Posture épistémologique

une rupture épistémologique. Ce n’est pas tant l’objet de réflexion qui différencie la sociologie de la philosophie, ni même la façon de nommer et désigner les problèmes et les thèmes de réflexion que les postures d’interrogation de l’objet. Fille de la révolution industrielle, la sociologie se définit comme une démarche qui « se veut scientifique du social en tant que tel », selon l’expression du R. Aron. Peu importe ici que la sociologie soit ce qu’elle prétend être. Sa posture d’interrogation

chemin et capables, durant des années, d’assimiler des connaissances décontextualisées. Pour favoriser la démocratisation des études, Perrenoud propose de travailler dès le début de la scolarité le transfert et la mobilisation des connaissances. Cette posture tient compte, selon lui, de ceux qui sortiront du système éducatif avec une formation de niveau moyen. Pour que l’approche par compétences soit démocratisante Perrenoud traite le problème sous deux angles : les savoirs et les compétences. Investir

obstacles s'opposent naturellement à la pensée libre et juste. Ils sont de natures variées : préjugés, croyances religieuses, idéologies, passions, inconscient, illusions, etc. Bachelard montre ainsi que la raison se heurte à de nombreux « obstacles épistémologiques » qui ralentissent son développement et qui sont à la fois internes et externes. Par exemple, la pensée est entravée par les illusions qu'elle a sur ses propres capacités et en particulier par sa tendance à adhérer à des explications toujours

révèle dans l'univers nocturne du narrateur, univers d'isolement. Dans l'incipit on a un « je » qui est face à lui-même. Dans quelle mesure cette solitude apparente aboutit-elle in fine à une duplicité énonciative et identitaire révélatrice d'une posture poétique. On peut observer premièrement que le narrateur va faire une adresse à la plume (l.1 à 15) qui va précéder la scission du « je ». L'extrait va s'ouvrir par une question attribuée par la plume, personnification de la plume. La plume est

économiques, et le rôle de la jeunesse précédemment évoqués, seront constamment pris en compte dans notre analyse des phénomènes). 12 Introduction Nous tenterons pour cela de construire un cadre théorique adapté aux exigences scientifiques, épistémologiques, et à notre objet. Nous livrerons à ce titre une ontologie 13 des mondes persistants issue d’une cartographie de la variété des disciplines convoquées dans cette thèse. Nous confronterons ensuite ce cadre à l’épreuve d’une étude empirique. Précisons

approche plurielle de son terrain de recherche, l’auteur entreprend l’étude minutieuse d’une multiplicité de microconfigurations sociales relatives à la « question sectaire » – autant de cas constitutifs de points de vue particuliers. Adoptant la posture du narrateur, il analyse ces différents cas au travers de récits où il relate ce qui est dit, en prenant soin à chaque fois de distinguer celui qui parle, la position depuis laquelle il parle ainsi que les circonstances dans lesquelles il parle. Leur

formel ? Détour de production sociologique par la théorie de Durkheim Objectifs : - (savoir) Apporter des éléments d’explication à la montée de la formalisation du contrôle social - (savoir faire) Utiliser un cadre théorique et la posture épistémologique sur laquelle qu’il s’appuie Prérequis : - Connaitre la définition d’un fait social entendu simplement comme « le comportement régulier d’un groupe social » Supports : ➢ Doc 4 page 113 Bordas spécialité : Ce document est utile

ens , c’est une approche systémique. Pose des Q° : USA : bcp de chiffre en France = une approche qualitative => pose pb : cmt on fait pour valider des hyp sur 2-3 personnes uniquement ? on est ds une démarche très clinique (point de vue épistémologique -> pas assez fiable pour certain). D) 1970-1990 : la période de dvpt Point de vue de l’industrie -> taylorisme (W a la chaine). On est revenue vers des modèle qui prennent plus en cpte l’homme au W ms aussi sa subjectivité (laisse

dynamiques des acteurs et du changement organisationnel à travers la question de la coordination et des figures collectives de coordination de l’action. LA THÉORIE DE LA STRUCTURATION : UN CADRE PERTINENT POUR L’ANALYSE DES ORGANISATIONS De par la posture méthodologique originale adoptée et le caractère heuristique de la construction, le modèle de la théorie de la structuration 1. Voir, tout particulièrement, The Constitution of Society (Cambridge, Polity Press, 1984) ; trad. fr., La constitution

inter-organisationnel. Colasse, Bernard. Encyclopédie de comptabilité, contrôle de gestion et audit. Paris. 2009. pages 625-633.      Véronique PERRET : Les différents chapitres des œuvres : Allard-Poesi, Florence ; Perret, Véronique. Fondements épistémologiques de la recherche. Thiétart, Raymond-Alain. Méthodes de recherche en management. Paris‎. 2014. pages 14-46. Perret, Véronique ; Chabault, Denis. Pôles de compétitivité version 2.0 : les enjeux stratégiques et managériaux de la « clusterisation