'authenticité qu'il faut lui accorder. La caractérisation du personnage peut être explicite (le narrateur indique les marques de l'état-civil qui fixent les distinctions sexuelles et sociales, il brosse les portraits ou analyse les ressorts psychologiques qui dépeignent un caractère), mais elle est plus souvent implicite : les connotations attachées aux noms mêmes, les combinaisons narratives, les discours et les relations sociales complètent indirectement notre

similaire dans le portrait de Julien Sorel, de l’ouvrage Le Rouge et le Noir de Stendhal. Le héros du livre est, de la même manière, décrit ; lui aussi possède des aspects positifs tels qu’une certaine beauté, une fragilité qui est mise en valeur, de même que son intelligence. Il possède en revanche, lui aussi, des caractère plus effrayants comme une violence qui se devine déjà, ainsi que de l’impulsivité. Ainsi ces deux personnages sont différents mais se ressemblent dans leurs portraits physique et

différentes phases de sa vie que Chateaubriand décrit, c’est l’Histoire qui est le contexte de sa narration. Le récit est composé de tableaux successifs: Les Etats-Unis et son avenir, la Révolution française, le Consulat. On y trouve également des portraits exhaustifs : Napoléon (qui occupe la moitié de la troisième partie), Thiers, Talleyrand. Chateaubriand est ainsi le premier écrivain à tenter de rendre compte du devenir historique : "Si je compare deux globes terrestres, l’un du commencement, l’autre

universel. D’autre part, la littérature instruit les hommes quant au bon comportement à adopter. En effet les textes religieux qu’ils se présentent sous forme de parabole orale ou bien de livres tels que la Bible délivrent aux hommes un enseignement moral, basé sur la croyance divine et la pratique de certains rites. Selon ces textes l’homme est bon si il croit en Dieu. Ces lectures amènent donc une instruction de l’ordre du spirituel. Les récits philosophiques guident également les hommes dans leurs