Portrait Physique

il l'a divinifie et l'a place comme personnage centrale, incontournable du récit. Il lui accorde un pouvoir totale et les serveurs et les petits-enfants sont déshumanisés à coté d'elle, ils sont eux placés au second plan. Les caractéristique physique mis en avant chez Mme Tim sont celle qui se rapproche de la déesse → corps de statue... Elle est dans ce texte adulée, elle est garante du bonheur des enfants et leur organisent des fêtes et leur distribue des cadeaux . Ils giclent autour d'elle

démence triste, une douleur profonde, une misère3°) son crâne l’oeil droit | La description du personnage se fait en trois temps :1°) des lignes 10 à 22 : le portrait physique de Chabert. Le narrateur s’attarde surtout sur le visage.2°) des lignes 22 à 33 : le narrateur évoque l’impression que dégage le personnage, son caractère (le physique permet d’accéder au caractère)3°) des lignes 34 à 43 : la blessure au crâne, qui le rend effrayant, épouvantable | II 3III 1 | comparaison | Le colonel Chabert

« les rides blanches » « dans le corps » et « dans le regard ». Dans cette première partie le narrateur insiste surtout sur le visage du vieille homme. Dans un second temps le narrateur s’intéresse au l’expression que dégage l’ancien soldat. Son physique semble alors refléter sa personnalité : « l’absence de tout mouvement de corps », « de toute chaleur dans le regard », »une certaine expression de démence », « une douleur profonde »et « une misère ». Lors de cette description le Colonel apparait

tyrannique. Le narrateur en fait un portrait extrêmement péjoratif : « de la race de ces sauvages colosses », « l'ogresse »... Notamment en utilisant des procédés stylistiques récurrents tels que l'énumération : « grande, blonde, rouge, charnue, carrée, énorme et agile » qui permet au lecteur de s'imaginer ce personnage grossier. C'est une femme répugnante, qui fait peur : « c'est un charretier », « c'est le bourreau ». On retrouve également des éléments qui rendent ce portrait comique : hyperboles (« Elle

autoportrait en David. Raphaël nous est plus connu : on le voit parmi les personnages de l'École d'Athènes (1510), dans un autoportrait présumé de 1516, au Louvre ; ou encore avec un ami auquel il tient l’épaule (1518, Louvre). Titien a peint deux beaux portraits de lui-même en vieillard dans les années 1560. Véronèse apparaît pour sa part en violiste vêtu de blanc dans les Noces de Cana, au côté de Titien jouant de la viole de gambe (1562). Francisco de Zurbarán en saint Luc peintre devant la Crucifixion

Portraits: -Princesse de Clèves/Mme de Chartres : Pb : Comment l'auteur fait-il l'archétype du personnage classique ? Un portrait complet et élogieux. (phrase d’introduction de la partie avec rappel du thème lors de la rédaction) a) Un portrait physique. insistance sur la beauté du personnage : répétition à 4 reprises du terme « beauté » dans le passage, et 2 fois dans la première phrase. Dernières lignes se concentrent sur son physique avec précision : « la blancheur de son teint », « cheveux

aveuglés », « tout mon être s’est tendu »…). En revanche, le roman « Illusions perdues » procède du point de vue omniscient (focalisation zéro) : « Son visage… » « Il avait… ». Le narrateur sait tout de son personnage, il peut décrire aussi bien son physique que sa psychologie mais le lecteur ne s’identifie pas autant au héros, il garde une distance critique (« cet indice rarement trompeur, était vrai chez Lucien »…). On voit ainsi que suivant le point de vue narratif employé, l’auteur n’a pas les mêmes

en pleine essor et l’illustration en déclin. Il illustre également de nombreuse affiches publicitaire comme Coca Cola ou Kellog’s et en 1935 les romans de Mark Twain, Tom Sawyer et Huckleberry Finn. Dans les années 50, Norman Rockewell peint les portraits d'Eisenhower, de Nasser en passant par Kennedy (qui à ce moment n’était pas encore président). C’est en 1960 qu’il réalise son triple autoportrait. A la fin des années 60, il travaille pour la revue ‘’ Look ‘’ qui souligne les thèmes en relation

flamand, ancien élève de Lavoisier, un génie déchiré entre la passion de ses recherches scientifiques et l’affection pour sa famille qu’il finit par ruiner, engloutissant sa fortune dans l’achat de matériaux, produis chimiques et instruments de physiques pour son laboratoire. Jusqu’à sa mort, Balthazar recherche l’Absolu, (« Une substance commune à toutes les créations » p.139). La recherche de l’absolu” (1834) : le désir de Balthazar Claës est celui de la connaissance scientifique de l’absolu

Le buste d’Auguste du musée st Raymond à Toulouse Le buste d’auguste est un portrait de l’empereur Octave-Auguste qui règne de 27av J-C jusqu’en 14 ap j-c, et date de la fin du 1er siècle avant notre ère. Il est donc contemporain au règne de l’empereur. Ce buste en marbre se situe au musée st Raymond à Toulouse, dans la collection des fouilles de la villa de chiragan dans la galerie des empereurs. En quoi ce buste d’auguste s’inscrit-il dans le style prima-porta et à quoi correspond le type