Postmodernité

Philosophie de l’éducation ? C’est plus l’intérêt d’un questionnement pour un futur enseignement. Toutes les pensées d’auteur sont une preuve argumentaire. Nous allons nous appuyer sur un philosophe J.F LYOTARD 1985. Il est l’auteur du mot « postmodernité ». Les loisirs sportifs sont caractéristiques de cette époque. « Ce qui me frappe, c’est combien il est difficile d’être artiste sans être philosophe en même temps » tiré d’un article écrit par LYOTARD. On peut faire une analogie au métier de l’enseignement

qu’il aura appris dans le fait d’imiter ses parents pour acheter des casquettes A, des T-shirt b, des tennis C ? Où est la transmission des valeurs dans une société qui n’a rien d’autre dans la tête que des publicités ? Où est la culture ? La postmodernité a fait très fort : elle a justement élevé la publicité au rang d’une culture, la culture-pub. La publicité elle est devenue l’unique culture de la jeunesse, l’unique point de ralliement, de reconnaissance, de convergence : le langage commun des

économique en plein essor Des processus et des débats de plus en plus économiques, de plus en plus géographiques : postmodernité et postmodernisme. Un monde et une société où la variable espace prend de plus en plus d’importance par rapport à celle du temps (histoire, progrès, défilement), ceci dans le cadre du postfordisme (flux tendus, délocalisations) et de la postmodernité (commerce éth[n]ique, tourisme international). Le champ de l’économique va en s’élargissant, beaucoup d’objets entrant

groupe social essaie d'imposer sa représentation du monde social comme légitime constituent une dimension essentielle de l'étude des classes sociales. La modernité. Le fil conducteur ou fil rouge de ce cours est l’articulation modernité /postmodernité dans notre civilisation. Pour mettre en lumière ce passage qui s’opère dans le troisième tiers du XXe S, nous tenterons d’abord de comprendre la Modernité s’est imposée à nous comme concept nécessaire à rendre notre culture intelligible. L’article

d’une plus grande autonomie. 2.6 Travail et postmodernité : enjeux et défis L’autonomie accrue des salariés augmentent le sentiment de ne pas être à la hauteur de la situation ou des exigences dictées par le marché. En d’autres termes, l’organisation actuelle du travail, n’est pas nécessairement un facteur de satisfaction. Cette nouvelle organisation peut être même un facteur de stress, de frustration et de détresse psychologique. 2.6 Travail et postmodernité : enjeux et défis Le travail s’est progressivement

selon lui fondé sur une logique de l’identité, passe ainsi à coté des « crevasses et des abîmes du monde, [de] tout ce qui, étant hétérogène, échappe à l’horizon de la raison scientifique ». À partir de ce constat il esquisse un programme pour la postmodernité : « tout l’effort de la philosophie devrait se diriger vers la recherche de l’Autre perdu »23. Dans cet article, Ph. W. Rosenmann relève la proximité qui existe entre la question à laquelle la philosophie contemporaine est acculée – l’autre – et

moment civique où le sujet s’investissait dans la citoyenneté et dans cet imaginaire où il se pensait source volontaire du social et voyait dans celui-ci la condition de sa propre identité à ce moment (certains parleront, de façon excessive, de postmodernité) où l’universalité fait place à la particularité et où le moi triomphe, non dans un orgueilleux solipsisme mais dans sa fusion avec ceux-là qui sont comme lui dans un espace atomisé et communautarisé. C’est la logique de la modernité qui aura mené

québécois)Le Vrai Monde? de Michel Tremblay, Leméac, 104 pages, 1987 (théâtre – contre-culture) 14.95$Nikolski de Nicolas Dickner, Alto, 316 pages, 2005 (roman – postmodernité) Un homme et son péché de Claude-Henri Grignon, Stanké, 10/10, 148 pages, 1933 (roman – littérature du terroir) Achat d’un billet (à la Coop)

Rwanda, …), Hiroshima et Nagasaki, guerre froide (où l’humanité entrevoit la possibilité de se supprimer elle-même) : D’où une crise de la raison, qui devient sceptique. C’est la fin des illusions modernes qui caractérise ce qu’on appelle la “postmodernité”. Beaucoup ne veulent plus souscrire à des récits qui veulent tout expliquer concernant le sens du monde et de l’existence. D’où aussi la perte d’influence des idéologies (communisme, idéaux) dans les dernières décennies du XXe siècle, et surtout

acceptons une violence barbare comme celle-là? Nous sommes tous respon-sables comme membre de la société puisque les enfants seront ceux qui continueront de reproduire cette société. Une société qui accepte une telle violence n’est pas rendue dans la postmodernité ou même le moderne, selon Norbert Élias, mais encore dans la période du moyen âge avec une telle violence. La violence au niveau de la famille est très vivante en 2007. Nous la retrouvons dans les sports, les écoles, et à la maison. Est-ce